Nature Humaine (amocalypse)
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techniques a et e
Première version: 2017-03-21
Dernière version: 2018-07-19
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Il est impossible de nommer en quelques lettres tous les objets, espèces, caractéristiques ou concepts humains de l'univers. Pour beaucoup, une redéfinition systématique serait longue et fastidieuse.
Ces espèces ou caractéristiques sont donc nommées en utilisant des
mots techniques commençant par "a" ou "e" immédiatement
suivis d'un numéro d'ordre naturel (minéral, végétal, animal, objets
manufacturés, concepts).
Ex : a3 = préfixe pour toutes les espèces animales (chevaux,
ours, humains)
"e" désigne une caractéristique (bouche, bras, etc.) tandis que "a" permet de nommer les espèces (chat, chien, éléments chimiques, etc.).
Le préfixe "a*" ou "e*" est suivi d'une racine mono ou multi-syllabe, dont les syllabes n'ont rien à voir avec les mots de base.
Comme le préfixe "a" ou "e" indique de quelle famille naturelle on parle, les mots peuvent alors être courts car réutilisés d'une famille à l'autre avec un sens différent.
Le numéro d'ordre naturel est en base 6 (0DFPKL remplacent 012345).
D = minéral (tout ce qui concerne les matières inertes, non vivantes, chimie, métaux, etc.)
F = végétal (les êtres vivants qui sont fixes ou se déplacent très peu)
P = animal (les êtres vivants qui se déplacent)
K = produit manufacturé (tous les produits fabriqués par l'homme)
L = concept (tous les concepts manipulés par l'homme)
Si besoin de rajouter un ordre, on le mettra en zéro plutôt qu'un nombre à 2 chiffres.
L'ordre numéro "tout" englobe tous les ordres.
L'ordre x "et" y englobe les ordres x et y.
L'ordre numéro x "à" z englobe tous les ordres entre x et z compris.
Comme le numéro d'ordre naturel est nécessaire pour savoir que a ou e sont des mots techniques, le numéro D sera systématiquement écrit.
"a+n° d'ordre" permet de nommer les espèces.
Ex : chat, chien, éléments chimiques, pays, etc.
Ce préfixe peut aussi servir de nom propre numéroté, pour retrouver un
individu dans une espèce (en donnant justement en préfixe "a*" le nom de
cette espèce).
Ex : pays France, homme né à Paris 4 le 12 janvier
1978
"e+n° d'ordre", suivi de plusieurs syllabes, désigne une caractéristique (bouche, bras, etc.).
Mots à employer pour décrire des éléments communs d'un ordre naturel (par exemple, yeux, jambes pour les animaux, bourgeons pour les végétaux, organisation cristalline pour les minéraux, roulements pour les produits manufacturés)
Les lettres qui suivent le préfixe "a" ou "e" n'ont rien à voir avec les
sens des mots de base, les syllabes sont indépendantes.
Ex : aKka n'a rien à voir avec le mot de base "ka".
Comme le préfixe indique de quelle famille on parle (les mots peuvent alors
être courts car réutilisés d'une famille à l'autre avec un sens
différent.
Ex : aDk sera différent de aFk. aDp = pierre, aKp=outils, le
"p" a des sens différents selon l'ordre naturel.
Si une caractéristique se retrouve dans plusieurs ordres naturels, on
utilisera le même mot.
Ex : sève = sang, eFk = sève et ePk = sang
C'est pourquoi il faut toujours ajouter devant à quel ordre naturel "a" on se réfère.
On est obligé de mettre un espace derrière un mot technique car les syllabes dedans ne voulant rien dire, on ne peut les agglutiner avec un mot de base.
Un mot technique n'a pas de contraire généralement, il n'y a pas de raisons de mettre un modifiant devant.
Pour ne pas interférer avec les règles de construction, les lettres "n", "ke" et "y" ne doivent pas être utilisés dans les mots techniques.
Pour les outils par exemple, il est très facile de dire couteau (outil à couper) qui est plus court à mettre en mot agglutiné que de mettre en mot technique. On utilisera donc principalement le mot agglutiné, bien que le mot "couteau couvert pour manger" existe et puisse être utilisé pour désigner un couteau spécifique dans la large famille de couteaux.
Les mots se font par rapport à l'apparence généralement, quand il faut choisir. On donne la durée apparente du cycle de la Lune, celle qui nous servira majoritairement dans la vie courante, plutôt que sa durée réelle.
