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Nature Humaine (amocalypse)
Qi>Remote Viewing

Première version: 2014-10-27
Dernière version: 2017-08-04

Remote Viewing

Sommaire de la page


Préambule

Rappel des avertissements préalables sur les sources des infos de cette partie.

Le "remote viewing" est une faculté que certains rares individus ont naturellement de voir des sites distants, de connaitre des infos qui leur sont inaccessibles aves leurs sens physiques.

2 phénomènes sont liés au remote viewing : le voyage astral et/ou la télépathie.

1er effet : Voyage astral

Les Remote viewer sont capables de faire voyager leur conscience hors de leur corps, c'est à dire de faire voyager leur âme. Voir plus haut les limitations du voyage astral, l'âme est limitée dans ses dếplacements (règles de l'astral) et l'inconscient comble les vides avec sa propre imagination. De nombreux remote viewers tombent dans ce piège, surtout depuis que c'est la mode de réaliser des séances de visionnage pour décrypter les mystères du monde. Le remote viewer est sincère mais se laisse abuser par une théorie et une méthodologie qui ne fonctionne pas.

2ème effet : Télépathie

Le second phénomène qui est associé au remote viewing est la télépathie (mais le Remote Viewer est rarement conscient de ses capacités télépathiques).

Avec la télépathie, l'individu a la capacité d'aller piocher des informations dans l'esprit / la mémoire de ses interlocuteurs (AM : ou dans leur corps éthérique comme le font inconsciemment certains médiums?) mais aussi de toute personne liées à son questionnement, pour peu qu'elle puisse se focaliser dessus (de la même manière qu'on peut guérir quelqu'un à distance avec une photo, une date et lieu de naissance, etc.)

Par exemple, ces remote viewers sont capables d'aller lire les infos dans la tête de politiques ou de stars, parce que ces gens sont publiquement connus et qu'il est possible de se concentrer (volontairement ou non) sur leurs pensées, même à grande distance.

Le cerveau du Remote Viewer est capable de mettre ces informations en forme et d'élaborer des scénarii sous forme de visions / flash. Il ne voit donc pas une chose réelle, mais un "film" construit par son inconscient sur la base des informations détenues par d'autres, vraies ou fausses. Si la cible du remote viewer croit en quelque chose de faux, le remote viewer prendra cette chose comme vraie.

Par exemple, si Obama était persuadé qu'il existe une race ET de méduses intelligentes, même s'il n'en a pas la preuve, le remote viewer prendra cette croyance comme une certitude et verra une planète peuplée de méduses intelligentes : la vision sera fondée sur ce qu'Obama aura imaginé de cette planète et tout manque sera comblé par l'imagination du remote viewer lui même.

Faible fiabilité du Remote Viewing

Le remote viewing n'est donc pas très fiable, notamment parce que les processus en jeu sont mal compris. Une bonne part des visions sont des arrangements, des vides comblés et de mauvaises compréhensions des informations récoltées, et, en cela, l'éducation, l'environnement et les propres convictions du remote viewer jouent énormément.

Utilisation par les agences de renseignement

Cela ne veut pas dire pour autant que tout est à jeter, bien au contraire, et cela la CIA l'a compris très tôt. La plupart des instituts scientifiques qui étudient sérieusement le remote viewing aux USA ont été créés par l'agence parce que cela lui permet d'attirer les remote viewer, de les sélectionner puis de les recruter (de gré ou de force). Le sujet disparait et les études (relayées par des magiciens de music Hall connus) expliquent que le pouvoir psy n'existe pas. Quelqu'un doté de pouvoir psy, piqué au vif, demande à son tour à être testé, passe les tests avec succès, est recruté / disparait, et de nouveau les médias relaient l'information en disant que ça n'existe pas, et ainsi de suite...

Il existe une division psy à la CIA, certes limitée en effectif, mais qui est régulièrement utilisée. Ils ont bien compris les 2 phénomènes du Remote Viewing.

