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Nature Humaine (amocalypse)
Faits "inexpliqués">Planète Nibiru>Catastrophisme>La vraie géologie

Première version: 2015-05-06
Dernière version: 2018-02-13

Les archives géologiques des cataclysmes

Sommaire de la page


Préambule

Rappel des avertissements préalables sur les sources des infos de cette partie.

Harmonyum nous livre une démonstration magistrale de la preuve de Nibiru, en répondant à toutes les incohérences de ce que l'homme croit savoir.

La page sur la planète terre explique l'origine et les effets du déplacement rapide des plaques.

Nous ne parlerons dans cette page que du catastrophisme, c'est à dire les preuves de gros chamboulements réguliers sur la planète. Les preuves montrant un déplacement de la croûte terrestre seront données dans la page suivante.

Page restant à réorganiser et à résumer, enlever les preuves montrant un déplacement rapide des pôles, qui sera traité page suivante.

Origine du pétrole

Harmonyum Magakyar·jeudi 11 février 2016

L’origine du pétrole, du gaz et du charbon n'est pas connue avec certitude par les scientifiques humaines, malgré ce qu’on laisse croire au grand public, et d'ailleurs, l'observation sur le terrain a même tendance à favoriser l'hypothèse de cataclysmes successifs pour expliquer la formation de ces carburants fossiles.

Le charbon par exemple est souvent parsemé de boulettes étranges dans lesquelles ont retrouve des créatures parfaitement conservées (notamment des arthropodes, comme à Montceau les mines), et qui démontrent que ces animaux ne sont pas morts de façon normale (prédation par exemple), mais de façon brutale, car sinon leurs exosquelettes se serait automatiquement démontés dès que les parties molles se seraient dégradées. Or là, Ils sont figés dans ces gangues tels qu’ils étaient au moment de leur mort.

Les strates géologiques

La vision Main-stream

La géologie de terrain démontre également, en général, que la Terre ne connait pas de processus lents et progressifs, mais plutôt des processus cycliques et rapides. Comment expliquer que sur 100 mètres de falaise, on puisse trouver des centaines de strates régulières, aux couleurs et aux composés différents mais parfaitement alternés ?

Il existe des exemples très parlant où sur 50 mètres de haut, se succèdent une centaines de couches de calcaire (Jurassique moyen), parfaitement alternées gris bleutées puis ocres (ce qui permet de voir clairement les différences à l’oeil nu).

Ces changements de couleurs dénotent simplement que le climat et la faune étaient différents lors de la sédimentation de ces couches car ce sont les dépôts qui conditionnent les couleurs des strates. Une couche grise (climat plutôt froid type arctique) n’est pas formée sous un même climat qu’une couche ocre (climat plutôt chaud type tropical). Ainsi, une succession de climats très différents se reproduit plus de 100 fois sur seulement 10 millions d'années (estimation d’après les estimations main stream des ères géologiques) , ce qui fait un changement puis un retour aux conditions précédentes toutes les 100.000 ans environ (en sachant que les datations des strates sont approximatives et ne reposent que sur un tableau comparatif des espèces fossiles "marqueur").

Cette problématique sur les strates géologiques n’est pas nouvelle, ce débat faisait rage dès le début de la biologie et de la géologie contemporaine. Un type de climat donnant une caractéristique et une couleur particulière au calcaire, comment expliquer cet effet yoyo autrement que par un cycle régulier des changements de climat ? Comment expliquer qu'une couche reste homogène sur toute sa hauteur, prouvant que le climat est resté stable 100.000 ans, puis que, sans transition aucune, on passe directement à un autre climat complètement différent qui va lui aussi rester stable les 100.000 ans suivant. Or cette situation ne se répète pas une fois, mais des centaines de fois, et les climats alternés sont toujours les mêmes sur de très longues périodes (parfois plus de 50 millions d’années, on retrouve toujours les mêmes successions régulières).

Autre problème, ce sont certaines couches atypiques comme les plages fossiles qui nous le pose. Elles démontrent par la grosseur des grains et les animaux qu'on y retrouve, que le niveau de la mer fait également des cycles tous les 100.000 ans en moyenne. Or Ceci peut être superposé au fait que le magnétisme terrestre fait exactement la même comédie avec ses inversions totales ou partielles. Le paléomagnétisme a des cartes de ces événements, mais ils sont incomplets et toutes les inversions ne sont pas répertoriées (ou de façon imprécises, la discipline étant souvent négligée et manque de moyens réels). On remarque néanmoins que ces phénomènes sont assez réguliers, surtout si on considère les inversions partielles du champs magnétique (les inversions totales sont plus rares).

