Première version: 2017-03-21
Dernière version: 2019-05-31
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Sommaire de la page
Le adam est une langue minimaliste a priori (repart d'une feuille blanche), à vocation de langue internationale et vernaculaire (de tous les jours). Sa vocation est d'être simple et efficace, rapide à apprendre (il y a pleins d'autres choses à apprendre dans la vie qu'un langage compliqué et ambigu).
Simplicité de :
Cette simplicité le rend facile à apprendre, tout en restant pratique et efficace d'utilisation (moins d'ambiguité que dans le français).
La grammaire va à l'essentiel sans fioriture : "moi vouloir apprendre" ! Les mots ne changent jamais (pas de conjugaison ni flexion), quel que soit leur temps (présent-passé-futur), leur utilisation (nom, verbe, adjectif ou adverbe) ou leur nombre (singulier ou pluriel).
Pas de suffixes qui compliquent et limitent la construction et le décryptage des mots, que des préfixes commençant par "n" (mots "n*" ne servant qu'à ça).
Le nom du langage, "adam", est l'agglutination de "ad" (communication) et "am" (humaine).
Comme les autres pages de ce site, il est conseillé de lire cette page en entier avant de revenir cliquer sur le titre qui vous intéresse pour ouvrir la sous-page détaillée.
Pourquoi un seul langage sur Terre ? Pour éviter les guerres (difficile de tuer un "ennemi" qui parle la même langue) et ne plus disperser les énergies en traductions ou en incompréhension..
Pourquoi un langage complètement nouveau ? Parce que les anciennes langues sont :
Les nombreuses tentatives de nouveaux langage ont toutes conservées de nombreux défaut des anciennes langues par manque de recul (comme l'esperanto qui garde le genre et les déclinaisons inutiles).
Le Toki pona trop limité a montré la voie, l'adam en garde la philosophie tout en ayant la puissance d'un langage scientifique.
Au contraire des langages existants qui servent les intérêts d'un gouvernement mondial, l'adam en langue universelle sert les intérêts d'une communauté mondiale, égalitaire, où tout le monde maîtrise un langage simple, facile et puissant, rapide d'utilisation, outil pour mieux se comprendre ou mieux comprendre le monde. Grâce à l'adam, le langage est vite appris et maîtrisé, libérant plein de temps pour apprendre des trucs vraiment utiles et permettre à toute la population, auparavant analphabète ou mettant trop de temps et d'efforts pour lire donc d'apprendre de nouvelles choses, de participer pleinement à l'évolution collective.
Voyons maintenant sous le capot si l'adam tient toutes ses promesses !
Ce paragraphe va donner les définitions utilisées par la suite, ainsi que le principe global de fonctionnement de l'adam. Les paragraphes suivants, plus pratiques, développerons les notions vues ici.
1 syllabe est une suite de sons de base (phonèmes) ne pouvant être interrompue. La syllabe est formée de 1 à 3 lettres (ex : "a", "da", "pla").
L'adam c'est :
1 concept décrit un objet, une action, une émotion, une idée, etc. ex : "chat" est un concept, "noir" est un concept, "chat noir" est un concept aggloméré formé de plusieurs concepts.
1 mot est une suite de lettres collées, non séparées par un espace. 1 mot représente un concept, et plusieurs mots forment un concept aussi.
Les mots de base sont des concepts simples permettant de construire d'autres concepts plus détaillés. Les concepts multimots sont obtenus en collant des mots entre eux (mots agglutinés) ou en les mettant les uns à la suite de l'autre, séparés par des espaces (concepts agglomérés).
Le concept, qu'il soit en un mot ou plusieurs, suit toujours une organisation similaire pour être décrit : désignant + quantité + modifiant + racine + qualifiant.
Le désignant (ce, celui-là) indique que le concept qui suit a déjà été décrit.
La quantité est le nombre de concepts, ou encore la taille du groupe constitué des concepts à décrire.
Le modifiant est un mot nous indiquant comment il faut interpréter le concept qui suit. Si pas de modifiant, le concept est à interpréter tel quel. Si modifiant d'inversion "no", il faudra prendre le contraire du concept qui suit.
La racine est l'information qui caractérise le mieux le concept à décrire.
Les qualifiants sont des informations complémentaires données pour détailler le concept, en plus de sa racine.
Le mot de base est limité en qualifiant (numéro et modulant seulement).
Tous les mots peuvent avoir un préfixe collé devant la racine du mot, et un suffixe ajouté derrière. Le préfixe modifie le sens du mot (c'est le modifiant de racine du mot), le suffixe (le qualifiant de mot de base) donne l'indice du mot (le numéro) puis le modulant ("<" ou ">", par rapport à la moyenne du concept).
On utilise la racine de mot "o" pour tous les mots de position (loin, derrière, dessus, etc.) et la racine de mot "u" pour les mots de gabarit (grand, gros, jeune, etc.). Ces racines "o" et "u" sont indicées par un numéro de dimension dans le repère XYZT (les 3 dimensions spatiales XYZ + le temps).