Voyageurs astraux

Les personnes qui font les voyages hors du corps, appelés projecteurs de conscience, ne sont pas très utilisés car leur taux de fiabilité est très faible. Il est difficile pour eux de glaner les détails importants lors de leurs projections, comme des notes écrites. S'ils peuvent percevoir une scène et voir à distance quelles personnes participent à une réunion que la CIA veut espionner, ils ramènent rarement les conversations qui s'y sont déroulées. AM : Ne pas oublier que c'est leur âme qui sort du corps, et cette dernière ne veut/peut pas donner d'informations compromettantes.

Télépathes

Ressentir les pensées d'autrui

C'est donc la capacité de lire les intentions des autres, à distance, qui a retenu l'attention de la CIA. Là encore, pas possible d'avoir le code de lancement nucléaire détenu par Obama en lisant dans son esprit. En revanche, les télépathes peuvent ressentir de nombreuses choses, comme l'état émotionnel d'une personne, ses intentions etc... (très utile pour savoir si Obama va faire une annonce officielle par exemple).

Repérer une personne qui se cache

Si une personne a disparu ou se cache, le télépathe peut assez facilement repérer, en se concentrant sur elle, le lieu où elle s'est réfugiée. Très utile pour une agence de renseignement...

Prendre le contrôle d'autrui

Mais le plus fort c'est que la télépathie fonctionne aussi dans l'autre sens, le télépathe peut imposer des images et des émotions à une cible. Plus celle-ci est réceptive (individus fragiles, déjà connus pour leurs maladies mentales), plus les images deviennent des injonctions et poussent la victime à agir selon la volonté de l'agent psy. Heureusement pour nous, la plupart des gens sont capables de resister et à la limite, ces attaques peuvent provoquer une légère déprime (images négatives, sentiments confus et inexpliqués).

C'est comme cela que la CIA lance des tueurs fous contre la population : un individu est repéré, souvent une personne connue pour sa violence et son instabilité. De façon discrète et à son insu, elle est droguée (il suffit de substituer ses pilules normales par des psychotropes) pour la rendre encore plus sensible. Elle est ensuite presque guidée à distance par le télépathe (comme pour un cas de possession) pour commetre des actes et des crimes sordides. C'est une méthode extrêmement puissante, comme on a pu le voir à de nombreuses reprises aux USA mais qui n'est pas complètement infaillible. Par exemple, dans le cas du faux traducteur en langue des signes lors de l'enterrement de Mandela, le schizophrène violent choisi comme pantin pour tuer Obama et faire une carnage dans les politiques présents n'est pas passé à l'action. Les remote viewers ont bien fait leur boulot, les agents de la CIA ont bien drogué l'homme à son insu, mais c'était sans compter sur la protection ET. Le faux traducteur a bien eu des visions, mais d'anges descendant du ciel.

Désinformations sur le sujet

Ingo Swann est tombé dans les griffes de la CIA depuis longtemps, vous n'en tirerez pas grand chose, si ce n'est quelques mensonges délayés parmi quelques soupçons de vérité ! Il participe au debunking ET de la CIA, dont le but est de créer une psychose, une peur des aliens, afin que les populations ne soient pas tentées de les écouter. C'est pour cela qu'on fait croire en une invasion ET, que des ET sont présents sous forme humaine sur Terre, que les zétas sont de mauvais gars et que les abductés sont des victimes d'expériences, que les ET cherchent à nous sucer le cerveau (vampires émotionnels et j'en passe).

Voyance sur objet

Ce n'est plus Harmonyum qui parle.

Il s'agit de toucher ou de se concentrer sur un objet, pour que notre âme se connecte aux annales akashiques liées à cet objet et à son environnement au cours du temps. L'objet en lui-même n'est qu'une adresse mémoire pour savoir dans quel tiroir des archives universelles sont rangées les informations, concernant soit cet objet, soit ceux à qui cet objet à appartenu ou a été cher.

La méthode de base (de R. Réant) c'est : Faire le vide mental et se mettre "en attente d'images" Après, chacun doit trouver sa voie.