On a donc des climats stables qui se succèdent tous les 100.000 ans en moyenne, de façon alternée, sur des millions d'années, conjoints à une montée ou une descente du niveau de la mer et une inversion partielle ou totale du champ magnétique terrestre. C'est quand même déroutant, non ?

Maintenant, cela se passe-il vraiment brutalement ou assez progressivement ? Quand on voit le changement instantané de couleur des strates de calcaire, la réponse est évidente : c'est extrêmement brutal, sans transition. Il n'y a aucune couche de calcaire intermédiaire entre les strates, même d'un millimètre d’épaisseur. Pas de transition du tout, même pas sur quelques centaines d'années (ce qui reviendrait à voir une couche intermédiaire d'un millimètre environ si c'était le cas). Au contraire, on peut très souvent séparer les couches aisément, tellement elles sont indépendantes les unes des autres, comme des feuilles.

D'ailleurs la grande majorité des fossiles d'animaux dans ces zones ne montrent aucune détérioration, qu'ils soient jeunes ou vieux, ce qui veut dire qu'ils ont été ensevelis très rapidement, permettant ainsi la conservation des coquilles les plus fragiles : aucune trace de prédation, les coquilles sont intactes, et on en trouve parfois des millions sur quelques mètres carrés. Ces couches fossilifères sont parfois (même souvent) recouvertes par une couche morte sans aucun fossile, qui prouve que la vie a été balayée puis mis énormément de temps à repeupler la zone (couches sans fossiles qui marquent souvent la limite entre deux ères géologiques où les animaux sont complètement différents). Il n'y a aucune transition entre les couches remplies de fossiles et les couches mortes, ce qui indique qu'il n'y a pas eu déclin progressif mais hécatombe instantanée. Cela ne vous rappelle rien ?

Que sont réellement ces strates?

Ces strates sont l'empilement de squelettes animaux au cours du temps. Brutalement, ces strates sont interrompues (passage de Nibiru, cette fine épaisseur est riche en poussières de météorites et de cendres volcaniques, ainsi que les cendres des incendies provoqués par Nibiru). L'empilement de squelettes animaux reprends au dessus, mais sous des conditions différentes, les couleurs des ossements ne sont plus les mêmes ni leur consitution, le lieu géographique n'étant plus sous le même climat.

Les anciennes visions de la géologie et de la stratification sont naïves et erronées. Le problème d'ailleurs, c'est que toute l'échelle de temps géologique est encore basée sur ces anciens modèles et conceptions. Et pourtant, notre écologie terrienne est extrêmement simple quand on y inclut une forme de cycles de transformations réguliers. En fait, comme cela se produit pour la sédimentation fluviale (crues saisonnières) ou les stries des arbres (cernes de croissance), il est très facile de dater les couches géologiques puisqu'elles suivent un cycle de 3600 ans. Chaque strate n'est qu'une feuille de plus dont la durée est obligatoirement de 3600 ans, peu importe son épaisseur (qui dépend de nombreux facteurs : quantités de matières produite, densité des matériaux, compression etc...). Peu importe, qu'une strate ait 1 ou 50 cm d'épaisseur, l'alternance du cycle est constante. Cette situation est assez exceptionnelle et n'existe que peu ailleurs dans l'Univers, car rares sont les planètes soumises à de tels cycles. Mars a connu ces phénomènes dans les mêmes proportions avant de "mourir" magnétiquement. Donc on devrait retrouver le même système sur place au moins tant que Mars était active. Dans la grande majorité des autres systèmes stellaires, il n'y a pas de cycles de destruction. La géologie est donc bien différente et les roches sédimentaires n'ont aucune stratification, puisque le climat et les conditions générales varient de manière bien plus progressives. Les changements sont si lents (température globale, chimie de l’atmosphère etc...) qu'il n'y a aucun accident cyclique de ce type, mais seulement des accidents aléatoires (impacts de météores par exemple). Les roches sont bien plus homogènes, sans strates. Voilà un des gros soucis de notre espèce, elle n'a aucun point de comparaison : pas d'autres planète "habitée" à étudier, pas d'autre géologie que celle du système solaire (et encore, mis à part la Terre et Mars, on a pas vraiment d'information). Notre énorme défaut c'est de croire que ce que nous vivons est la normalité (anthropocentrisme, typique de l'humanisme des lumières). Or ce n'est pas du tout le cas. Nos modèles sont propres à notre planète et ne se reproduisent pas forcément ailleurs. Si nous avons toujours connu des strates et des fossiles, ce n'est pas forcément parce que ce sont des phénomènes "normaux". La fossilisation par exemple est extrêmement liée à Nibiru, parce que les catastrophes qu'elle engendre permettent de conserver intacts de très nombreux cadavres par ensevelissement. Sans Nibiru, les fossiles seraient extrêmement rares et seulement dus à des phénomènes naturels locaux géographiquement limités (crues, glissements de terrain, et encore, notre géologie est active parce que Nibiru sert de moteur : pas de Nibiru pas de tectonique des plaques, pas de montagnes, pas de continents séparés, pas de séismes). La profusion de fossiles, sans putréfaction, est connectée à ces cycles. De même, la diversité des espèces / les extinctions de masse sont un résultat direct de l'instabilité apportée par Nibiru, un sacré catalyseur évolutionniste qui n'a pas son équivalent sur d'autres planètes abritant la vie (et donc celle-ci n'est pas forcée de s'adapter rapidement, ce qui laisse des formes de vie primitives perdurer des centaines de millions d'année sans renouvèlement contrairement à ce qu'on voit chez nous). Alors oui, la géologie classique a énormément de travail de révisions à faire, notamment pour comprendre les phénomènes de stratification, mais pas seulement !

