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Nature Humaine (amocalypse)
Monde 2.0>Normalisation

Première version: 2014-10-27
Dernière version: 2018-10-17

Nouvelle Normalisation

Sommaire de la page


Préambule

Comme toutes les pages en base 6, je prends la convention suivante : Les chiffres arabes (1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9) indiquent une base 10 et une norme SI. Les chiffres en base 6 sont notées avec les majuscules suivantes : D=1, F=2, J=3, K=4, L=5, D0=6, DD=7, etc. Le zéro 0 reste le même dans toutes les bases !

La normalisation est une entente entre les hommes pour définir des choses communes afin qu'ils aient tous les mêmes références et manières de faire. Normaliser permet d'être sûr qu'on fait les choses au mieux, en intégrant les erreurs que d'autres ont faites à notre place afin de ne pas refaire les mêmes accidents.

Je vous propose de revoir quelques uns de nos systèmes de mesures complètement archaïques, liées aux vieilles croyances Sumériennes, et qui nous empêchent d'avancer. Comme ces notations sont utilisées dans le langage adam, je rajouterais adam pour préciser de quel calendrier on parle.

Base 6

Seul désavantage de ce système, c'est qu'il nous oblige à quelques temps d'habitude pour ne plus raisonner en base décimale.

Il faut savoir qu'il n'y a aucun progrès entre la base 12 sumérienne, encore utilisée par les anglais, les américains, ou encore la base 60 utilisée pour la mesure du temps (60 minutes), et la base 10 (décimale) utilisée de nos jours. L'avantage de notre système actuel sur les vielles méthodes de calcul est le système de numération positionnelle (à chaque position correspond une puissance de la base), ce qu'utilise aussi la base 6 de l'adam.

Principe

La base 6 est une échelle plus adaptée à la vie de tous les jours que la base 10, utilisée par les égyptiens inspirés des sumériens. En gros, au lieu d'utiliser des paquets de 10 nombres (1,2,3,4,5,6,7,8,9,10 puis 2ème paquet 11,12,13,14,15,16,17,18,19,20), ces paquets s'appelant des dizaines, on va compter en sizaines (paquets de 6 nombres, D,F,J,K,L,D0 puis DD,DF,DJ,DK,DL,F0). Avantages, il est plus facile de découper les choses, on tombe plus souvent sur des entiers, et c'est plus facile à décrypter les choses.

Le temps

Une chose qui embête bien les scientifiques, c'est cet héritage sumérien de calcul hexaségimal du temps qui complique tout (essayez de passer des mètres/secondes en kilomètres/heure mentalement). Tout ça parce qu'on passe d'une unité métrique à l'autre en ajoutant un zéro (multiple de 10) et pour le temps on multiplie par 60...

Il y a des cycles terrestres importants à noter, le nouveau calendrier adam retiens ceci, sachant que la journée reste la base de tout :

Le jour est lui aussi découpé (6 = temps en adam; sexa = temps sexagésimal classique) :

A noter que la s6 divisé par 2 donne une valeur plus courte que la seconde actuelle, et qui correspond au pouls moyen humain. En prononçant les chiffres croissants à voix haute, le rythme est alignée sur ce tempo qui est appelé seconde humaine (oKam). oKam = 1.8518 / 2 = 0.9259 s

Le début du calendrier adam débute par 0, le 22 décembre (mi-solstice d'hiver) 1999 du calendrier grégorien. Ça correspond au début de l'apocalypse, à savoir le changement brutal dans le régime des cataclysmes, avec la tempête Lorthar qui dévaste l'Europe. Cela permet d'avoir une correspondance facile entre le calendrier grégorien et le calendrier adam (2000 grégorien = 0 adam, 2001001 = D, 2012 = F0, etc.).

Ces valeurs de temps seront à affiner après le passage de Nibiru puis de l'ascension, car ces paramètres, basés sur des phénomènes physique (durée d'une rotation propre apparente de la Terre et durée de l'orbite apparente de la Terre autour du Soleil) devraient changer.

