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Nature Humaine (amocalypse)
Techniques vitales>Socialisation>Langue>adam>Chiffres et nombres

Première version: 2017-03-21
Dernière version: 2018-08-21

Chiffres, nombres et quantités

Sommaire de la page


Préambule

Les chiffres et les nombres sont souvent utiliser pour aider à la construction des mots, voyons comment les écrire.

Pour simplifier les choses, comme dans la plupart des cas seuls les 4 premiers nombres suffisent, l'adam utilise une base 6 (qui facilite les partage/divisions de nombres et le nombre de chiffres à retenir et à manipuler).

La notation positionnelle classique (saut d'une sizaine en rajoutant un zéro derrière) est conservée.

Principe de la base 6

La base 6 a un principe identique à la base 10, sauf que les paquets font 6 nombres au lieu de 10 (sizaine au lieu de dizaine).

Pour ne pas confondre avec la base 10, les chiffres en base 6 sont des Majuscules (0DFPKL) et non en chiffres arabes (012345).

L'équivalence base 6 et base 10 pour les premiers nombres : D=1, F=2, P=3, K=4, L=5. Ensuite, on repart sur la sizaine supérieure. Donc, tout comme de 9 on passe à 10 (1 dizaine + 0), on passe de L (5) à D0 (6, 1 sizaine + 0). Ainsi, D0=6, DD=7, DF=8, DP=9, DK=10, DL=11, puis de nouveau une nouvelle sizaine (F0 soit 2 sizaines+0), F0=12, tout comme on passe de 19 à 20 en base 10.

Quelques nombres courants : 10 = DK, 12 = F0, 15 = FP, 20 = PF, 18 = P0, 24 = K0, 36 = D00, 40 = D0K, 50 = DFF, 72 = F00, 100 = FKK, 1 000 = K PKK, 10 000 = DDK DKK

Quelle base utiliser ?

Quantité : base 6 ou 10 au choix

La base 10 a été conservée pour ne pas perturber ceux qui ont déjà une langue et auraient des difficultés à apprendre une langue tout en manipulant en même temps une nouvelle base (les anglo-saxons, qui manipulent déjà les bases 60 et 12 en plus de la base 10, auront moins de soucis de ce côté). Par contre, pour les enfants à venir qui auront tout à apprendre, il est évident, vus les avantages de la base 6, que la base 10 ne sera plus utilisée, à part peut-être pour traduire les anciens textes, ou les références avec les dates du calendrier Grégorien.

Ex : "F chevaux blancs me regardent". "Livre écrit au siècle 16 (16ème siècle)".

Numéros après la racine : base 6

Pour les numéros, ou l'indice de concepts, il est utilisé systématiquement la base 6. Sauf pour les siècles s'il sont donnés dans le calendrier Grégorien (ils sont en base 10 pour éviter de préciser quel calendrier on utilise).

Ecriture des chiffres différente selon la base

Pour ne pas confondre, les chiffres en base 6 sont des Majuscules (DFPKL), les chiffres en base 10 sont les chiffres arabes classiques (123456789). Le zéro (0) est commun aux 2 bases.

Mémoriser les nombres

Zéro le même dans toutes les bases

Le zéro, en tant que modificateur de sens (signifie "sans", "absence de"), fait parti des mots commençant par "n" et se prononce 0 = "ny", avec le "y" de terminaison des chiffres en base 6.

base 6 adam

Les 5 premiers chiffres ont été créés en utilisant la règle suivante :

Pour ne pas mélanger les 2 bases (base 10 classique et base 6), les symboles des chiffres ont été changés pour la base 6.

La majuscule choisie est celle de la consonne du chiffre, exemple "D" pour "dy").

Même si les mots ou la graphie du chiffre diffèrent d'une base à l'autre, il faut se rappeler que mathématiquement les 5 premiers chiffres de la base 6 valent la même chose en base 10 ou en base 6 : l'unité en base 10 s'écrit "1", en base 6 s'écrit "D", avec 1 = D.

Ce qui donne la prononciation suivante : D = 1 = dy, F = 2 = fy, P = 3 = py, K = 4 = ky, L = 5 = ly.

Les autres chiffres significatifs finissent aussi avec le son "y", et sont valables dans les 2 bases : "my" = 6.28 (2pi), "jy" = plus que 1 (pluriel), "sy" = tout.

base 10 classique

Les 9 premiers chiffres ont été créés en utilisant la règle suivante :

Ce qui donne la prononciation suivante : 1 = diy, 2 = fiy, 3 = piy, 4 = kiy, 5 = liy, 6 = miy, 7 = niy, 8 = jiy, 9 = siy.