Note AM : Il semble difficile de gérer les yeux. Si on les garde ouvert, même dans le vague, les images qui surgissent en surimpression sont moins visibles, et yeux fermés, c'est trop noir, les images viennent mal où il y a trop de contraste avec le noir. Certains préconisent un écran blanc, qu'on peut remplacer par les yeux fermés face à une lumière pas trop vive.

Pour tester l'objet, utiliser sa main gauche si on est droitier, c'est la main réceptrice su magnétisme humain (la droite étant l'émettrice). C'est l'inverse pour les gauchers.

Source.

1ère méthode

Reçu par Vincent DeTarle d'un internaute.

En temps normal, il faut se mettre en condition. Il peut être utile de se secouer les mains comme pour les "nettoyer" d'une "aura sale". En fonction de l'état d'esprit dans lequel on se trouve, il est bon de respirer consciemment quelques instants. De quelques respirations à un simple soupir (si on est déjà dans "l'ambiance") tout en se disant qu'on s'apprête à pratiquer. "l'objet va me parler, prépare toi a l'écouter". De même que la foi, je suppose, la réussite de la chose ne doit faire aucun doute. "Je vais de toute façon recevoir des messages, mon but est de les restituer au mieux".

Là, on prend l'objet. Avec de la chance, dès la première seconde, on sent qu'il y a un "contact". C'est souvent là que l'objet "dit" ce qu'il a de plus important. D'une certaine façon, son souvenir le plus marquant. A chacun de faire de cette information la ligne directrice de sa recherche ou de fouiller dans le temps. En fait, suite à ce premier contact, les choses ne viennent pas toutes seules. Il faut questionner : bon alors... tu viens d'où ? Au fait... qu'est-ce que tu es ? Es-tu cher a quelqu'un ?

Ces questions s'accompagnent de gestes. Le plus souvent, après le premier contact qui consiste donc juste à prendre l'objet dans ses mains ou bien simplement le toucher s'il est trop gros, on le "caresse" comme pour lui demander la "permission". L'état d'esprit est : "je suis neutre je t'écoute". Ces "caresses" continuent le temps de fixer la question dans son esprit. Tout ceci est instinctif mais je le décris tout de même pour imager la chose.

Dès la première bribe de réponse concernant la question (alors il ne faut pas s'attendre a une bonne vieille phrase en français mais plutot a un sentiment, un mot, une idée), on serre l'objet plus fort comme pour lui signifier : "Oui ! Ca ! Raconte moi çà".

On continue de scruter l'objet en le parcourant et en le pressant tour a tour comme pour dire " oui, vas-y, tu as commencé, continue". Dans certains cas, il peut être perturbant de se figer sur une seule question. Si vous n'avez pas de réponse, il arrive que vous vous contempliez intérieurement et vous sentiez même ridicule, a force. D'où l'idée de poser beaucoup de questions pour qu'à un moment çà "morde".

Tout ceci se passe le plus souvent sans regarder l'objet. Comme je l'ai dit plus haut, le coup du tableau blanc est un effort. Au contraire, j'aurais tendance à préconiser un regard vague. Les yeux au repos. La vision justement doit demander le moins d'effort possible. Les yeux n'ont pas leur place dans cet exercice. Cependant, je ne conseille pas de les fermer car on s'enferme alors qu'on demande un message qui vient de l'extérieur de nous-même. Bref, yeux ouverts mais dans le vague, sans regarder l'objet (comme par pudeur). Regarder un point fixe, pourquoi pas tant qu'il est neutre car la perception de la couleur peut jouer un rôle.

L'interrogatoire se poursuit jusqu'à épuisement soit des questions, soi de l'objet, soi de soi-même.

Lorsqu'on débute, bien sûr, il est plus facile de commencer avec un objet dont l'histoire est déjà connue par soi-même. En effet, vous pourriez être surpris par les souvenirs qu'il vous évoque. C'est un moyen extrêmement fiable de savoir si ca marche.