Certains mots sans mots de base utilisent des syllabes qui ne sont pas liées aux sens des mots de base correspondant à ces syllabes :
Les mots formant un concept aggloméré sont placés dans un ordre précis : quantifiant (nombre) + mot modifiant + mot racine + qualifiants
Le "mot racine" (ne pas confondre avec "racine du mot") est placé en premier, car c'est celui qui caractérise le mieux le concept. Sa fonction est d'être un sujet.
Les mots qui suivent le mot racine sont des qualifiants, et se rattachent au mot racine du concept aggloméré. Les qualifiants sont de 2 types :
Dans les compléments, le qualifiant complément d'action (verbe) est placé en dernier. Le verbe commence la construction d'un nouveau concept verbal, terminant ainsi le concept sujet. Les compléments et adjectifs qui suivent s'appliquent au mot racine du concept verbal.
A résumer ou intégrer au dessus :
Concepts :
Mots de base réduits (300 mots d'une syllabe au lieu de 20 000 multisyllabes) grâce à :
noms propres précédés de "_", nom d'espèces de "a+n°ordre", noms de caractéristiques de "e+n°ordre". Les sons qui suivent n'ont aucun rapport avec les mots de base.
Concept aggloméré (suite de mots de base) :
L'adam c'est :
Les mots de sélections (et, ou , et/ou) permettent de donner plusieurs objets dans le même niveau hiérarchique du concept aggloméré (niveau mot racine, adjectif, complément, verbe).
Les mots de liaison (de, avec, pour, etc.) introduisent un complément, et indiquent comment l'information qui suit va détailler le concept aggloméré.
Les concepts utilisés pour la construction du concept aggloméré, placés en adjectifs ou mot racine, peuvent être des sous-concept aggloméré constitué de plusieurs mots. Ces sous-concepts agglomérés utilisent soit la virgule, soit les mots agglomératifs "ias" (virgule ouvrante) et "ios" (virgule fermante). Ces sous-concepts agglomérés peuvent avoir plusieurs niveaux d'imbrication grâce au numéro de "ias" (ias1, ias2, etc.).
Les compléments sont aussi un processus itératif, c'est à dire que le complément peut avoir un complément et ainsi de suite.
Les compléments peuvent possèder un verbe, il s'agit alors de sous-phrases (un autre type de sous-concept aggloméré). Des sous-phrases imbriquées sont possibles avec "ias".
Le contexte définit le lieu et la date de l'action.
Le modifiant de phrase modifie le sens de la phrase qui suit. La phrase peut ainsi être du conditionnel (si), une demande d'action ou une demande d'information, et un degré de fiabilité (je pense que, c'est prouvé que, il parait que).
Un événement peut être une action (verbe) ou un état (adjectif). On peut avoir des événements simultanés (elle coure et chante en même temps) ou des événements séquentiels (elle coure puis tombe).
Mots :
Un accent tonique (prononcé plus fort) est porté sur la première syllabe de chaque mot.
Micropause entre chaque mot pour symboliser les espaces, pauses plus longues pour les virgules.
Liaisons entre les lettres d'un même mot, pas de liaisons entre 2 mots.
Si la dernière lettre d'un mot est une consonne, ajouter un "e" français derrière pour la prononcer (Ex : "on" se prononce "honne", ou comme le "on" anglais).
Les lettres sont toujours prononcées de la même manière. Ainsi, "eau" se prononce "hé ha hu" (é + a + u), et non le son "o" de bateau. Sauf pour les diphtongues en i+V et y+V des mots de grammaire.
Quelques lettres ne se prononce pas comme en français :
Au final, ça fait 11 voyelles : "aeiouy" (6 voyelles vocales), "gq_" (3 voyelles nasales), le "è" pour le "e" en début de mot de base et le "euh" non écrit derrière les consonnes finales.
Chiffres :
Le "0" ("ny") appartient aux 2 bases.
base 6 : Les consonnes de début de mot sont dans l'ordre alphabétique, et se terminent par "y" : D = dy, F = fy, P = py, K = ky, L = ly, D0 = dyny,
base 10 : Ordre alphabétique pour les consonnes de début de mots, et terminaison en "iy" : 1 = diy, 2 = fiy, 3 = piy, 4 = kiy, 5 = liy, 6 = miy, 7 = niy, 8 = jiy, 9 = siy.
Nombres :
Si nombres inférieurs à 1000 (4 chiffres), inutile de préciser la position du chiffre (puissance de 10 correspondante). ex : D0 = dyny, 10 = diyny, FDL = fydyly
A partir de 4 chiffres (comme 1000), il faut préciser la puissance ("de") après le premier chiffre.ex : 1000 = defiy (10 puissance 3 = mille). 2203 = fiydefiyfiynypiy
On peut si on veut préciser "cent" (D00 = defy, 100 = defiy) : ex : 203 = fiydefiynypiy
Symboles :
"_" devant les noms propres se prononce "on".
Mathématiques : "+" = !pu, "-" = pu, "*" = nofu, "/" = fu, "xy" = x ka y, "x-y" = x kapu y.
Pas de majuscules. Les noms propres (noms de personne, de pays) s'écrivent avec un souligné "_" (tiret du 8) devant (Ex : _elodi).
