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Nature Humaine (amocalypse)
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Première version: 2017-03-21
Dernière version: 2018-08-15

Objectifs de l'adam

Sommaire de la page


Préambule

Plusieurs questions peuvent se poser sur le adam. Pourquoi un nouveau langage auxiliaire international ? Comparaison avec les autres langages internationaux ou avec l'anglais ? Philosophie générale du adam ? etc.

Pourquoi un langage commun ?

Parce qu'avoir un langage commun créé une communauté avec des valeurs communes. Une communauté à l'échelle de la planète nous permettrait d'avancer très loin dans la vie, en mettant en commun les compétences de chacun.

Evidemment, le but est de créer un monde au service envers les autres (ce qui revient à nous rendre service au final) et non comme aujourd'hui un monde égoïste de service envers soi (donc au service des dirigeants).

C'est bien marqué dans la bible, l'éternel (le faux dieu annunaki qui descend du ciel ou des étoiles, donc extra-terrestre) a créé plusieurs langages à Babel pour que les hommes continuent à servir les faux dieux annunakis, ne s'aperçoivent de leur esclavage et ne deviennent trop puissant en foutant les dieux dehors.

Une seule langue commune, et les hommes pourraient faire tout ce qu'ils veulent ! (exercer son libre arbitre sur sa vie).

Parce qu'il est plus difficile de tuer des humains qui parlent la même langue que soi (c'est pourquoi, pour tirer sur la foule, on prends la légion étrangère, des gens parlant mal la langue locale, qui ont eu peu de temps pour se lier d'amitié avec la population qu'ils doivent décimer).

Parce qu'un seul langage évite de disperser les énergies en traductions, à dupliquer les choses dans toutes les langues, à avoir des armées de traducteurs officiels, etc.

Ça évite aussi les incompréhensions des étrangers qui comprennent mal l'accent, les pertes d'énergies.

Permet de rediriger toutes ces énergies gachées vers des choses vraiment importantes. Rendre le savoir accessible à tous les peuples, pour un développement harmonieux sur la planète.

Pourquoi un langage de plus

Au fur et à mesure de mon éveil spirituel, je me suis rendu compte que les langages, français comme anglais, étaient bourrés d'erreurs de logique, et ce de façon volontaire pour limiter notre raisonnement.

Les anciennes langues sont toutes conçues pour :

Tous les langages existants ont pour but d'asservir le peuple, de brouiller les choses simples, et de cacher des choses que seule une élite au pouvoir apprends à décrypter en y étant formée dès le plus jeune âge (ils n'attendent pas leurs 7 ans pour apprendre à lire et à écrire, et leurs études sont plus longues que celle du peuple)

La complexité inutiles des anciennes langues augmentent l'illetrisme, et font perdre du temps aux enfants alors qu'il y aurait tellement d'autres choses plus importantes à apprendre, que de se concentrer sur le simple outil qu'est le langage. Sans compter que toute tentative de discours par un gars intelligent mais ayant des lacunes en ortographe se terminera par :

- "apprends à écrire correctement d'abord".

La structure des langues brouille notre compréhension et notre analyse du monde : Toutes les langues actuelles insistent sur celui qui subit (le complément), et occultent très souvent la cause (le sujet) : les lois sont votées (par qui ? qui les a imposées ?). Pour éviter tout ça, le adam se recentre sur le sujet. C'est la base de tout, le sujet est mis en premier. Son absence est suspecte et saute aux yeux, mettant le lecteur en mode alerte...

Voyons un peu toutes ces malversations de langage qui nous pourrissent la vie :

A 45 ans je n'ai plus envie d'arrêter ma pensée en cours d'écriture pour savoir si on mets "er" ou "é" à la fin d'un verbe, ou si c'est "à" ou "a" qu'il faut mettre...

Plus ça va, plus je m'aperçois qu'on ne peut pas exprimer grand chose dans ce langage, et que si je veux parler de choses poussées aux masses populaires qui n'ont pas eu la chance de faire 20 ans d'étude, c'est peine perdue. Il faudrait qu'ils ouvrent à chaque mot le dictionnaire.

