Première version: 2015-05-01
Dernière version: 2019-04-15
Sommaire de la page
Rappel des avertissements préalables sur les sources des infos de cette partie.
La page sur la spiritualité nous permet de définir une constitution pour une société humaniste, permettant à l'individu de s'épanouir, corps et âme, et d'obtenir une évolution rapide de la société.
Pluiseurs chefs/sages. Ils ont envie de servir le bien commun, même s'ils
n'y trouvent aucun intérêt. Ils partagent l’autorité, ne jouissent pas de
privilèges ni prestige particuliers mais travaillent plus que les autres. Il
font juste leur boulot. Pour être chef, deux conditions sont requises :
compétence et impartialité. L’autorité découle du mérite personnel et la
capacité individuelle prime sur tout. Les ascendants ont le devoir de
transmettre aux descendants les connaissances morales et techniques.
Voir l'article sur le mode
de gouvernance idéale de Marc Chazal : Dans un premier temps (nos
sociétés décadentes), un homme éclairé, sage, altruiste. Ensuite,
éducation des hommes pour êtres autonomes. Pas besoin de gouverner quand tout
le monde est capable de se gouverner soi-même.
Agnès Buzyn va dérembourser les médecines naturelles, signez la pétition.
Macron veut signer le pacte de marakech, manif le 30 à 11h à Paris.
Ils portent la retraite à 63 ans, tous avec les gilets jaunes.
Ils déremboursent les chômeurs qui n'accepteraient pas un boulot de merde sous payés, blocage des autoroutes.
Il favorisent l'exil fiscal des riches, demandons le RIc pour l'interdire.
Ils signent le traité où les multinationales auront priorité sur les millions de citoyens, envoyez tous un coeur rose aux parlementaires européens.
Ils augmentent la CSG des retraités, aller vous plaindre à votre député.
Ils suppriment l'ISF, braillez vos revendications à la mairie.
Ils ....
Stop. Tout le monde respire... Expire... encore ... encore, on vide bien les poumons....
On respire lentement, on est zen :) On revient au centre, on se coupe des combats extérieurs perdus d'avance.
Si on changeait plutôt le système ? :)
L'intérêt commun à tout le monde.
Toutes les entreprises, toutes les banques n'ont plus qu'un patron, nous. Chacun garde ce qu'il a et qu'il peut utiliser (les 60 000 ha de Rotschild en Ukraine reviennent forcément aux paysans qui les cultive).
On vire les élus, on choisi les plus honnêtes d'entre nous, qui vont surveiller les techniciens chargés de faire que tout ce passe bien. Dès que quelqu'un a une idée pas con, on l'applique.
Tout le monde est virable de son poste à tout moment, en cas d'incompétence manifeste. Aucun problème de chomage, vu que tout le monde participe à la société, et choisit là où il est bon et se plaît. Tout le monde se relaie sur les boulots que personne ne veut faire, les travaux d'intérêts généraux.
Plus de concurrence, que de la coopération.
Plus de référendums pour annuler des lois liberticides, ces lois n'étant jamais votées dès l'origine.
Des comités de citoyens où les plus réveillés apprennent aux moins réveillés. Des groupes par niveau de compréhension et de connaissances, le groupe avancé apprennant à ceux d'en dessous, et faisant remonter, après analyse, les bonnes idées issues d'en bas aux groupes du dessus.
Surtout pas de différences de constitution entre les "niveaux" de connaissances : le but de servir l'intérêt commun reste le même du début à la fin, pas comme en Franc-Maçonnerie où on ne vous apprends que dans les plus hauts grades le but réel de l'organisation, et qu'il faut en réalité faire le contraire de ce qu'on vous a appris au début.
Sans notion de hiérarchie ou de supériorité. Les moins connaissants sont les connaissants de demain.
Même un gamin de 3 ans doit pouvoir dénoncer le sage suprême, et obtenir gain de cause si le gamin à raison. Il faut utiliser les techniques classiques de remontées, mais que tout le monde soit au courant. Comme pour les prêtres catholiques en confession, ou les espions des réseaux sociaux, ou les Renseignements Généraux, des personnes habilités, qui garantissent l'anonymat, font remonter les doléances ou le mal-être des gens, afin que la société puisse y répondre et se recentrer sur le bien-être commun et individuel.