Les noms propres sont tous retraduits dans l'alphabet adamique, en prenant la sonorité la plus proche de la langue d'origine.
Les nombres décimaux utilisent le point décimal anglais au lieu de la virgule française (ex : x = 51.254).
V = voyelle et C = consonne.
Les mots de base mono-syllabes s'écrivent avec 2 lettres pour les plus courants (CV, VC) ou 3 lettres (CCV, VCC).
Les mots de grammaires commencent tous par "i" (iV ou iVC).
Les autres mots sont décrits à partir d'agglutination de 4 mots de base maxi (modifiants non compris), pas de mots de liens grammaticaux iV dans l'agglutination.
Si un concept nécessite plus de 4 mots de base, on créé un nouveau :
L'adam utilise une base 6 qui facilite les partage/divisions de nombres et le nombre de chiffres à retenir et à manipuler. La base 6 a un principe identique à la base 10, sauf que les paquets font 6 nombres au lieu de 10 (sizaine au lieu de dizaine).
La base 10 a été conservée (uniquement pour les quantifiants ou les dates) pour ne pas perturber ceux qui sont habitués à la base 10 depuis l'enfance, mais disparaitra avec les enfants qui apprendront directement la base6. Pour ne pas confondre, les chiffres en base 6 sont des Majuscules (0DFPKL), les chiffres en base 10 sont les chiffres arabes classiques (0123456789).
Pour écrire les nombres, on utilise le système positionnel classique, de gauche à droite en décroissant. Ex : 452 = 4 x 102 + 5 x 101 + 2 x 100. KLF = K x D0F + L x D0D + x D00
Inutile de créer les mots comme méga, giga, téra, etc. ils sont remplacés par ce qu'ils veulent vraiment dire, à savoir de6, de9, de12, etc. en base 10, deDE, deDP, deF0 en base 6.
Pas de signe pourcent, uniquement l'écriture en décimale. Ex : 52% = 52/100 = 0.52
Un concept est une idée, une représentation de quelque
chose. Un concept décrit un objet, une action, une émotion, une idée, etc.,
tout ce qui peut être exprimé par le langage en fait.
Ex : liberté, humain, voiture, colère, courir, sagesse,
...
Le concept "chat" nous fait visualiser l'image d'un chat, de couleur indéterminée. Le concept "colère" nous fait ressentir cette sensation (d'où le grand pouvoir des mots...).
Si on veut affiner un concept, on rajoute d'autres mots/concepts comme
qualifiants, qui forment un nouveau concept plus précis.
Ex : "chat noir" est un nouveau concept résultant de
l'addition de 2 concepts préalables (un concept d'objet "chat" et un concept
de couleur "noir").
Par la suite, je nommerais "mot" un concept représenté par un mot (lettres collées) dans le dictionnaire, et "concept aggloméré" un concept avec un mot racine qui représente au mieux le concept, suivi de mots en qualifiants, ces mots étant séparés par des espace. Dans ce paragraphe sur les concepts, je ne parle que des notions qui se retrouvent dans tous les types de concept (mots, concept aggloméré), nous détaillerons les sépcificités lorsque nous aborderons chaque type / manière d'écrire un concept.
Un concept, quelle que soit sa forme, sera exprimé selon le même schéma général, et dans l'ordre suivant :
Les modifiants et les qualifiants sont des notions importantes de l'adam, nous allons les détailler dans les paragraphes suivants.
à résumer ici.
Les qualifiants sont placés après la racine pour donner des précisions sur le concept. C'est surtout les concepts agglomérés qui utilisent les qualifiants, les mots de base et les mots agglutinés n'utilisant qu'une partie des qualifiants possibles.
Un concept peut-être rappelé par la suite, grâce au désignant+racine ou à un pronom. C'est le "il" français, le "cette personne".
Reste à définir l'équivalent du "qui" dans une phrase, permettant de dire qu'on va s'attacher à décrire le dernier sous concept et non pas le concept en cours.
Un concept peut être écrit en un seul mot :
Un concept complexe ou trop détaillé s'écrit en plusieurs mots, c'est le concept aggloméré.
Regardons en détail ces multiples possibilité d'exprimer ce que l'on veut dire.
Dans le adam, les mots de base sont mono-syllabes, de 2 ou 3 lettres. Ce sont les briques élémentaires, le sens de ces mots de base étant souvent réutilisé dans de nombreux concepts. Ex : "peu", "lent", "facile", etc. Ce mot de base est constitué d'une racine de mot, qui est le sens de base dédié à ce mot, et peut avoir un modifiant de sens en préfixe de cette racine. Ex : as = dedans/intérieur. noas = opposé de dedans = dehors. nias est l'action d'aller dedans = entrer.
Ordre d'écriture du mot de base : quantifiant + modifiant + racine + qualifiant (numéro + modulant)
Mots sans mots de base (les syllabes suivant la racine n'ont rien à voir avec les mots de base). La racine est "a*" ou "e*".
Il est impossible de nommer en quelques lettres tous les objets, espèces, caractéristiques ou concepts humains de l'univers. Ces espèces ou caractéristiques sont nommées en utilisant des mots techniques
La racine d'un mot technique est "a" ou "e" suivie d'un numéro d'ordre
naturel (minéral, végétal, animal, objets manufacturés, concepts) puis
d'une suite de syllabe.