Les angles

Au lieu de diviser le tour en 360°, ce qui est compliqué pour les calculs, on va le décomposer en K0. Ce qui permet d'avoir les angles de l'horloges analogique, plus les angles à 45° (angle droit divisé par F). Ensuite, c'est les décimales qui s'occuperont des calculs précis si on en a besoin, la plupart du temps les angles (exprimés en sexa base 10) de 120°, 90°, 60° et 30° suffisent.

Entre parenthèses les angles sexa base 10 classiques. Le cercle vaut K0° (360°), l'angle plat p vaut F0° (180°), Dp/J = DF° (120°), l'angle droit p/F = D0° (90°), p/J = K° (60°), p/K = J° (45°), p/D0 = F° (30°) et p/F0 = D° (15°). La somme des angles du triangle font F0°, le triangle équilatéral ayant 3 angles identiques de K°.

La température

On reprends l'idée de Celsius, à savoir on se bloque sur le point de congélation de l'eau en bas (0°C) puis sur le point de congélation de l'eau en haut (100°C).

L'unité n'est plus le °C, mais je le nomme oK.

Comme le D00 est en base 6, le oK en base 6 couvre une plus grande plage de température (1 oK = 2.777°C ou encore 1°C = 0.36 oK = 0.F0L oK). Donc, au lieu d'avoir 100 subdivisions entre le gel et l'ébullition de l'eau, nous n'avons plus que 36 subdivisions.

La température moyenne de référence, 20°C (qui est définie comme température moyenne du globe, comme température pratique pour la métrologie et pour la mesure des côtes dans l'industrie, et celle aussi où l'humain se sent bien vu que les clims sont réglées à 19°C), correspond à 7.2 oK = D0.F oK. Comme 20°C ne correspond à pas grand chose de physique réel, mais est une valeur approchée, on peut prendre comme valeur de température moyenne 7 oK = DD oK (19.444°C).

Une autre température de référence est 15°C (mesure de la vitesse du son dans l'air). Soit 5.4 oK = L.K oK. On peut approximer par D0 oK (16.6666 °C).

Le point de densité maxi de l'eau, au lieu d'être à 4°C, est à D.KK°C.

SI on mesure non plus sur D00 (36) mais sur une échelle de F00 (72). 1oK est cette fois à 1.388888 °C, 1°C=0,72oK. On se retrouve plus proche de l'ancienne numérotation en Celsius.

Les distances

Le mètre est pas mal (à peu près une longueur de grand pas). Mais c'est la seule unité qui ne se base pas sur un phénomène physique, et fout le bordel dans les calculs.

L'unité de temps, comme la seconde, est une subdivision décimale de la durée du jour. Elle doit s'approcher d'un battement de coeur moyen.

Une fois la durée du temps connue, on va fixer la distance en s'appuyant sur un phénomène de vitesse. La vitesse du son dans l'air est une base physique intéressante et "relativement" facile à mesurer (soit par fréquence de l'écho, par fréquence musicale d'un tuyau d'orgue (longueur du tuyau), soit par différence de temps entre une source lumineuse et le son correspondant), plus fiable que s'appuyer sur un mètre étalon inspiré des mesures ésotériques égyptiennes placé à Paris.

La mesure du son permet par exemple de calculer la distance d'un éclair en comptant le temps mis par le son pour nous atteindre après avoir vu l'éclair.

La subdivision décimale de la vitesse du son dans l'air doit nous donner une unité de distance pratique, à peu près d'une longueur de bras ou d'une enjambée pour être utilisée dans la vie de tous les jours.

La vitesse du son dans l'air c dépend principalement de la température :

c = 20.05 * racine carrée(T), T la température en Kelvin.

Dans les milieux fluides, c dépend très peu de la fréquence et de l'amplitude de la vibration. Mais c dépend de la masse volumique de l'air : plus le milieu est dense, plus la vitesse est rapide. Pour l'atmosphère, cela indique qu'il varie en fonction de la pression atmosphérique (altitude ou météo). Si le vent à une composante de vitesse dans le sens de mesure, il influe sur la vitesse du son.

Au niveau de la mer (pression atmosphérique d'1 atmosphère soit 101 325 Pa), à 0°C, la vitesse du son est de 331.5 m/s. A 10°C, elle est de 337.6 m/s, à 15°C = 340.5 m/s, à 20°C de 343.4 m/s.