Le modulant permet de faire varier le sens d'un même mot sans an créer d'autre. Quand on doit utiliser en plus du modulant une variation de taille, il est préférable de donner un nouveau mot. Par exemple pour planète, ou a grosse planètes type Jupiter, ou planète naine type Cérès. Si on devait dire grose grosse planète pour les corps suffisamment massifs pour émettre de la lumière, il est préférable de créer un nouveau mot "étoile" plutôt que trop de niveau de modulant (>4 etc.).
Le dictionnaire pour les mots techniques de base est nécessaire.
Ex : aDa est un atome.
Mais il restera possible de comprendre la plupart des mots inconnus sans
ouvrir le dictionnaire, juste en ayant quelques règles de construction
suivantes en tête.
Ex : aDa est suivi du nombre d'électron de l'atome. aDaD sera
un atome d'1 électron, inutile de mémoriser un autre nom comme "hydrogène"
en français. On connait ainsi d'un coup les centaines d'atomes existants de
l'univers.
La construction des termes techniques sera expliqués lors de
l'apprentissage de la technique utilisant le mot technique.
Ex : Un enfant ne connaissant pas la notion d'atome n'aura pas
besoin de connaître le mot technique aDa.
Quand on a donné une base de mot technique, tous les mots qui lui sont liés vont suivre de manière logique. C'est ce que nous allons voir par la suite dans les règles de construction.
La généralité, c'est qu'on se sert d'un modulant pour donner la taille. S'il faudrait créér un adjectif de taille par la suite (comme grosse planète comme Jupiter, suffisante pour générer de la lumière) on créé un nouveau mot pour étoile (et donc le modulant servira à dire comment brille l'étoile, pas par rapport à sa masse).
Les mots les plus simples/courts sont ceux susceptibles de revenir le plus souvent dans la conversation.
Pour définir les noms d'espèces, on définit le nom d'une espèce moyenne ou domestiquée (celles que l'homme voit le plus souvent), puis on rajoutera en préfixe le modulant < pour les espèces ressemblantes plus petites, et > pour les espèces plus grosses ou vivant à l'état sauvage.
C'est la forme qui prime, pas la biologie.
Pas de nom spécifiques pour les larves, il y a le mot "nupi" à mettre
devant le nom de l'insect adulte.
Ex : asticot = nupi "mouche"
Les éléments sont notés par aDa suivi du nombre de protons que possède
leur atome. Ainsi, plutôt que d'apprendre par coeur un nom compliqué
(hydrogène, americanium, etc.) puis le nombre de proton associé à chaque
atome, il suffit d'apprendre une seule fois le nombre d'atomes.
Ex : aDaD = hydrogène (1 proton), aDaF = hélium (2 protons),
aDaFK = oxygène (16 protons).
Chaque atome faisant partie de la molécule est noté à la suite (dans le
sens croissant d'électron) et séparé par "o". Si un des atomes est présent
plusieurs fois, derrière l'élément on met "e" puis le nombre d'occurence.
Ex : H2O = aDeDeFoDF
Un alliage est matériau constitué d'un mélange de molécules. Comme pour
la molécule, les différents corps rencontrés sont séparés par "o", dans
l'ordre décroissant de proportion du matériau dans l'alliage, et si besoin de
préciser le pourcentage, on met ".3" par exemple derrière le corps en
question.
Ex : aDiKFoK0.0LoPL.0PoD0.00P pour Alliage de Fer allié 5% de Chrome, 3% de
Vanadium et 0.3% de carbone.
Les hommes sont aujourd'hui repérés par un numéro de sécurité sociale. Dès qu'on touche au nom usuel, il faut employer les 2ème et 3ème prénom et encore on n'est pas sûr qu'il n'y ai pas doublon... En adam on utilisera le numéro type sécu. Pour ceux qui auraient trop vu la série TV "le prisonnier" (je ne suis pas un numéro, je suis un homme libre), le fait d'être asservi n'a rien à voir avec le fait d'être appelé par une suite de sons comme "vingt-sept" plutôt que par une autre suite de sons comme "Kevin".
Ainsi, le nom complet d'une personne commence par le lieu où il habite à sa naissance (pas celui de la maternité, celui où habite le parent qui le garde le plus longtemps). Ce lieu est défini comme tous les lieux par planète, continent, pays, région, département, etc. jusqu'au quartier ou hameau. Suivi de la date de naissance (année/mois/jour/heure/minute). Si au même endroit 2 enfants naissent à la même minute, le deuxième aura une minute de plus, etc. Ce numéro long est pour s'assurer de l'unicité d'une personne à l'échelle de la planète voir d'une galaxie !