Ex : a3 = préfixe pour toutes les espèces animales
"e" désigne une caractéristique (bouche, bras, etc.) tandis que "a" permet de nommer les espèces (chat, chien, éléments chimiques, etc.).
Mots sans mots de base (les syllabes suivant la racine n'ont rien à voir avec les mots de base). La racine est "_".
Le mot technique désigne l'espèce (un groupe d'individu), le nom propre est un mot permettant de désigner, dans ce groupe, un individu en particulier. Cet individu peut être un humain, une ville, un pays, etc. Ex: "Jésus" est le nom propre d'un humain, "Paris" est le nom propre d'une ville, "France" nom propre d'un pays.
En adam, les mots nom propre ont "_" comme préfixe (prononcé par la voyelle nasale "on"). Comme pour les mots techniques, les syllabes qui suivent sont sans rapport avec les mots de base. Ex : _jesu ou _"jésus", rien à voir avec les mots de base "je" ou "su".
Dans le cas de concept trop complexes, ou trop détaillé pour justifier un mot dédié dans le dictionnaire, on construit le concept à partir de plusieurs mots de base. Ces mots peuvent être agglomérés (séparés d'un espace) ou agglutinés (collés entre eux).
Les mots de base sont alignés du plus important au moins important (détail). Ex : "chat noir", si on retire "noir" ça veut toujours dire quelque chose, si on retire "chat" ça ne veut plus rien dire, c'est donc le mot "chat" le plus important.
Concept multimots aggloméré.
Si le concept trop détaillé pour justifier un mot dédié dans le dictionnaire (mot de base ou agglutiné), on construit le concept multimots à partir de mots agglomérés (séparés entre eux par des espaces).
Ordre d'écriture (tous séparés par un espace) : désignant + quantité + modifiant + mot racine + qualifiants. Ex : ce 2 cheval blanc no°1
C'est le même principe que pour le mot de base, seuls le désignant et les qualifiants (dont font partie le numéro et le modulant) sont rajoutés.
Concept multimots agglutiné.
Pour simplifier l'écriture, il est possible de coller les mots de base pour former un mot multimots agglutiné, dont la définition sera dans le dictionnaire si risque d'ambiguité.
Les mots agglutinés sont un assemblage de mots de base, mots qui sont collés entre eux (sans espaces séparateurs). La combinaison des sens des mots de base donnent alors le sens du mot agglutiné.
Le mot agglutiné, constitué d'au moins 2 mots de base mono-syllabes, est forcément multi-syllabes.
Le qualifiant n'est pas un adjectif, sinon ça ne vaudrait pas le coup de le noter dans le dictionnaire. Il s'agit forcément d'un complément, reste à déterminer lequel est le plus utilisé, de surement (mesure de temps, champ de blé, etc.
Ex : nias = entrer. vy = alimentaire. niasvy = faire rentrer de la nourriture à l'intérieur => manger
Ordre d'écriture du mot de base : quantifiant + modifiant + racine + qualifiant (numéro + modulant)
C'est le nombre de racines, il est placé en premier. Pour ne pas confondre avec la quantité (séparée du mot par un espace), le quantifiant (quantité collée au mot de base) est toujours écrite en toute lettre. Ex : "0 mouvement d'eau" soit "nylaflo" pour dire le mot agglutiné "lac"
Elle réponds à des critères de choix de sens précis.
Quand on affecte un mot (ex : "as") à un concept
dual (ex : "dedans" et "dehors"), le choix du sens que
prendra "as" ("dedans" ou "dehors" ?) obéi à certaines règles. Ces règles
de choix du sens de la racine de mot, dans l'ordre de préférence
décroissante, sont : Positif (altruisme) pour l'humanité - moteur/cause de
l'action - racine vers opposé = sens croissant d'un axe spatio-temporel - sens
le plus utilisé.
Ex : pour dedans ou dehors, l'origine de l'axe étant "dedans"
et dirigé vers "dehors", "as" voudra dire "dedans" et "noas" (son opposé)
"dehors".
Les qualifiants donnent des infos complémentaires à la racine. Il sont forcéments limitées puisqu'il s'agit d'un mot de base donc généraliste et peu détaillé. On retrouve comme qualifiant :
Ces mots indiquent que le concept qui suit est de même niveau hiérarchique que le concept d'avant. Ex : chat noir et blanc. "et" indique que blanc se rajoute à noir et non à chat.
Le mot de sélection s'applique indifférement à une racine (on a alors 2 racines) ou à un qualifiant :
Attention au fait que le "et" français indique à la fois l'addition et la
superposition, alors qu'en adam c'est uniquement l'addition (la superposition
est implicite et ne nécessite pas de mot).
Ex : en français, noir et blanc veut à la fois dire que les
2 couleurs se superposent / sont mélangées (couleur grise) et à la fois que
les 2 couleurs sont présentes (donc tâches de noir à côté de tâches de
blanc). En adam on dit "noir blanc" pour gris, "noir et blanc" pour dire qu'on
a les 2 types de tâches noires et blanches côte à côte.