Comme c'est la température de 20°C qui est définie comme température moyenne du globe (celle aussi où l'humain se sent bien), on peut prendre la vitesse du son à cette température comme référence pour déterminer notre distance de base. Soit 343.3 m/s à 19.444°C (DD oK).

A noter que j'aurais pu prendre le son à 0°C pour que les calculs théoriques tombent plus juste, et lors des mesures d'éclairs, une erreur de 50 m sur 5 kms parce qu'on est à 20°C plutôt qu'à 0°C n'est pas très grave en soi. Mais 20°C reste la température à laquelle la majorité de l'humanité vit.

Il faut que j'adapte cette vitesse par rapport à l'unité de temps de l'adam oK, D oK = 1.8518 s. Soit la vitesse du son 343.3*1.8518 = 635,72294 m/oK.

Il nous faut ensuite une distance suffisamment grande pour approximer le kilomètre, et faire qu'en une unité de temps le son parcourt un multiple de l'unité de distance.

Si D 000 (1000 en base 6 qui vaut 216 en base 10) vaut 635,72294 m, ce qui implique que l'unité de distance, appelée oD, vaut :

oD = 635,72294 / 216 = 2,943161759 m

Si cette valeur est adaptée à l'échelle de la planète et à son temps propre, elle est beaucoup trop grande pour être utile à la taille de l'être humain.

Je vais donc prendre, pour oDam (distance échelle humaine) la seconde à l'échelle échelle humaine (oKam = 0.9259 s). La distance parcourue par le son pendant cette durée sera de 343.3 * 0.9259 = 317,86147 m (dit autrement, vitesse du son = 317,86147 m/oKam).

oDam = 317,86147 m / 216 = 1,47158088 m

L'unité de mesure adam vaut la taille séparant l'enfant de l'adulte. Quand on écarte les bras, la mesure fait environ 1.5 m. Donc l'unité de l'adam est une "vraie" brassée ! 2 enjambées moyennes (65 cm) font là aussi 1.5 m. On retombe donc sur une valeur pas trop éloignée du mètre, mais beaucoup plus proche des mensurations humaines.

A noter que comme pour la pulsation cardiaque, il faut là aussi diviser par 2 pour trouver la valeur d'une enjambée. La raison de ces divisions par 2 serait à creuser.

Il restera à déterminer quelle unité sera à conserver. aD = 635 m ou aDam = 317 m. Pour les distances à parcourir, la première est plus adaptée, pour les mesures humaines, la seconde est plus adaptée. Peut-être que les 2 seront utilisées, sachant qu'il suffit de multiplier par 2 pour passer de l'une à l'autre, et que la base adam sert justement à s'adapter au mieux à la situation rencontrée.

Les masses

Base 10

Pour ceux qui voudraient rester en base 10, voilà ce que je propose.

Le temps

Une chose qui emmerde bien les scientifiques, c'est cet héritage sumérien de calcul hexaségimal du temps qui complique tout (essayez de passer des mètres/secondes en kilomètres/heure mentalement).

Il y a des cycles terrestres importants à noter, le nouveau calendrier adam retiens ceci, sachant que la journée reste la base de tout :

Le jour est lui aussi découpé en minutes décimales (md) :

Le début du calendrier adam débute par 0, le 22 décembre (mi-solstice d'hiver) 1999 (changement brutal dans le régime des cataclysmes avec la tempête Lorthar qui dévaste l'Europe). Cela permet d'avoir une correspondance facile entre le calendrier grégorien et le calendrier adam (2000 grégorien = 0 adam, 2001 = 1, 2012 = 12, etc.).

Ces valeurs 2017 seront à affiner après le passage de Nibiru puis de l'ascension, car ces paramètres devraient changer.

Les angles

Là encore, il suffit de reprendre l'idée des grands savants de la révolution de diviser le tour (360°) en 400 unité (le grad) au lieu de 360 unités (le °). Ainsi, l'angle droit de 90° vaut 100°.

Les masses

Les distances

Le mètre est pas mal (à peu près une longueur de grand pas) on peut conserver ça.

à suivre...


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