Les montagnes renversées

Autres observations assez révélatrices, ce sont les sols inversés. On en trouve un bel exemple avec le Bugarach dans l’Aude. Techniquement, cette montagne est à l'envers : c'est un énorme plateau calcaire qui a été soulevé par la formation des Pyrénées, comme on en trouve beaucoup dans la région. Sauf qu'il est difficile d'expliquer pourquoi les strates sur une aussi grande surface sont complètement inversées chronologiquement. La seule explication, c'est que le plateau entier a été soulevé à la verticale puis est retombé à la renverse. Or ceci ne peut pas se produire sur des millions d'années mais de façon extrêmement brutale puisque il n'y a aucune trace d'érosion dans les strates inférieures, seulement dans les supérieures. Etrange encore, le cours d'eau souterrain qui sort de ce plateau est salé, ce qui prouve qu'une quantité non négligeable de sel marin a été piégé par cet événement géologique. On trouve aussi, le long des sentiers de promenades, des rochers qui sont usés par les vagues à leur base. Que font ces rochers à plusieurs centaines de kilomètres des côtes ? Ils ne sont pas fossilisés (c’est à dire inclus dans des sédiments), mais à la surface, comme si la mer avait soudain reculé et avait laissé l’ancien littoral intact à 250 mètres d’altitude. Notez que ces rochers n’ont pas été érodés par les pluies puisque seule la base a été usée de façon atypique. Cela pose un énorme problème de datation, car s’ils n’ont pas été usés par le haut et n’ont pas été recouverts par le temps, le recul du littoral est extrêmement récent (ou la zone a été soulevée du niveau de la mer jusqu’au niveau actuel par une croissance énorme des Pyrénées il y a très peu de temps).

L'orogénèse

L’orogenèse, c'est à dire la formation des montagnes, est aujourd'hui dans son état actuel une vaste fumisterie parce qu'elle ne correspond pas du tout aux observations, mêmes récentes. Dans le même esprit, le pétrole, tout comme le charbon et le gaz, sont le résultat de la submersion et l'ensevelissement de grands écosystèmes piégés et enterrés brutalement par des changements géologiques brutaux et massifs (soit des tsunamis, soit des mouvements de superposition de sols), prouvés par les fossiles eux mêmes. Des forêts entières sont retrouvées intactes et pétrifiées sous des couches de limon, mais personne ne se pose la question de savoir quel événement géologique soudain a pu être la cause de ces ensevelissements.

Tout le monde sait également que les mammouths sibériens sont une des preuves les plus flagrantes de ces cataclysmes (et c’est pour cela que ces preuves sont vivement combattues et qu’on veut les faire passer pour des légendes urbaines) : comment des animaux aussi imposants, qui ont encore des fleurs dans leur estomac, ont pu subitement mourir (en masse, vu les cimetières qu'on retrouve) alors que le climat était clément au moment de leur mort et leurs chairs conservées contre toute logique hors de toute putréfaction ? La seule réponse est un refroidissement brutal avec une chute en quelques minutes d'au moins 70°. (on passe de 10-20° à minimum -50°), seule condition pour pouvoir congeler entièrement une bête de plusieurs tonnes sans détérioration de la viande et du contenu de l'estomac.