Les qualifiants, placés après la racine pour donner des précisions sur le concept, sont définis en 2 grands types :
Le qualifiant s'applique toujours à la racine du concept ou sous-concept auquel il appartient, jamais au qualifiant qui le précède (sauf si le mot agglomératif "ias" est utilisé).
Adjectif
Un adjectif est intrinsèque au mot racine. Par exemple, si on peut utiliser "être". Ex : "chat noir", noir est adjectif car on peut écrire "le chat est noir" ce qui a le même sens.
Ces adjectifs respectent un ordre précis : donner cet ordre
Complément
Un complément est un qualifiant ne faisant pas partie du concept, et qui doit être introduit par un mot de liaison. Le complément est une notion très puissante et importante dans l'adam, car une phrase n'est qu'un concept, concept avec une racine (le sujet) et un complément d'action de ce sujet (le verbe), ce verbe étant un sous-concept pouvant lui-même avoir des compléments (les compléments d'objet directs des grammaires anciennes).
Le mot de liaison (qui introduit un complément) entraîne derrière lui la construction d'un nouveau concept aggloméré (avec racine de complément et qualifiants liés au mot racine du complément, non plus à la racine du concept). Il est donc, inutile d'utiliser "ias" comme dans les adjectifs agglomérés.
Le complément est un processus itératif : le complément peut avoir lui même des complements qui peuvent à leur tour avoir des compléments et ainsi de suite.
Un sous-concept permet d'écrire un concept aggloméré comme si c'était un mot, lui permettant de s'intégrer facilement dans le concept aggloméré supérieur.
On utilise les principes suivant :
Les mots agglomératifs sont itératifs : un sous-concept aggloméré peut lui-même avoir besoin d'utiliser un sous-sous-concept aggloméré dans sa description, et ainsi de suite.
Seuls la racine et les adjectifs dans un concept aggloméré sont susceptibles d'avoir besoin d'utiliser un sous-concept aggloméré.
Résumer ici la sous-page
Une phrase est un simple concept aggloméré, dont la racine est le sujet, et le qualifiant-complément d'action le verbe. Ce verbe peut avoir ou non des compléments à son tour, les fameux "complément d'objet direct", ou COD, les subordonnées circonstancielles, etc. des grammaires traditionnelles. La grammaire adam est bien plus simple (compréhension, utilisation) de ce point de vue là, et paradoxalement cette simplicité la rends plus puissante pour exprimer des concepts complexe.
Les différentes astuces restantes de pronoms gérant les articulations entre phrases, comment définir le contexte, etc.
Les événements sont des adjectifs (état) ou des actions. Ces événements peuvent :
Ces mots de base sont les seuls à retenir, ils permettront ensuite de pouvoir exprimer tous les concepts que l'on veut.
Le format tableur permet de trier dans l'ordre alphabétique adam (dictionnaire adam-français, utile pour lire du adam) ou dans l'ordre alphabétique français (dictionnaire français-adam, utile pour écrire du adam).
La slection d'une colonne puis le ctrl+H vous permet de retrouver rapidement le mot que vous voulez lire.
Voir le tableur ici (format .ods "Calc" de libreoffice, logiciel gratuit).
Grands principes du lexique adam. exprimer oui-non, les grands nombres, les mots de la journée, du temps, etc.
On verra plusieurs astuces utilisées pour réduire le nombre de mots nécessaires (par exemple, affecter un numéro à une particule (particule 6 = électricité, particule 7 = magnétisme) ce qui évite de créer un nouveau mot à chaque fois qui ne veut rien dire.
Les couleurs ne sont pas référencées par un objet proche, pour ne pas confondre. Mais il est possible de dire "couleur blé".
Faire le résumé ici.
Voyons quelques thèmes intéressants à connaître, dont il faut connaître la définition des numéros utilisés.
Certains mots de base sont notables, comme ceux dédiés à la position ou au gabarit. Ces mots permettent d'éviter de trouver des mots pour petit, grands, large, loin, près, etc. L'utilisation du mot de dimension et d'un modulant permet de créer des centaines de mots à partir d'un seul.
Si une dimension est moyenne on n'en parle en général pas dans l'adam, seules les choses vraiment intéressantes méritant d'être soulignées.
Ordre d'écriture : racine ("o" ou "e") + qualifiants (numéro d'axe + modulant)
Définition des axes du repère spatio-temporel :
Dans ce qui suit, "*" indique le numéro d'axe du repère spatio-temporel.
"o*" est la position dans le repère. Ex : oD = devant, nooD = derrière, oP = en haut
"u*" est la dimension selon le repère. Ex : oP = taille/hauteur, oP> = grand
Permet à l'énonciateur d'exprimer un sentiment ou une émotion ; elle est souvent suivie d'un point d'exclamation ou d'un point d'interrogation. => ah ! oh ! ouf ! hein ?!
Le texte qui suit est un son plutôt qu'un mot. il est précédé de "!", et
finit par "!" si le son est brutal et se finit soudainement. Le "!" de départ
ne se prononce pas à l'oral, c'et l'intonation d'imitation du son qui permet
de savoir que c'est une onomatopée.