1 seul sens pour le mot, celui de chiffre

Les mots qui représentent un chiffre ne doivent pas représenter un autre concept (par exemple de relier 1 à l'unité) car ensuite on ne pourrait plus quantifier ces concepts.
ex : si unification était représenté par 1, on ne pourrait plus dire 2 unifications (2 groupes qui contiennent des gens qui se sont tous unifiés).

Un chiffre n'est donc pas un concept dual, on ne peut lui appliquer de modifiants (excepté "no", qui représentent les chiffres négatifs).

Nombres spéciaux

py - pluriel

Si on ne connait pas la quantité mais qu'on sait qu'on dépasse l'unité, on marque le chiffre "py" (plusieurs, plus que 1) à la place de la quantité.

Pour donner des estimatations plus précises, on peut donner un chiffre suivi d'un modulant.
ex : D000> = supérieur à D000.

sy - Tout

Si on veut considérer tous les individus de l'espèce, on utilise le mot "sy"qui signifie "tout", "l'ensemble de". Ce mot indique forcément le pluriel pour le nombre d'individus, mais comme c'est un tout unique (une population) il est aussi singulier.
Ex : "am" = humain/homme, "sy am" = toute l'humanité.

Placé devant = Quantifiant / quantité

Le quantifiant est un préfixe de mot de base quand le nombre s'applique au sens (collé au mot de base, sans espace), la quantité est un mot placé au début du concept aggloméré (séparé du modifiant de concept ou du mot racine par un espace). Il s'agit du nombre de concepts (mot ou concept aggloméré) qui suit cette quantité.

La quantité est implicitement suivie de "fois" (multiplié par, nombre de duplication du concept qui suit la quantité).
ex : "F chevaux" veut dire en fait "F fois D cheval".

Un nombre placé devant un concept indique le nombre de concepts, la taille du groupe de concepts à décrire. Il est placé devant, par convention avec le sens de multiplication, et du fait que la taille d'un groupe est ce qu'on voit en premier / le plus général, avant de détailler les individus qui composent le groupe.

La quantité est placée devant la racine et ses modifiants, comme tout ce qui manipule l'ensemble du concept sans modifier le concept lui-même.

Les quantités (séparées par un espace) sont écrites en chiffres, les quantifiants (collés au mot) sont écrits en lettres.

La quantité est facultative quand il n'y a qu'un concept. Si le chiffre 1 est écrit, c'est pour insister sur le fait qu'il soit tout seul, donc équivalent de "1 seul" en français.

Le chiffre "py" (plusieurs, plus que 1) sert de pluriel, placé en quantité.

Si se concept à décrire peut être absent, c'est le chiffre 0 ("ny") qui est utilisé.

Si on veut considérer tous les individus de l'espèce, on utilise le mot "sy"qui signifie "tout".

Placé derrière = Numéro

Le numéro (premier, second, etc.) est placé après la racine. Il s'agit d'un numéro, d'un indice ou de la position dans une liste.
Ex : my2 = e, my3 = phi, etc.

Attention, si on peut souvent omettre le 1 comme quantité (devant le mot), ce n'est pas toujours vrai quand il est placé en numéro (derrière le mot).

Ecriture des nombre

Devant = multiplication

si le nombre est devant le concept (quantité), il s'agit en fait d'une multiplication (D0 chevaux => D0 fois D cheval).

Chiffres plutôt que prononciation

A l'écrit, on n'écrit pas la prononciation en toute lettre mais le chiffre (arabe ou majuscule de la base 6).

Modifiant de nombre : donner avant l'approximation et la probabilité

On ajoute "approximatif" avant le nombre pour préciser si le chiffre n'est pas exact (approximation), et "pas sûr" si la valeur n'est pas absolument certaine (les 2 notions sont différentes, on peut estimer la taille d'un groupe de manifestants à la louche, à quelques centaines de milliers de tête près, mais on peut aussi dénombrer exactement un nombre de poissons, sans être sûrs que tous les poissons étaient là au moment du comptage, ou qu'on maîtrisait tous les paramètres, ce qui n'empêche pas le chiffre du comptage d'être précis). Par défaut, le chiffre écrit est le chiffre exact.

Système positionnel

On utilise le système positionnel classique, de gauche à droite en décroissant. A droite, les puissances de 0 de la base (10 ou D0), en position devant la puissance de 1, et ainsi de suite. La puissance indique le nombre de paquets de base (dizaines ou sizaines) qui sont placés à droite de cette position.