Point très important d'ailleurs. L'état d'esprit le plus efficace dans cet exercice est le même que celui qu'on prend lorsqu'on veut se souvenir soi même de quelque chose. En effet, les informations qui nous arrivent sont exactement de la même nature que lorsqu'on déterre un vieux souvenir. D'où la difficulté parfois de savoir si l'info qu'on vient de glaner vient de notre perception ou de notre propre esprit.

Comme vous le savez, nous pouvons faire la distinction entre le souvenir et l'imagination car nous savons ce que nous avons vécu et tout ce qui ne rentre pas dans ce cadre là fait partie de l'imagination. Dans le cas de la lecture des objets, il y a un risque car vous ne pouvez plus faire la différence. (...)

2ème méthode

Trouvée sur le forum du site "Astral sight" par " le Scribe", inspirée de la méthode de Raymond Réant. L'écran blanc semble être une mauvaise idée, et Raymond Réant n'en parle pas.

La technique était assez simple : il fallait se détendre totalement (notamment par une respiration lente et calme), créer le vide mental et un écran blanc devant soi. L’objet dans les mains, il suffisait de laisser venir des images surgir sur cet écran (au bout de quelques minutes de total lâcher-prise) mais en respectant scrupuleusement ceci : ne jamais faire d’associations d’idées entre chaque image, aucune interprétation sur le vif. En effet, cette intrusion intellectuelle, ce parasitage, peut faire complètement dévier les scènes visionnées.

Je prends l'objet en main et je laisse quelques secondes se passer, je reste très détendu, très décontracté, soupèse l'objet, je laisse du temps pour que son énergie fasse vraiment corps avec moi, tout doucement, tranquillement. A la limite, je peux même parler encore un peu aux gens, regarder autour de moi, dans cette première "prise de contact".

Puis je respire très profondément et très longuement et en effet, je ferme les yeux à cet instant jusqu'à la fin de l'exercice : le but est alors de faire le vide mental en même temps que la détente physique. Dans cette détente musculaire, je ne pense même plus à l'objet... bien qu'au fond de moi, je sais que je vais puiser dedans... Puisque je tiens cet objet en main, je sais que je vais puiser dedans, ainsi ma pensée peut s'abstraire de vraiment tout... La respiration concentrée consciemment permet le vide mental...

Etape suivante : l'écran blanc comme dans une belle et grande salle de cinéma. Il faut que l'écran blanc soit nettement imaginé, visualisé, perçu. Ici, c'est très clairement une création mentale...

Quand l'écran blanc est "posé dans l'esprit", cette fois, il faut faire comme un spectateur... qui ne sait pas quel film il va voir... qui attend la première image... Il faut attendre très, très patiemment... la première image peut mettre 10 minutes à venir, elle peut-être floue... mais ça peut être aussi un mot, un nom, un bruit, une odeur, n'importe quelle "donnée sensible"...

Puis dans ce cas là, je décris l'image que je vois comme pour m'en débarrasser l'esprit (puisqu'il ne faut surtout pas faire d'associations d'idées, ce serait une façon de dévier vers de l'imagination pure, du style inductif ou déductif). Ayant décrit l'image, celle-ci peut alors s'effacer... ensuite, soit c'est encore un peu de temps à attendre avant la suivante, soit c'est carrément une scène qui surgit. Généralement une petite scène se déclenche au bout de quelques flashs...

En effet, à partir de là, il n'y a plus de règles... On peut avoir la sensation que les images tombent péniblement au goutte à goutte comme issues d'une clepsydre (sablier), donc avec du temps, c'est-à-dire "le blanc de l'écran" entre chacune... Mais ça peut aussi varier avec d'autres données sensibles (le son s'adjoint à l'image, une odeur, etc.). Ou encore c'est une scène qui se met en place. On assiste généralement à des séries de petites scènes.

Il ne faut jamais brusquer la personne qui fait cela car "quelque chose se déroule" et si on "casse le fil", on peut le perdre entièrement... Mais on a toujours la possibilité de tout reprendre depuis le début comme un véritable film... (ou de reprendre le début d'une des scènes).

Avec la pratique, les flashs tendent à être moins fréquents et les scènes plus nombreuses, comme si l'esprit devenait plus agile pour percevoir des durées...