Ex : "!pan!"
C'est dans les onomatopées que le son "r" est utilisé.
Ex : !grrrr pour un grondement de félin.
Parler des symboles scientifiques utilisés dans les formules (voir dans le calc ce que j'ai déjà fait), l'indice et l'exposant aD13 pouvant s'écrire, pour éviter les manipulations de clavier, aD_DkaP. Principalement des consonnes seules (jusqu'à 3) et un numéro collé derrière à ne pas confondre avec l'indice, mais pour multiplier le nombre de symboles possibles. Dans le but de ne pas rendre élitiste la lecture des formules mathématiques. Ne pas rendre ce langage étrange par ceux qui n'ont pas l'habitude de le lire. On réutilise aussi les o* et u* qui sont déjà des notations mathématiques. fini par n si c'est de l'énergie perdue.
Voici quelques textes français traduits en adam. On y trouve la classique tour de Babel, ainsi qu'un résumé pour expliquer ce qu'étaient ces dieux sumériens ou grecs qui voulaient empêcher les hommes de discuter entre eux et de s'entraider.
Lors de l'élaboration de l'adam, il a fallu faire des choix, des solutions qui paraissent illogiques au premier abord mais qui permettent d'obtenir plus de simplicité au final. Pour ceux qui seraient intéressés, rentrons un peu dans la conception d'un nouveau langage.
Le adam, de par son jeu de caractère réduit, la rigueur et la simplicité de ses règles de construction, s'adapte particulièrement à l'environnement informatique.
Il est possible de coder informatiquement l'adam sur 5 bits seulement au lieu de 8 bits, ce qui diminue fortement la taille des fichiers texte.
De même, le clavier est simplifié, ce qui facilite les interfaces sur smartphones.
Cette page décrit la technique et le pourquoi du comment de l'adam.
Mais si vous voulez apprendre l'adam sans vous préoccuper trop de grammaire, vous pouvez ouvrir ce paragraphe (en cliquant sur le lien hypertexte du titre) et suivre une leçon (du genre "J'apprends l'adam en 6 minutes par jour") qui vous permet de maîtriser le langage en quelques jours, tout en vous apprenant les mots du vocabulaire de base.
L'adam c'est simple : on écrit la quantité, le modifiant, puis le sens principal du concept (la racine, le sujet), et des détails derrière. Si les détails sont des caractéristiques de la racine(les adjectifs), on ne met pas de mots de liaison, si c'est des compléments extérieurs on rajoute un mot de liaison devant.
Ex : homme grand avec gilet. grand est un adjectif, et le gilet ne fait pas partie de l'homme, il faut rajouter la liaison "avec" devant le complément "gilet".
En fin des détails, on écrit le complément sur l'action que fait le sujet (le verbe) en mettant la liaison "i" devant, puis on détaille le verbe, de la même manière qu'on l'a fait pour le sujet.
Ex : Je i mange avec Brigitte. "Je" est le sujet, "mange" est un détail d'action sur le sujet (qu'est-ce que "je" fais), puis ensuite les détails ne s'appliquent plus au sujet mais à l'action (le complément "avec Brigitte" s'applique à l'action de manger, et plus à "je").
La page wikipédia du toki pona.
Leçon d'apprentissage du toki pona.
Le Ta Ti, une variante du toki pona réduit à 98 mots de 1 syllabe.
Le glosa, je suis tombé par hasard dessus après avoir finalisé le adam, et finalement j'ai abouti un peu au même principe de base, au niveau grammatical tout du moins. J'ai reconstruit sans le savoir en 2017 un langage de 1947... Par contre le langage lui-même ne tient pas les promesses de simplicité annoncés (n'a pas le principe des racines monophonèmes, ou encore la simplicté de prononciation des nombres, utilise la construction de phrase française, les être et avoir inutiles, etc. bref, pas du tout le langage simple annoncé). On y était presque, manquait quelques pas supplémentaires de reculs. Mais quand je vois le temps que j'ai passé à avancer dans l'adam, à tout refaire à chaque fois qu'une simplification apparaissait, je comprends que tout le monde n'ai pas eu cette patience, ni l'esprit mathématiques qui manque tant aux littéraires, ni à l'époque la technologie logique des langages informatiques !
Le Toki IO, une simplification intéressante du Toki Pona qui m'a inspiré sur quelques points.
Expliquer cette nuance : un adjectif qualifie le nom/racine, et un complément est un nom/racine, qui se lie, grâce au mot de transition, à la racine du concept aggloméré. C'est pourquoi on concept agglutiné sera toujours composé de 2 noms, le second étant à quoi est relatif la racine. Par exemple, un mesureur de temps. Le concept agglutiné évite de mettre le mot de liaison "de" (relatif). ChienChef est un chien de chef, chien chef est un chien avec l'âme d'un chef, ChefChien est le chef de la meute des chiens.
Un nom propre est un adjectif, si on veut spécifier que _odette est un humain et nom une machine nommée _odette, on écrit am _odette ou mach _odette. C'est un qualifiant de l'objet.