Ex : 452 = 4 x 102 + 5 x 101 + 2 x 100. KLF = K x D0F + L x D0D + x D00

On est toujours dans la règle le plus général/important/gros en premier.

Prononciation des dizaines/décades (puissances de 10) et sizaines (puissances de D0)

Tous les paquets de base (dizaines ou sizaines) sont exprimées sous forme de puissance de la base. La puissance mathématiques de la base étant exprimée par "de" ("de2" = "10ka2" = 10 puissance 2 = 102), cent (10*10 ou D0*D0) c'est "defy" en base 6 et "defiy" en base 10. on peut au choix l'écrire en exposant comme en mathématique, ou en écrivant "de".

Ex : K00 = K x D0F = KdeF. 400 = 4x 102

"de" sera toujours suivi d'un chiffre, qui indique le nombre de position derrière. A l'écrit, on mets un espace derrière ce chiffre derrière "de", permettant d'écrire un chiffre sur plusieurs digits (deD0). A l'oral, comme on l'a vu dans la page sur la pronciation, pour écrire un chiffre de "de" sur plus d'1 digit, on rajoute "et" derrière puis un autre chiffre.

"de" est une puissance qui s'applique à toutes les bases. Si le chiffre qui suit est un chiffre arabe, on est en base 10 ("de2" = 102), sinon une majuscule indique la base 6 ("deF" = D0F= 6F en base 10).

Ex1 : base 6 : dedy = D0 (D0 puissance D), defy = deF = D0F (D0 puissance F) = D00, deP = D000, deK = D0 puissance K = D0 000, etc.

Ex2 : base 10 : dediy = 10 (10 puissance 1), defiy = de2 = 102 (10 puissance 2) = 100, de3 = 1000, de4 = 10 puissance 4 = 10 000, etc.

Inutile de créer les mots comme méga, giga, téra, etc. ils sont remplacés par ce qu'ils veulent vraiment dire, à savoir de6, de9, de12, etc.en base 10, deDE, deDP, deF0 en base 6.

dixièmes ou division de décades

Pour les divisions de décades on aurait pu utiliser "fude1" pour dixième (division de décade), mais par analogie avec la puissance, et parce qu'à l'écrit c'est plus simple à écrire au format chiffre, on écrit sous la forme mathématique de-1 (10-1).

depudey = de-1 = déci = 0.1; de-2 = centi = 0.01. Il s'agit encore une fois ici du nombre de zéros, le zéro avant la virgule étant pris en compte. Dit autrement, c'est aussi le nombre de fois où l'on décale la virgule sur la gauche. 1 de0 = 1. (virgule déplacée zéro fois), 1 de-1 = 0.1 (virgule déplacée 1 fois), 1 de-2 = 0.01 (virgule déplacée 2 fois).

Pourcentage

Pas de signe pourcent, uniquement l'écriture en décimale. En effet, 52% = 52/100 = 0.52.

Ex1 : base 6 : .P = dupy (50%)

Ex1 : base 10 : .5 = duliy = 50%.

Opérations mathématiques

Opérations de bases

pu = moins (-)

nopu = plus (+)

fu = divisé (/)

nofu = multiplié (*)

Puissances

xy = ka (puissance, x multiplié y fois par lui-même). S'écrit x ka y.

Une puissance négative (x-y) est l'inverse de la puissance (diviser un nombre y fois par lui même) et s'écrit x kapu y.

Une puissance fractionnaire (x-1/y) est une racine et s'écrit x kafu y. Ex : x kafuF est la racine carrée de x. x kafuJ est la racine cubique de x.

Unités

Les unités internationales sont converties, les décades (hecto, kilo, centi, milli) n'existent plus, remplacées par les puissances de 10 ou de 6 selon la base retenue (de + puissance). Plutôt que le nom utilisé par la norme internationale (qui ne veut pas dire grand chose, surtout depuis 1965 et l'abandon du cgs) on pourra prendre un nom d'unité qui veut dire quelque chose physiquement.

vala = mètre (inutile de repréciser derrière si on met vala i eg ou vala DL0*D0P). diP vala = kilomètre

valaK = secondes (= dedeL)

valakaP = m3

valoD = °C valoD"norme" = °K

ampère = débit de 1 coulomb/s (coulomb = charge électrique de base)

vasa = tour

vasa/laK = tr/s (/ se prononce fu)

vasa/deFlaK = rpm (le va peut être ignoré)

vasoloP est le courant électrique (ampères)

valoP est le volt

vasoloK est le tesla

valoK est le siemens (à vérifier les équivalence)

à suivre...


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