Normalement il n'y a pas besoin de détailler autant, une région et l'année/mois + un numéro entre 1 et 1000 peut suffire, et cette date (année/mois) + numéro peut être utilisée pour nommer simplement une personne, la région est implicite de l'endroit où il vit. S'il n'est pas en présence d'une autre personne du même mois et année, la date abrégée de sa naissance suffit.
Et tant pis pour la fausse pudeur occidentale qui veut qu'on ne donne pas sa
date de naissance pour des raisons astrologique, l'astrologie ne marche pas, et
ceux qui vous retrouvent à distance peuvent le faire juste avec votre nom,
donc aucun intérêt au final de ne pas donner sa date de naissance !
Ex : Marie Bouchard est née le 22 mars 1990. Dans sa classe, où il y aura des
élèves de son année de naissance, on la nommera "-10 3". Si un de ses
camarades est aussi né ce mois-là, on rajoutera derrière le jour de
naissance. Cas exceptionnel, si on rassemble tous les enfants d'une région
nés le même jour dans la même salle, pour les distinguer on rajoutera le
lieu d'habitation.
Lors d'un zoom, on délimite à chaque fois des individus peu nombreux dans un groupe (par exemple, peu de communauté de communes dans un département, peu de village dans une communauté de commune, etc.) Ces individus étant assez peu nombreux (moins de 100), on peut se permettre de les repérer via des numéros établis au niveau international (comme c'est le cas actuellement avec les codes postaux).
De toute façon, les noms actuels ne veulent rien dire, ou se réfère à un nom de roi, nom qui ne veut rien dire non plus. Il est ainsi plus facile de se rappeler 33 pour la France qu'un nom assez long. Pensons au "Lichtenstein" quasiment imprononçable !
On écrit toujours dans l'ordre du zoom, à savoir planète, continent,
pays, région, département, communauté de commune, commune, quartier. On
écrit le concept dont on parle, suivi du numéro qui correspond dans le
concept supérieur.
Ex : la ville D (ex 1 - Marseille) dans le département FD (ex
13 - Bouche du Rhônes), département lui-même dans le pays LK (ex 33 -
France) = paysLKdeptFDvilleD
Les continents sont dessinés comme suit (tient compte des plaques tectoniques continentales, de la position prévue après le passage de Nibiru et de la surface réelle des continents).
Les îles sont rattachées au continent qui est sur la même plaque continentale qu'elles, ou alors au continent le plus proche / plus facile d'accès (aller et retour).
L'ordre des numéros de continent est pris de de gauche à droite en allant du haut vers le bas en regardant la carte du monde estimée après le passage. Comme le continent le plus gros en taille sera l'Eurasie, situé sur l'hémisphère Sud, il faut inverser la carte ci-dessous (pôle Sud en haut), et on commence par l'Eurasie.
Prenons la projection de Fuller qui déforme un peu moins la surface réelle des continents :
Avec :
Comme le continent est un concept humain, on rajoute le préfixe aL devant. aLda est le concept "continent", aLdaD = Eurasie, aLdaD = Afrique, etc.
A noter que l'Océanie sera tellement petite dans le futur, qu'on pourrait l'inclure comme île du continent Antarctique.
Les pays (aLda"n° de continent"fa"n° pays") sont numérotés par continent. Pour l'ordre retenu, on a pris les noms simplifiés en français, convertis en adam, puis triés par ordre alphébatéique sur le nom propre adam.
Le pays se dit "aLdafa" ("da" étant le continent, dans l'ordre alphabétique des consonnes on continue par f ("fa") pour le pays, la région étant la consonne suivante donnant "ja", etc.).
On ne dit pas aLfa mais bien aLdafa, pour bien montrer qu'on est dans de la géographie.
Pour cobler précisément un endroit, on donne ses coordonnées GPS. Mais pour cibler de grosse région, on peut utiliser les concepts créés par l'homme, de regroupements ensemble de communautés humaines.
On mets toutes les coordonnées "littéraires" permettant de cibler de plus en plus les zones géographiques. Par exemple, pour dire "En Europe, dans le pays France, dans le département de l'Aveyron la commune de Leyrac", on va écrire tout collé "aLdaDfa?ja?". A noter l'ordre alphabétique pour descendre en précision. Si le pays ou la région sont toujours la même, on se contente de n'écrire que aLda puis le niveau de détail.
Plutôt que de faire une centaine de départements pour éviter de citer la région, il vaut mieux rajouter un niveau en incluant la région, le cerveau humain est ainsi fait qu'il lui est plus facile de mémoriser des cases rangées plutôt qu'un gros tiroirs rempli de centaines de feuilles en bordel. On a donc peu de départements dans peu de régions dans peu de pays.