Après 25 ans d'efforts acharnés d'apprentissage de l'anglais je n'arrive toujours pas à lire et encore moins à parler correctement sans passer pour un mongolien (alors que pour un français, l'accent anglais est le même qu'un mongolien parlant français, d'où notre réticence à parler l'anglais comme on le devrait). D'ailleurs, je ne suis pas le seul, il est rare qu'un non natif de langue anglaise soit bon dans cette langue et du coup puisse évoluer dans le monde moderne. Qui arrive à différencier, dans tous les accents anglais qui existent, les mots "beach" et "bitch" ? Ces melanges sont très prisés des humoristes de bistrots, alors qu'il est possible de faire rire sans recourir à ces double-sens graveleux.

Quand au français, tant que j'étais un littéraire j'étais bon en français à l'école mais mauvais en maths. En devenant un scientifique c'est l'inverse qui s'est produit, comme si les 2 choses étaient inconciliables... Je n'irait pas jusqu'à dire que c'est peut être fait pour, un scientifique n'étant crédible qu'aux yeux de ses congénères et un idiot savant comme un "philosophe" étant capable d'hypnotiser et d'endormir les foules en se faisant passer pour un génie. Einstein a toujours été considéré comme un original un peu fou que personne ne comprends. C'est quand des philosophes médiatiques ont décidé de l'encenser qu'il est devenu connu.

Pour ceux qui auraient du mal à renoncer à la langue française plusieurs fois millénaire, à notre tradition des gaulois et tout ça... Il faut savoir que le français dans sa forme moderne n'existe que depuis 200 ans (avant 1800 c'est illisible), et que chez le peuple, mes parents parlaient patois d'origine (occitan) et ont été forcé d'apprendre le français à grands coups de règle sur les doigts seulement après l'invasion US de 1944...

Grammaire simplifiée

C'est la conquête normande qui a fait perdre à l'anglais sa grammaire compliquée. Les Allemands après la seconde guerre mondiale ont eux aussi nettoyés drastiquement toutes les règles inutilement compliquées qui leur pourrissait la vie depuis des siècles. Ils ont ainsi pris le chemin des chinois, gens intelligents qui s'en sont débarrassé depuis des millénaires déjà !

Pourquoi un langage auxiliaire de plus

Depuis longtemps les hommes se sont rendus comptes des limites de leur langue maternelle et ont cherché à les améliorer (Ampère au début des années 1800 par exemple). J'ai cherché un langage mieux foutu que les langues actuellement utilisées.

Depuis 2000, et de plus en plus, les gens se mettent à chercher à créer une langue internationale. Mais mon ressenti c'est que c'est suite à des commandes pour un Nouvel Ordre Mondial...

La majorité des langages construits cherchent absolument à repartir de mots existants dans des langues existantes, en reprenant l'erreur (a mon avis) de la syntaxe compliquée et du bridage apporté à la construction des mots par la nécessité de mettre un suffixe grammatical derrière (virin devient virino si c'est le sujet, virina si c'est l'adjectif, virini pour un verbe, etc.). Du coup la forme des mots est bridée par les préfixes et suffixes, et nécessite un grand nombre de caractères.

Esperanto

Complications inutiles avec les déclinaisons, flexions et genre, sans parler des nombreuses lettres et des accents qui rendent la lecture difficile et rébarbative, les suffixes qui empêchent d'utiliser des voyelles à la fin des mots (ou alors, c'est très moche et dur à prononcer , avec possibilité de mélange pour les dislexiques). L'idée d'un vocabulaire de base qu'on agglutine m'a parue intéressante. Mais il y a trop d'incohérence pour que la compréhension sans dictionnaire puisse se faire. Sans compter qu'il s'adresse quand même à un cercle élitiste avec un minimum de formation.

