Morts en masse d'animaux

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Préambule

Rappel des avertissements préalables sur les sources des infos de cette partie.

Des milliers d'animaux meurent en masse toutes les semaines, sans que les médias n'en parlent jamais. Rappelons que nous sommes aussi des animaux...

Certains journalistes commencent à se poser des questions.

Causes

Plusieurs causes à cela :

1. La pression dans la croûte terrestre fracture les roches et libère le sulfane et le méthane, des gaz fossiles.
   Le sulfane (odeur d'oeufs pourris) stagne au sol, et explique les morts d'animaux terrestres ou les odeurs d'égoûts dont l'origine n'arrive pas à être localisée.

   Le méthane (normalement invisibles, inodores et incolores) monte généralement jusqu'à atteindre les couches les plus froides de l'atmosphère où il stagne sous forme de poches. En effet, plus léger que l'air, quand il se refroidi il ne se mélange pas à l'atmosphère et se concentre en altitude. S'il n'est pas dissipé par les vents, ces poches de méthane provoquent la mort des oiseaux en masse : les oiseaux sont asphyxiés lors de la traversée de la poche de gaz (l'effort pour battre des ailes nécessite beaucoup d'oxygène en vol et les oiseaux absorbent plus d'air qu'un animal au sol). Les oiseaux s'évanouissent en l'air et tombent, c'est le contact violent avec le sol qui les tue.

2. Le climat et les courants marins qui modifient brutalement les cycles et les températures. L'homme peut mettre des vêtements en cas de refroidissement brutal, pas les animaux à qui il faut plusieurs jours d'adaptation (on parle de 30°C de moins en une heure ou deux).
3. Les changements chimiques de l'atmosphère et des océans (pH par exemple) liés aux éléments déversés par le nuage de Nibiru dans l'atmosphère et qui se retrouvent au final dans l'eau.
4. Les explosions sous marines, notamment sur les rift mais également les sons parasites (trompettes de l'apocalypse) qui sont perturbants pour les mammifères marins
5. L'affaiblissement des défenses immunitaires de tous les animaux (homme compris) à cause des conditions instables (climat, pH etc...) mais aussi des radiations venant du noyau terrestre.
6. La prolifération de formes de vie opportunistes ( virus / bactéries / planctons / etc...)
7. La pollution et l'activité humaine qui ont grandement affaibli l'environnement, et cela bien avant l'arrivée de Nibiru.

Une seule espèce touchée généralement

Tous ces éléments peuvent se combiner pour une espèce donnée, ce qui explique que ces hécatombes sont souvent très homogènes (ne touchent q'une ou deux espèces au plus). Les étoiles de mer par exemple sont très sensibles aux changement de pH (squelette calcaire fragile) qui, combiné à une hausse subite de la salinité leur est fatale. D'autres animaux vivant à leurs côtés (crabes, concombres de mer, coquillages) sont sensibles à d'autres facteurs et ne sont pas touchés (même s'ils sont affaiblis) par les mêmes problèmes.

Oiseaux qui tombent par millier dans une même zone

Chez les oiseaux, les principaux facteurs de mortalité sont les poches de méthane dans l'air (en plein effort de vol, tout manque brutal d'oxygène provoque leur évanouissement) mais aussi les changements brutaux de température, la disparition des proies, les migrations chaotiques et les maladies opportunistes qui se greffent au final par dessus (un oiseau guérit rarement quand il est malade). Par exemple ce trou dans les nuages immédiatement suivi de chute d'oiseaux le 31 octobre 2012, ou encore le 7/12/2012 au texas, des tremblements mystérieux du sol font suite à une hécatombe d'oiseaux, montrant le lien entre les mouvements du sol et le largage de gaz fossiles.

Cétacés échoués

Quant aux cétacés, étant en fin de chaîne alimentaire, ils cumulent des poisons qui atteignent leur cerveau, ce qui les rend très fragiles dès qu'il y a des changements environnementaux. C'est notamment leur système d'écho-location qui en est victime et les explosions marines peuvent totalement paralyser leurs sens déjà mal en point.

Facteurs météo

Les animaux sont aussi victimes des conditions météos dégradées, des EMP et coups de foudre intenses, comme les 322 rennes tués par un seul éclair en aout 2016.

Il y a aussi ces gens ultra riches qui désirent avoir dans leur salon la peau des derniers animaux de leur espèce, comme le lion Cecil ou les derniers éléphants africains (un tué toutes les 15 minutes, vu le peu qui restent ils ne vont pas tenir des années à ce rythme).

Voilà pour les quelques exemples parmi d'autres de la combinaison de facteurs pouvant amener à ces hécatombes.

à suivre...