Les unités s'écrivent en premier (1000 m, il faut attendre la fin savoir si c'est des unités astronomique ou des microns..), et le multipliant s'écrit derrière en puissance (ka). Ainsi : "unité"+numéro d'unité+ka"puissance" puis nombre. Pour simplifier, on pourrait mettre des consonnes au lieu de "unité"+n°, ou "unité de vitesse" au lieu de m/s, à voir le plus compréhensible puis le plus concis.
Comme pour les généralités, finir de séparer la partie en 2 : ce qui concerne le vocabulaire (jusqu'au concept aggloméré et adjectif), ce qui concerne la grammaire / l'enchainement des mots (depuis les compléments de concept aggloméré).
Finir de reprendre les pages de définitions (juste donner la définition et le principe /fonctionnement rapide) et recopier la partie technique détaillée dans les pages qui suivent.
Finir de mettre à jour la grammaire du Adam, le vocabulaire viendra après.
Une fois le logiciel avancé, intégrer calc dedans puis passer le j à la fin de l'alphabet, derrière le s.
Remplacer la lettre y par c (plus proche de la graphie simple des voyelles et comme un "u" renversé, et plus facile à lire, plus esthétique).
Les chiffres se finissent en "u", pas en "ou" (c).
Pour les mots agglutinés, pas de "rotation autour" pour le sens, c'est le lien "autour de" qui est rajouté. Même si on pourrait prévoir que pour certains mots, ce ne soit pas "de" qui soit prévu si on ne mets pas de lien. Sauf si le lien "autour de" ("centré sur") ne sera utilisé que pour le mot "rotation".
On garde le principe du mâle - femelle "fa" sous forme d'embranchement, mais on rajoute une racine 2 lettres pour les formes, suivi d'un numéro. Il faudra apprendre par coeur. Ces formes en I, H, T croix, etc. seront appliquées à des formes en batons sur une section, forme extérieure, etc. ces formes seront avec des batons (nombre de batons suivis d'un numéro d'arrangement (la forme 1 étant centrée (alignée sur bâton vertical), 2 décalée sur les extrémités, comme croix = 2 batons1, T=2baton 2, H = 3batons1, I = 3 baton2, on pourrait rajouter l'inclinaison en ° (x = croix à 45° sur la gauche). Pour les formes pleines, formées avec des angles (zéro angle = cercle, 3angle, 4angle, etc.).
Pour le mot de base, on utilise des suffixes en -eur (quantifieur, modifieur, etc. car ils sont collés) et pour le concept aggloméré (séparés par des espaces), des suffixes en -ant.
J'en suis à reprendre l'arborescence en tête de chaque page, après mots de base. Dans mot de base, il faudra mettre le modulant en qualifiant (y réfléchir avant si c'est bien ça), avec le numéro, et séparer la page entre mot de base et concept aggloméré ou agglutiné.
Pas de mots de liaison dans les mots agglutinés normalement. Je pense que les adjectifs ne servent à rien dans un mot agglutiné, par défaut ce sera "de" le mot de liaison. si un doute, on fait une expression avec un espace de séparation et le mot de liaison. A voir quel mot de liaison sera le plus souvent utilisé (celui de "adam").
Les mots de grammaire en "i*" sont dédiés aux liaisons de compléments. Donc "ias" et "et/ou" et pronoms "ied" (je) se retrouvent en "y*" : ias=> ya/yo ou yas si on manque de mots de liaison. ye pour "et" et "ou", "yy" pour "je".
Une fois résumé, reprendre la page de grammaire pour finir de la mettre dans la page maitre, et redispatcher toutes les techniques dans les pages dédiées, cette page de grammaire ne doit contenir que les définitions, pas toutes les techniques.
Par exemple, entre la page sur les mots de base, vérifier que je ne mets pas le sens des concepts agglomérés dedans, sinon le déplacer dans la page sur concept aggloméré (créer une page dédiée aux mots agglutinés, mots techniques, qui sera placée après les concepts agglomérés car elle s'appuira sur la même technique, même si un concept aggloméré peut utiliser des mots agglutinés).
Dans les verbes, dire que le mot égalité signifie "définition", et peut remplacer "we are the world" ? peut donc remplacer une des définitions de "est" en français. Car dans ce cas-là il faut bien dire que ce qui suit est une définition d'objet, pas une qualification (homme est un primate bipède est différent de homme primate, qui tend à dire que l'homme a des tendances simisesques plus que la normale (normale définie par la définition du mot homme dans le dictionnaire ou plus tôt dans le texte avec "est")).
Finir de résumer les caractéristiques générales, puis reporter les modifs dans la page fille.
Pour retrouver une unité de distance après les événements, regarder si en regardant le soleil avec un verre fumé, son diamètre apparent sera toujours le même. Regarder si l'axe de la Terre fait que ce soit toujours au plus loin de l'éllipse que son axe pointe pile poil vers le Soleil ? Regarder la distance Terre Soleil au moment des équinoxes, si c'est la même. Si oui, définir la mesure de base à partir de cette date. Et essayer, à partir de la base 6, de retrouver une unité de mesure proche du mètre (ou regarder si la coudée n'est pas plus pratique ? par exemple pour écire la vitesse de la lumière ?