Il faut toujours plusieurs mois ou années pour les maîtriser. Sans compter qu'on garde la vieille notion de différencier selon le sexe (une complication de plus), alors que dans les faits on s'en fout sauf rares cas.

Toki Pona

Langage minimaliste qui mets des indications contextuelle pour savoir si on parle du verbe ou du COD. Génial, enfin une grammaire simple pour un gars comme moi qui n'a jamais aimé passer 10 ans à étudier la théorie des langages, mais veut s'en servir comme d'un outil.

Si au bout de 4 heures je comprenais ce langage, je voyais vite qu'il était tros basique et ne pourrait jamais remplacer un vrai langage international.

Le Toki Pona est facile d'apprentissage mais compliqué et long à l'utilisation, et volontairement limité.

Dans l'histoire de l'adam je liste un peu les point négatifs de ce langage qui m'ont forcé à les dépasser pour arriver à créer un nouveau langage.

Ba dai gun (cosmopolite)

Le cosmpolite me confortait dans l'idée qu'il était possible de travailler sur un langage par onomatopées, même si je ne pouvait pas l'utiliser à cause de ses déclinaisons en suffixe.

Petite histoire du adam

N'ayant pas trouvé de langage satisfaisant, il m'a fallu m'y coller (encore une fois) pour repenser le langage depuis la base, à savoir la communication la plus fiable possible entre humains. C'est là que je me suis aperçu que mon bagage d'informaticien est bien utile à l'occasion (sans compter que j'ai passer 11 ans à travailler sur l'analyse et la création des codes de robots d'usinage, ça m'a mine de rien bien aidé à formaliser le adam, notamment au niveau de l'articulation logique entre des mots de base). Ma grande culture générale sur pleins de sujets (sciences, histoire, religions, mécanique, maintenance, conception, électricité et automatismes, cosmologie, thermodynamique, etc.) me permet aussi de voir les différents concepts qui reviennent souvent, d'en tirer des schémas globaux qui je l'espère aidera l'apprenant à élargir sa vision du monde, à prendre du recul et à faire les liens.

Comme beaucoup, j'ai été séduit par la simplicité et la clarté du toki pona, puis après son étude, comme tout le monde, mon esprit analytique a trouvé dommage d'avoir un mot pour une chose et un autre mot pour son opposé, sachant que l'inversion de sens existe avec ala. Je suis parti là-dessus, puis une chose en entrainant une autre, l'idée de milieu entre les 2 opposés entraine qu'il n'y a plus qu'un mot au lieu de 3, etc. On arrive très vite au fait qu'un même mot de 2 lettres peut remplacer 20 mots français compliqués, sans logique entre eux.

On s'aperçoit aussi que la redondance d'écriture (faible vocabulaire de base et plusieurs sens possibles pour un même mot) oblige le toki pona à utiliser beaucoup de mots, autant les réduire dès le début à une syllabe, comme l'on fait le Ta ti, le ba gai dun, le toki IO, etc. qui se basent sur la toki pona. Par contre ça implique de devoir recréer des mots à partir de rien, de s'occuper de leur sonorité, de s'assurer de leurs enchaînements correctes avec les mots qui leurs seront accolés, etc. Autant dire que l'idée de se retaper la création de tout un dictionnaire m'avait toujours rebuté vu le boulot que ça représente, et c'est le cas d'ailleurs de tous les langages construits, trop de boulot. Mais finalement quand on ne peut éviter cette étape si on veut un langage correct.

On s'aperçoit aussi que le toki pona, au lexique trop minimaliste, ne sera jamais rien d'autre qu'un exercice de style. Il faut donc recréer une liste de mots de base, c'est à dire remettre tout à plat et s'interroger sur quels mots sont la base de tout, le sens profond de toute chose.

En devant trouver les noms et leur opposé, en réfléchissant au sens premier des concepts, les idées bouillonnent, les simplifications jaillissent, c'est toutes les supports branlants inutiles des vieux langages qui s'effondrent les uns après les autres. J'ai du y passer 3 semaines pour initier la base, jour et nuit puisque les idées et les simplifications jaillissaient en continu.