La connaissance s'organise en termes simples, vulgarisée pour que tout le monde puisse comprendre.
Un bon fonctionnement égalitaire, sans tomber dans le piège de :
- la représentation actuelle (je vote pour un inconnu égoïste qui ne fera même pas ce qu'il a dit et s'arrangera pour faire passer son intérêt avant le mien)
- et la démocratie participative (tout le monde braille sans s'écouter, on prends les décisions sans réfléchir, ou sans prendre de recul).
Ohhh ! :) Encore une fois on a pris la voie du milieu, on évite les extrêmes, et ça tombe encore sur la meilleure solution ! Ce hasard tout de même ! :)
Plus de brevets, de rejets polluants dans l'eau potable sous prétexte que ce serait trop cher, etc. etc.
Quand tout le monde possède un outil, on ne va pas s'arranger pour que ce dernier casse vite pour en revendre. On arrête tout simplement d'en faire, et la jour où il y a une vraie révolution technique qui vaut le coup, on relance les machines.
On ne fait plus de médicaments, on fait vivre les citoyens de façon à ce qu'ils restent en bonne santé. Plus d'intérêts privés qui cherchent au contraire à vous rendre malade pour vendre leur camelote.
Les promoteurs véreux n'ayant plus de pouvoir, ils ne peuvent plus déboiser la forêt vierge pour nous faire ingurgiter leur huile de palme toxique à tous.
Plus de pub ni d'exhausteurs de goûts pour nous bourrer de Nutella qui nous rendent malade.
On fait tout simplement ce qui est le mieux pour la planète et ses habitants.
On fait ce qu'un petit groupe d'humains informé et qui réfléchit ferait naturellement.
Ce n'est pas une société utopique, c'est la seule société qu'on devrait avoir. Tous ceux qui vous diront le contraire sont des menteurs qui cherchent à vous exploiter.
Au sein de cette société peu contraignante, où évidemment l'ordre est réellement assuré pour protéger le faible du fort, ou l'esclavagiste est isolé pour protéger la société (mais travaille pour manger et faire son confort, il a le droit à sa vie, mais sans possibilité de nuire aux autres).
Chacun fait ce qui lui plaît, dans la limite de ne pas nuire aux autres.
Ce n'est plus l'intérêt d'une personne qui doit devenir le but de la société, mais l'épanouissement personnel, et forcément de l'ensemble de la société constituée par des humains meilleurs et qui travaillent intelligement ensemble, dans la même direction :)
Les risques sont toujours grands de laisser une minorité de personnes prendre un pouvoir dont on ne pourra plus les déloger (ils auront la main sur l'armée et la propagande au point de faire aimer au citoyen sa servitude), une société trop complexe dont seuls quelques initiés auront les clés et pourront profiter.
Principal danger, le gourou qui veut prendre le pouvoir (et ceux qui le laissent faire), ceux qui veulent exploiter les autres (les faire travailler plus qu'eux), bref, les illuminatis en puissance.
Ne pas oublier que les illuminatis sont là parce qu'on leur a laissé la place, et que recréer des sociétés basées sur nos croyances de l'ancien monde ne servira qu'à répéter les mêmes erreurs.
La séparation des bons et immatures ne se fera que quelques années après le premier passage de Nibiru, les profiteurs/exploiteurs seront toujours là après les événements, avançant comme à leur habitude à visage masqué (le loup à masque d'agneau), s'infiltrant dans tout ce qui marche pour essayer d'infléchir les décisions à leur avantage.
Respecter son environnement, la nature n'a d'autre raison qu'elle même d'exister, s'intégrer en elle au lieu de l'asservir au point de tout détruire en une génération. prendre en compte l'aspect temporaire de la vie physique sur terre et de l'aspect divin et immortel de l'âme.