Avec encore plus de pratique, on peut même prendre le contrôle du processus... J'en étais arrivé, comme sur un CD-Rom interactif à choisir des directions, donc choisir de développer une vision (en attendant la suite), ou plutôt d'aller vers une autre vision : telle personne ressentie (et d'attendre aussi). C'est un peu comme une arborescence : chaque scène peut permettre une exploration dans une autre "sous-branche".

On peut aussi "demander" quelque chose mais ça ne marche pas toujours... En fait "ça n'a pas l'air vivant", on dirait vraiment qu'on fouille dans des archives mais de façon interactive. Sauf que ces archives comportent des sentiments, des émotions, en plus des images. On ne décide pas de ce que l'on va voir... L'objet peut être totalement muet sur certains aspects... C'est pourquoi je parlais d'interactivité : on explore librement au sein d'un archivage préétabli... (ou alors, on bascule dans la médiumnité, mais là c'est encore un autre sujet...)

On réalise aussi des "subtilités" qui deviennent difficiles à décrire. On "sent" des choses qu'on ne voit pas en direct... comme une prescience en quelque sorte... Enfin bien des choses sont possibles car, comme l'indique le titre de ce topic, nous sommes vraiment dans un état modifié de conscience, "un état second"... Ce qui fait d'ailleurs "tout drôle" ensuite, quand on ouvre les yeux...

Quand on a encore plus de pratique, on peut même reposer l'objet, ne plus le tenir dans sa main, et ça marche tout aussi bien... Mais le danger avec un excès de confiance, c'est de "perdre le lien"... de dériver... Paradoxalement l'agilité mentale peut "faire perdre les pédales"... Donc parfois je gardais l'objet en main, quand je manquais de confiance, mais quand j'étais vraiment profondément immergé, il ne m'était plus utile.

Bien entendu, il y a souvent des parasitages (un téléphone qui sonne, je ne sais quoi encore...). Dans ce cas là, il faut tout reprendre à zéro... C'est ingrat, mais c'est la seule solution pour que ça reste fiable...

Il se peut aussi que "l'objet ne parle pas"... ça peut arriver, peut-être que l'inconscient se rebiffe ou quelque chose ne passe pas avec la personne, un malaise quelconque... Dans ce cas là, on peut toujours tenter de prendre un autre objet... Il y a parfois une grande différence entre un objet et un autre pour la même personne qui le propose... Je ne sais pas pourquoi mais c'est ainsi... (...)

3ème méthode

(...) LA PRATIQUE

"Elle est très simple. Par ailleurs, la procédure est énormément simplifiée quand vous êtes en contact physique avec l’objet, c’est d’ailleurs ce que je vous recommande pour débuter cette technique. Faites le vide dans votre esprit. Puis essayez «d’entrer en communication mentale avec l’objet». Je ne sais pas comment expliquer précisément le processus, puisqu’il est entièrement psychique et dénué de toute notion spatiale. C’est un peu à vous de faire de la manière qui vous semble la plus appropriée. Visualisez par exemple que vous et l’objet êtes «sur la même longueur d’onde», ou encore visualisez les échanges d’énergie… Laissez l’objet parler.

Là où vous avez fait le vide, dans votre esprit, va venir (par le principe d’échange énergétique: l’énergie tend naturellement à aller là où il y en a le moins) l’énergie chargé que contenait l’objet: donc l’énergie de l’objet va venir se déverser dans ce vide.

Vous pouvez également «déplacer» votre vide mental dans le champ énergétique de l’objet, si vous préférez… L’avantage de la psychométrie, c’est qu’il s’agit d’une des techniques les plus malléables existantes. Toujours est-il que de l’énergie chargée par des émotions, des scènes passées, etc, va emplir votre «vide mental». A vous maintenant d’identifier la nature exacte de ces ressentis.

Cela vous sera possible avec l’expérience que procure une pratique assidue. Il n’y a pas de secret là-dedans: la plupart du temps, vous reconnaîtrez ces émotions chargées dans l’énergie contenue dans l’objet car vous les aurez déjà ressenties, mais il y en a certaines qui seront plus complexes à appréhender."