Quand on s'attaque à une telle montagne, on créé souvent des simplifications géniales, qui après les avoir formalisé montrent qu'elles peuvent encore se simplifier tout en étant plus puissantes. Il faut de nouveau reformaliser, beaucoup de réécritures à chaque fois ! Avec il faut bien l'avouer la hantise de tomber sur l'os qui ne pourrait se résoudre et mettrait tout à plat...

Bref, cette période fut épuisante mais très enrichissante. La grandeur de la tâche a fait qu'il m'a au final fallu plusieurs années...

Objectifs du adam

Le adam fait un compromis entre la facilité d'apprentissage (sans être simpliste et limité comme le Toki Pona) et la facilité d'utilisation, il clarifie tout avec des mots n'ayant qu'un seul sens, indépendants du contexte, et ne nécessite pas de gros moyens intellectuels ou une solide culture préalable.

Le but du adam est la simplicité. Des sons simples, faciles à prononcer, qui ne peuvent se confondre. Plus besoin d'apprendre 20 000 mots par coeur, moins de 300 mots de base suffisent pour pouvoir tout exprimer (presque autant que les verbes irréguliers anglais à apprendre par coeur). La définition du concept est contenue dans sa formulation, plus besoin de dictionnaire et d'années d'apprentissage. Il n'y a plus d'ambiguités, capacité de tout décrire, des mots courts pour augmenter le débit de transmission d'information, et logique (on peut retrouver un concept par simple logique si on ne s'en souvient plus).

Peu de mots à apprendre.

Possibilité de l'apprendre rapidement en comprenant le mode de création des concepts et des mots (on peut retrouver un mot inconnu, il n'y a plus que le vocabulaire de base à apprendre), ou possibilité de l'apprendre de façon classique sans comprendre les astuces de construction (mais il y a alors plus de mots à mémoriser).

Comparaison avec d'autres langages construits

L'avantage de ce langage est de ne pas utiliser les terminaisons avec des voyelles de l'espéranto, qui obligent les mots racines à se terminer sur des consonnes. Ni non plus d'utiliser des phonèmes compliqué pour les langues asiatiques, ou très proche (un seul cheveux sur la langue et on ne comprends plus rien, alors qu'avec le toki pona sin on continue à comprendre).

Beaucoup plus simple et efficace que le kotava, qui par exemple complexifie au niveau de l'accent tonique qui n'apparait qu'à l'oral. Avec le adam, tout ce qui est à l'écrit se retrouve à l'oral et inversement.

Différences du adam avec le toki pona

Ambiguités dûes à la grammaire ou au grand nombre de concepts différents exprimés par un même mot levée.

"no" (l'opposé) placé en modifiant (devant le concept) au lieu de derrière en qualifiant, car "no" est considéré comme plus général que la racine.

3 consonnes de plus pour augmenter le nombre de mots d'1 syllabe.

Le vocabulaire est différent et principalement sur 1 syllabe au lieu de 2 ou 3 syllabes, de même que les séparateurs (li devient i). Il y a plus de mots de base (car plus de concepts) donc moins limité, et présence d'un grand nombre de mots détaillés fournis en plus (mais qui pourraient être réexpliqués comme le veut la philosophie du toki pona, et ne concernant que des domaines particuliers qui ne se retrouvent pas dans la discussion de tous les jours). Au final, il n'y a guère de mots à apprendre par coeur en plus.

Les phrases avec le verbe être n'existe plus (pas de verbe, juste l'écriture du concept).

Les nombres sont gérés différemment, ils sont complets.

Existence du nu, modifiant d'inversion, et de ne, modifiant de neutralité.

Les temps ne sont pas appréhendés de la même manière.

Les questions sont gérées différement avec la préposition "ke".

Plusieurs petites astuces supplémentaires :

Pourquoi rajouter des concepts au toki pona ?