Comment des fleurs ont elles pu ne pas être digérées dans ces estomacs ? La seule explication convenable et logique c'est que le processus de digestion a été stoppé par un gel très rapide, car la mort d'un animal n'empêche pas les sucs gastriques de détériorer les aliments, même post-mortem. Or comment figer l’estomac à l’intérieur d’une bête de 6 tonnes recouverte de fourrure en quelques minutes ?

Autres indices de cataclysmes

Tous ces indices pour vous dire qu'on ne peut pas se fonder un documentaire, une opinion ou une vision des événements à venir sur de fausses certitudes, même si elles sont badgées comme “scientifiquement avérées”. Les toujours plus nombreuses fuites de méthane fossile sont en train de nous démontrer, en temps réel, que notre sous sol est bien plus complexe et bouleversé qu'il n'y parait, et les quantités sont telles qu'on imagine aisément le nombre exubérant d'écosystèmes qui ont été ensevelis en entier (des milliards de tonnes de biomasse à chaque fois) lors des différents cataclysmes cycliques. Que dire aussi de l’origine des sables bitumineux, si ce n’est justement qu’ils sont le résultat l’enfouissement et le brassage de sédiments sableux du fond des océans avec de la faune marine de surface. Or ce genre de mélange est typique des tsunamis.

La question de l’existence de Nibiru se pose peut être, mais la réalité des cataclysmes elle, peu importe leur origine, est prouvée par les faits. Si les différentes disciplines se taisent sur ce sujet, c'est parce qu'il y a un vieux consensus qui a été établi dès le départ lorsque les scientifiques et humanistes athées des “lumières” du XVIII ont voulu se détacher et démonter les croyances religieuses qu'elles pensaient néfastes (comme le déluge ou les re-créations / mondes successifs, mythes qui se retrouvent pourtant dans de très nombreuses civilisations). Leur position n'était donc pas objective mais politique. Nous en payons encore les frais.

Cuvier, par exemple, a été un des chefs de fil d'une vision rapide et brutale des changements géologiques, et c'est pour cela qu'il a été combattu puisque qu'il donnait finalement du crédit à l'Eglise, une position jugée rétrograde et anti-humaniste à l'époque où la Science se voyait comme le grand démystificateur de la religion. Les preuves et les évidences ont été écartées pour laisser place à une géologie dite lente mais qui n'est pas du tout vérifiée sur le terrain.

Ne vous y trompez pas, la "Science" n'est pas et n'a jamais été, surtout au XVIIIème et XIX une discipline objective. Elle entrait dans un conflit idéologique profond et ces fondements ont été peu remis en question par la suite. N'oubliez pas que Wegener, le père de la tectonique des plaques n'était pas géologue mais un ingénieur (autodidacte en géologie). Il fut combattu par les géologues “main stream” eux mêmes jusqu'à ce qu'on s'aperçoive dans les années 70 que la géographie ne pouvait pas être expliquée autrement (et que surtout les vieux pontes qui restaient accrochés à leurs certitudes erronées meurent et soient remplacés par des plus jeunes d’esprit).

Restent encore de nombreuses erreurs de fond parce que de toute manière c’est un sujet qui n’impacte pas sur l’économie et capte peu l’intérêt du grand public.La sectorisation des disciplines ne permet pas non plus de mettre en parallèle les observations géologiques, magnétiques et historiques. En resumé, à partir du moment où les techniques de recherche de pétrole empiriques n’ont pas besoin de comprendre comment celui-ci s’est formé pour trouver les gisements, tout le monde s’en fout.

Notre système est basé sur de nombreuses erreurs scientifiques qu'il faudra un jour rectifier mais qui en attendant faussent notre vision de la réalité objective. En éliminant tout ce qui contrarie le dogme en vigueur, forcément que la théorie “main stream” tient, mais il ne faut pas trop gratter sinon les incohérences réapparaissent très vite.

Accumulation de squelettes

C'est Immanuel Velikhovski qui en parle, en plusieurs point du globe on trouve des fossiles enchevêtrés les uns sur les autres en énorme quantité, c'est le résultat des gigantesques tsunmais qui se produisent lors des passages forts de Nibiru et du déplacement rapide des continents (pole-shift) et qui accumulent en un lieu toute la vie emportée sur des centaines de kilomètres.

Page suivante : basculement des pôles géographiques

Nous venons de montrer que la terre subissait régulièrement de grosses catastrophes qui chamboulaient tout et provoquaient des morts massives, nous verrons dans la page suivante que ces catastrophes sont en fait provoqué par une déplacement très rapide de la croûte terrestre.

à suivre...


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