Méthode 4 de Stephan Ossowiecki (1877-1945)

Extrait du livre "Les mystères du surnaturel" (1963)

Interrogé sur les conditions dans lesquelles il exerçaient ses facultés, Ossowiecki indiqua tout d’abord qu’il était incapable, dans son état normal, de réaliser une voyance. Ses pouvoirs ne se manifestaient que dans l’état de transe qu’il ne pouvait maintenir que pendant un temps relativement court et qu’il obtenait plus ou moins facilement suivant ses dispositions.

Tout ce qui surexcitait ou accaparait sa pensée consciente : préoccupations, ennuis, présence de personnes hostiles ou simplement sceptiques, etc, y faisait obstacle.

« Pour entrer en transe, précisa Ossowiecki, je me dis d'abord qu’il faut que j’y arrive, puis je fais effort pour ne plus penser à rien et j'attends. j'attends pendant quelques minutes, parfois un quart d’heure, une demi-heure. Il arrive que mon attente soit vaine, la transe ne se produit pas.

Quand elle va se produire, je sens ma tête devenir chaude, très chaude; mes mains se refroidissent. Dès lors, je sais que je vais être en possession de mes facultés. Bientôt, je perds peu à peu conscience de ce qui m’entoure et je vois, j'entends, je sens, je dis ce qui m'a été demandé de révéler. »

A cette phase de la transe, Ossowiecki avait le visage empourpré et les pulsations de son pouls étaient de 90 à 100 à la minute. Ses informations métagnomiques se présentaient généralement sous la forme d'hallucinations visuelles. Lorsqu’il devait, par exemple, détecter une phrase écrite, il avait l'impression de la voir devant lui et il la lisait comme si elle avait été réelle. Parfois, l'hallucination était auditive. Ossowiecki entendait la phrase. Quelquefois également, une impulsion motrice verbale lui faisait prononcer la phrase d’une manière inconsciente.

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Voici un extrait du livre "Pouvoir étrange d'un claire voyant" de R.Réant et A. Sotto (ce livre n'est plus édité)

(...) Ossowiecki, cet ingénieur polonais particulièrement doué en ESP, a raconté ce qu'il ressentait au début d'une psychométrie:

«Je commence par écarter toute pensée pour concentrer mon énergie intérieure sur la perception de sensations psychiques. Je peux accéder à un tel état parce que je suis convaincu que toute l'humanité est réunie dans un seul psychisme. Je me trouve alors dans un état nouveau, extraordinaire, qui me permet de voir et d'entendre en étant libéré du temps et de l'espace...

Je perds une certaine énergie. Je me sens fiévreux, et mon pouls devient irrégulier. Dès que je cesse de penser, je sens une sorte d'électricité traverser mon corps pendant quelques secondes. Cela ne dure qu'un instant, et aussitôt la voyance s'empare de moi. Des images, venant souvent du passé, apparaissent... J'apprends et je sens l'histoire de l'objet que je tiens dans la main. »

Méthode 5 Jean Prieur

Il commence par la prière, il met en sommeil l’intellect, il se laisse happer par l’objet inconnu qu’on lui présente, il pénètre dedans. Ayant intériorisé l’objet, il entre en liaison affective avec son environnement. Tout de suite après, il sent les fluides et obtient des flashes. Il est comme devant (et parfois dans) un poste de télévision.

divers

- La "psychopathotactie" génère une fatigue intense, il est donc déconseillé de faire ça en étant trop fatigué

- Il faut étudier longuement l’objet avant de s’y plonger.

- Raymond Réant insiste sur le fait d’avoir une forte volonté, un fort désir de lire l’objet et une foi élevé sur cette capacité humaine de pouvoir lire l’histoire ancienne des objets.

- une fois que des images étaient obtenue d'un objet ou d'une scène (sans objet), il était préférable d'en changé, quitte à recommencer plusieurs semaines après

à suivre...


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