Le toki pona est anti-scientifique, et pourtant il faut bien que les scientifiques puissent communiquer. D'où la raison de mes ajouts de concepts. J'aime quand les choses veulent dire ce que je pense.

Si les langues ont en moyenne 10 000 mots, et encore manquent de différenciation (le bouton d'acné ou le bouton de veste), ce n'est pas avec 120 mots que ça va suffire. Non seulement les nombres sont inexistants dans le toki pona d'origine, mais d'autres concepts de base manquent.

Le principe du toki pona est d'attribuer plusieurs sens à un mot, laissant le soin au contexte ou au récepteur de choisir parmis les nombreux sens possibles, ce qui conduit à des ambiguité bien qu'il n'y ai pas d'interprétations complètement erronées, mais imprécises. Il faut normalement des mots de base clairement identifiés et significatifs. Aucun homonyme. Un mot = un objet ou une idée.

Le mot fourre-tout "pona" n'est pas assez précis, entre doux/affectueux, bien moral, performant, amitié, beauté physique, bon au goût, positif, simple, réparer, améliorer, etc. Pour la beauté physique on rajoute lukin (regarder, pona lukin = agréable à regarder). Sans compter que quelque chose de complexe peut être considéré comme bon ou beau.

Le "jour" indiquant la présence du soleil et la journée de 24 h sont comme dans toutes les langues le même concept.

Pas de mot pour l'année, alors que la langue y fait souvent référence. Il est bon de nommer ce concept.

Séparer les notions de négativité ou de répulsivité, comme akesa qui sont les batraciens et reptiles associés aux animaux répugnants. Une salamandre c'est mignon !

Il faut garder l'idée d'origine du langage, la simplicité : léger tu passes, lourd tu casse. On peut arriver à s'exprimer d'une façon simple, tout en arrivant à comprendre de quoi on parle. Si quelque chose devient trop compliqué, c'est qu'on a mis trop de bruit inutiles dans l'équation.

Mais à certains moment il y a quand même des concepts qu'il faut pouvoir exprimer, ces concepts n'étant pas forcément connus d'une citadine canadienne qui a une vision idyllique des chasseurs-cueilleurs ! Les chiffres on l'a vu entraînent trop de complexité à cause de la trop grande simplicité de base. Il faut arriver à faire des compromis.

Comparaison adam - esperanto

Inspirons nous de cette vieille carte postale vantant les mérites de l'esperanto :

carte grammaire esperanto

La grammaire du adam prends encore moins de place !

GRAMMAIRE

10 règles invariables

PRONONCIATION

Alphabet : a d e f i j k l m n o p s u y

Toutes les lettres se prononcent comme en français, sauf d = t, j = ch, e = è, u = ou (long), y = u.

1 lettre = 1 son

En dehors de i et u en début de mot, pas de diphtongue.

Accent tonique - Sur la première syllabe du mot.

CARACTÉRISTIQUES

Le mot le plus important est mis en premier : am laPme = homme grand

i est suivi du groupe verbal : ied i noas = je mange
e est suivi du complément : uoPfa i noas iu uoPfiym = le chat mange la souris

Que la forme active : Sujet i verbe iu complément

Verbes

laK le futur, nelaK le présent, nolaK le passé : nolaK, ie i as = je suis sorti.

FORMATION DES MOTS

1° Réunion des éléments - "jour"+"soleil" (jour) avec "jour" (journée de 24h) et "Soleil" (soleil).

2° Préfixes - no l'opposé du mot : as (dehors), noas (dedans). ne le milieu entre le mot et son opposé : neas = frontière (entre dehors et dedans). ni l'action pour obtenir le concept du mot : nias (sortir (permet d'être dehors)), ninoas (entrer). na phénomène constitué de la racine et de son opposé (na "expiration" = respiration).

Pour en savoir plus...

Discussion sur l'adam dans le forum "l'atelier" avec des pointures en linguistes.

à suivre...


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