Faire le reste à faire dans la page des mots de liaison.
ed, en ne sont pas dual, voir si c'est utile de les laisser en 2 lettres plutôt qu'en 3. De manière générale, tous les concepts non duels ne sont pas des concepts de base ? Si on décide ça, le noter dans la page sur les mots de base (mot de base primordiaux en 2 lettres, mots de base secondaire en 3 lettres). Sauf évidemment pour les mots couramment utilisés.
Si les mots agglutinés n'ont pas résolu le problème des mots de liaison, créé comme définition de outil ym "outil servant à obtenir", comme ça on pourra coller la racine à ym (ym"coupure" = couteau).
Rechercher dans toutes les pages du répertoire adam le style rouge, pour faire ce qu'il restait à peaufiner dans les pages.
voir si "su" et "ul" (lune et Soleil) peuvent disparaitre. ul et su sont remplacés par 2 choses :
- par leur nom propre (prendre un nom idem que le mot de base, le souligné devant indiquera si on parlera d'un astre ou d'une durée),
- par un mot de base 3 lettres qui n'indique plus un astre mais une durée orbitale, (celle de la Lune et du Soleil, correspondant au mois et année). Cette durée sera liée à notre Soleil, il faudra trouver un autre terme pour année orbitale généralisée à n'importe quelle planète (afin d ene pas confondre).
Dans le calc du adam, Reprendre tous les mots en :
- donnant pour chaque variante la définition selon la fonction, dans la case de la racine : en nom ou en adjectif. Laisser la case avec "i racine" (en verbe)
- détailler bien le ni et le ak (l'actionneur et l'actionné, forme passive, voir si on n'impose pas plutôt de toujours imposer la forme active, en disant "quelque chose" si on ne sait pas qui est l'actionneur ?) et ym (outil servant à).
- Si le mot est racine d'un mot agglutiné, le mot agglutiné est mis à la suite de tous les mots générés par la racine, le fond de case est de couleur orange plutôt que verte (voir au début du calc). Ce mot agglutiné est suivi de tous les nouveaux mots générés, comme si c'était un mot de base de 2 lettres.
- Si le mot peut être retrouvé par d'autres mots de base, car il s'agit de mots de base non nécessaire, juste pour obtenir un langage plus court à écrire et à prononcer.
Dire que les animaux sont repérés suivant le sens de leur plus grande longueur. Debout, ils sont bipèdes, taille sur Z (oP). Couché ou à 4 pattes, la taille est sur x (oD). Il s'agit de la mesure dans la position usuelle : le plus haut étant la tête chez les bipèdes (pas les bras levés mains tendues, ce qui pourrait pourtant être une bonne mesure pour savoir jusqu'où on peut attrapper), le plus long étant la tête aussi chez l'animal (pattes avant debout, pas étalées devant).
Pour électromagnétisme, même si c'est le même phénomène, on sépare électrique et magnétisme. Attention car tous les phénomènes sont liés, mais on mettra lo4 et lo5. Ecrire cette règle de construction quelque part, après avoir corrigé electromagnétisme.
mettre un mot pour nourriture, un mot pour air, et utilisé avec le mot toxique - neutre - bon, on aura air respirable, nourriture mangeable ou bonne à la santé. neutre pour les plastiques alimentaires.rajouter temps log ou rapide pour déterminer l'importance de la toxicité.
Développer "ko", c'est le plus et le moins, mais il faut peut-être préciser si on parle d'individus (médiane) ou si on parle de valeur (moyenne). La moyenne c'est plus "ke" (peu et beaucoup). Préciser si pas déjà fait que ke permet de spécifier de combien on est ko.
nopa (cage) n'est pas le bon terme. Il faut plutôt dire que c'est une portection pour l'extérieur que pour l'intérieur.
Idem pour nope (placenta) c'est plutôt un type d'oeuf que son contraire.
Pour les mots altruiste et égoîste, il faut plutôt ajouter le moi orientation puis spirituel (facultatif ?) puis moi ou autre derrière (égoîste-altruiste), et pour définir ceux qui pensent autant aux autres qu'à eux même, on pourait écrire "orienté-eux-moi".
"dsi", le contraire de croyance c'est plutôt savoir, quelque chose qu'on a expérimenté ?
Regarder si on ne peut pas simplifier en créant des mots identiques comme bois, et qui pourraient, utilisés avec un mot le précisant, dans quel contexte on l'utilise. Exemple : lieu du bois = forêt. Lieu couvert du bois coupé = abri à bois coupé.
Vérifier que "approximatif" et "incertain" soient 2 notions séparées.
Finalisation de l'adam :
Le dictionnaire du ba gai dun est en favori, vérifier que tous les concepts sont dans mon dictionnaire.
reprendre le dico esperanto (dernier mot traité surligné en jaune), créer tous les mots qui manquent. Ensuite vérifier avec les 1000 mots du dico glosa.
Refaire un dernier tour, puis regarder la gueule des mots, les améliorer esthétiquement par la suite.
traduire la page principale du site, puis la page de la théorie des flux. En créant une architecture dans le répertoire "ad" organisée comme suit : fait, modele.
Une fois fini, mettre le lexique .ods dans im0 (objets de base).
à suivre...