C'est le même principe pour les communes, on regroupe par communauté de communes, puis par regroupement de communes là où c'est le cas.
La norme actuelle, qui deviendra l'ancienne quand tout sera chamboulé, est écrite en base 10. La nouvelle le sera en base 6.
Pour donner une adresse précise dans une ville, après la ville on rajoute
pa et sa (rue et étage).
Ex : aL"région"da?"communauté commune"?maL0paF0saL (ville 100 (elle est
déjà définie précédement) rue 12 (méthode américaine, évite la méthode
française de dire EMile Zola ou Charles Littré, plus court à écrire)
Le quartier "pa" n'est pas nécessaire, sauf dans les grandes villes (une manière de donner la sous-ville), plutôt qu'avoir des banlieues comme actuellement, d'ancien village rattrapés par une agglomération et qui conservent leur nom antérieur.
Toute nouvelle rue ajoutée se rajoute à la liste précédente, il n'y a donc pas forcément de lien avec la carte (au contraire de New York où les rue sont verticales, les avenues horizontales, et qu'elles se suivent logiquement, sauf dans les vieux quartier comme Little Italie ou Broadway). Très peu de ville sont conçues de manière rationnelle...
Comme pour l'instant c'est trop de boulot de numéroter toutes les communautés de commune de France voir du monde, puis de renuméroter les communes à l'intérieur de ces communautés de commune, le nom de la commune est simplement obtenu en ajoutant, derrière le nom de département, "ma" + le code postal de la commune. Si on sait dans quel département on se trouve, aLdama"code postal 3 chiffres base 10" suffit.
Ex : commune au code postal 45 253, son nom est Vendée (45) + ma253 : aLdaDfaPLjaDPkaDma253
Les noms de planète du système solaire, sont l'attribution à une planète du nom de dieux sumériens, selon leur position dans la hiérarchie. Au fil du temps, cette position a changé en fonction de la disgrâce ou de la défaite militaire des dieux entre eux. Les noms ont été changés puis mélangés au cours de l'histoire et des mauvaises traductions (sumérien traduits en Babylonien, puis en Egyptiens, puis en assyrien, puis en araméen, puis en Hébreux, puis en Grec, puis en Romain, puis en Patois (langue d'OC ou d'Oïl selon la région de France), puis en français renaissance il y a 500 ans, puis en français révolutionnaire et ensuite complètement refondé depuis en français moderne.
Dans ce cas des planètes, il faut leur donner un nom d'espèce, en partant pour les noms les plus simples des corps spatiaux les plus visibles de la terre (Hécate ou Nibiru, bien que proches, sont très rarement vues, seulement tous les 3600 ans). Inutile de prendre un ordre en prenant comme départ de comptage le soleil puis en éloignant les orbites, car cet ordre change en fonction des dernières découvertes de planètes (Pluton n'est plus une planète, 2 planètes au moins restant à découvrir, Nibiru et Hécate, et ça poserait la question, pour les planètes partageant la même orbite, de laquelle on met en premier... Il faut plutôt partir sur la grosseur de la planète, si elle a un noyau actif ou éteint, etc.? etc.)
Idem pour les autres système stellaires, partir de ceux les plus visibles vus de la Terre (comme Sirius).
A cause de la position qui changerait à chque nouvelle découverte, on donne ensuite un nom imagé à chaque planète/étoile bien visible de la Terre, ensuite on donne un nom numéroté : galaxie, étoile, puis planète (sans lien avec sa position proche ou non de l'étoile). Voir comment est faite la nomenclature internationale.
les différentes roches (schistes, silex, calcaire, argile), les noms de montagne ou formation rocheuse spécifique (lapiaz, causse, moraine, etc.) de la géologie.
définir les grandes familles humaines, que ce soit géographique comme aujourd'hui, ou les ancêtres (habilis, néanderthal, sapiens).
Les mots les plus simples/courts sont ceux susceptibles de revenir le plus souvent dans la conversation.
Pour la charpente (soutien toit) : faitière (baton soutien horizontal sommital), ferme ("triangle soutien" si on le décrit maintenant, peu de chance que la technique évolue, et si elle le fait, on l'appellera autrement si ce n'est pas un triangle. On aurait pu dire reporte forces faitière), panne (baton fort horizontal), chevron (baton fort vertical), liteau (baton extérieur horizontal, ou encore supporte/accroche couverture), volige (étanchéité), jambe, queue d'aronde (liaison queue d'hirondelle), mortaise, arbalétrier, enrayure
à suivre...