Les grosses catastrophes ne détruisent pas complètement le monde d'avant, les survivants s'en souviennent et recréent ce qu'ils connaissaient, dépendant de leur orientation spirituelle :
Ces communautés se formeront de plusieurs façons :
Les communautés spontanés, principalement échappées des villes, s'organiseront de la façon suivante :
Intéressons nous au modèle communautariste de sociétés qui ont plus de bagages que nous, comme les Zetas : chacun fait le boulot pour lequel il est bon, les projets ne sont pas toujours donnés à la même personne, les libertés individuelles sont limité par celle des autre, il y a le respect de la vie quel qu'il soit, il y a discussion commune des solutions à adopter, et c'est toujours la meilleure qui est retenue!
C'est le peuple qui rédige et vote les lois, plus de professionnels de la politique qui ne vont voter que les lois qui les intéresse eux ou leurs commanditaires. En effet, qui a choisi notre président comme président? Ce n'est pas moi qui ai payé (enfin, pas directement...) pour qu'il passe souvent à la télé. Celui qui a payé pour ça est actuellement satisfait des résultats de notre président question augmentation de dettes, du chomage, de l'avancée du flicage de tous et de l'arrivée prochaine du traité transatlantique!
En 1990, avec la chute de l'URSS et l'embargo américain bloquant les ports, Cuba s'est retrouvé du jour au lendemain en autarcie complète, alors que tout son mode de production était basé sur une agriculture intensive très dépendante du pétrole, pesticides et engrais. Heureusement pour eux, ils étaient communistes et l'entraide communautaire à permis de les sauver.
Indépendamment du type de société, il faut s'assurer que tout le monde respecte les règles et ne lèse personne d'autre. En cas de crime (vol, viol, blessures, meurtre, etc.), la vengeance n'a pas lieu d'être, parce qu'elle est inutile, ne répare pas le dommage subis, et entraîne une spirale de violence sans fin.
Il faut pardonner à celui qui s'amende ou qui ne l'a pas fait exprès. S'amender, c'est s'excuser sincèrement de son geste et s'efforcer de ne plus le refaire.
Lors du procès, on s'attache donc :
Une fois les culpabilités et responsabilités de chacun établies, il faut empêcher que le crime se reproduise :
Réparer le tort. Le coupable devra réparer dans la mesure de ses moyens et de son degré de culpabilité. Une somme d'argent ou de travail à la communauté, pas forcément déplaisant, mais qui réparera les dégâts (du travail en plus de son travail habituel, ou de l'argent en moins de son salaire).
Il ne s'agit pas de se venger, de faire payer quelqu'un. Une personne dangereuse et enfermée devra avoir une vie la plus plaisante possible, selon ses goûts, tout en :
Un cleptomane qui vole une pizza et qui ne peut s'empêcher de déposséder autrui devrait théoriquement rester en prison à vie, du moins être tenu à l'écart des lieux d'échanges de marchandise. Il devra travailler plus pour payer le suivi d'une comptabilité, de passeports pour les magasins, de la surveillance accrue qu'il impose, etc.
Les personnes égoïstes et cherchant du pouvoir sur les autres, devraient être maintenues seules, car en groupe elles sont trop dangereuses.
De manière générale, en prison les condamnés doivent être seuls dans leur cellule, pour ne pas être contaminés par atavisme à des truands pires qu'eux.
Si la personne demande trop de contraintes pour être maintenue en prison (géant bipolaire de 2.50 de haut, 200 kg de muscle, qui veut faire le mal et tuer et torturer son semblable, absence de piqures anesthésiantes, 10 personnes pour le maîtriser) ou qui refuse de travailler pour son maintien en captivité malgré les discussions avec un psychologue, il faudra alors se poser la question de l'exécution (laisser un délai de 3 ans pour voir si les choses peuvent s'améliorer, le faire des fois au feeling, relâchement au loin dans la nature, etc.).
Le site des matriciens, revenir aux fondamentaux de la vie en société, avec comme but le bien être de tous. Par exemple, le village de Vaudencourt, qui expérimente depuis 45 ans la démocratie directe.
à suivre...