Menu du site

Nature Humaine (amocalypse)
Survivalisme>Survivre à l'apocalypse>Choisir son RAS

Première version: 2014-10-18
Dernière version: 2016-09-30

Choisir son RAS (Refuge Autonome Sécurisé)

Sommaire de la page


Préambule

Rappel des avertissements préalables sur les sources des infos de cette partie.

Le RAS (Refuge Autonome Sécurisé, ou encore BOL en anglais (Bug Out Location)) est l'endroit qui nous permettra de survivre aux cataclysmes de Nibiru, et sera suffisamment éloigné des centres urbains denses pour éviter les cohortes de zombies (personnes non préparées qui risquent de s'entretuer).

Positionnement par rapport à son lieu de vie

Il faut prévoir une zone proche de chez soi, accessible rapidement malgré un risque de blocage des routes par l'armée.

Caractéristiques géographiques

Située de préférence à plus de 400 m de hauteur si on est loin des côtes, à 600 m plus près (avec l'élan, un tsunami majeur peut escalader les collines, sans compter les probables effondrements des côtes océanes).

De préférence dans les bois pour être moins visible.

Pour résumer, il faut prendre sa tente et rester dehors loin des constructions ou des arbre proches, aller à l'intérieur des terres (plus de 60 kms des côtes) dans un lieu abrité du vent, loin d'une ville, à plus de 200 m d'altitude, et on ne craindra pas grand chose.

Les distances ou altitudes sont prises larges, car on ne peut indiquer tous les phénomènes locaux qui vont amplifier les dégâts. Mieux vaut se trouver à 200 m de haut à plus de 60 kms des terre et n'avoir qu'un tsunami de 150 m de haut, qu'être à 300 m d'altitude à 40 kms des côtes et se trouvé emporté par une vague capable de monter à 400 m de haut pour franchir une colline qui lui barre le passage.

Généralités

Pour s'en sortir il faudra prendre de la hauteur (échapper au Tsunami). Mais il faut se préparer à l'avance, car les freins aux déplacements seront nombreux (barrages de police ou de l'armée entre autre, terrains privés, etc.).

Les catastrophes 60 jours avant le passage (gros séismes destructeurs un peu partout sur la planète), vont mobiliser tous les moyens internationaux qui seront vite débordés. C'est aussi pour cette raison que les gens penseront que l'arrêt de la rotation terrestre (lever du Soleil à l'Ouest) et la reprise en sens inverse qui va suivre pendant quelques dizaines d'heure marque la conclusion du phénomène. Cet arrêt et la reprise en sens inverse seront perçues comme la fin du cauchemar, à tort.

Pour le plus gros séisme mondial et les ouragans qui vont suivre, il n'y aura plus de secours pouvant être apportés.

Où se trouver en France?

Partout en France il y aura des dangers : Le centre de la France, un peu moins exposé aux accidents nucléaires, sera exposé aux volcans et aux séismes aux alentours de Clermont-Ferrand. Les Alpes, a priori les mieux placées, le seront moins en cas d'accident nucéaire, à moins que les conditions météo du moment poussent le nuage le long de la vallée du rhône uniquement.

Bref, il n'y a pas de réponses, quelque part le destin nous pousse là où nous devrons être, en général là où nous vivons actuellement. Vous pourrez survivre aussi bien au centre d'une grande ville que réfugié dans les alpages.

Si votre famille à encore des terres à la campagnes, et que vous aimez bien y retourner, allez-y quand vous verrez que ça commence à chauffer. Suivez votre intuition.

Il n'y a réellement que les côtes et les endroits à moins de 200 m qui sont dangereux.

Zones à éviter en France

Toutes les terres à moins de 60 km des côtes, les vagues peuvent monter localement à 600 m d'altitude, mieux vaut ne pas jouer.

Les côtes atlantiques, il y aura un tsunami dévastateur avec probable effondrement des côtes. Il sera dangereux car provenant d'un soulèvement du fond marin, il se fera sans séisme avertisseur. Cela va se produire avant même le passage de nibiru, de même que la Turquie sera détruite avant le big one.

Le risque nucléaire et industriels en cas de séismes/tsunamis.

Se tenir loin de l'eau en général qui avec l'accélération des plaques terrestres vont déborder de leurs berges.

Toute la côte d'azur pour les risques de séismes et de tsunami.

Les côtes océanes qui en plus risquent de s'effondrer dans la mer en plus du tsunami, prévoir des hauteurs plus hautes.

Les vallées en cas probable de ruptures de barrage ou de chute de falaises dans un lac surplombant les vallées, ou encore de rupture de verrous glaciaires.

Les vallées fluviales seront le lieu de remontée plus loin dans les terres des tsunamis.

Les séismes sont amplifiés dans les roches argileuses ou calcaires (ne pas se réfugier sur des collines de ce type), les roches sédimentaires renforcent les ondes sismiques.

Les falaises s'écrouleront, de même que le plafone ou l'entrée des grottes

Par la suite, les villes seront un enfer pour y survivre.

Zones "sûres"

Aucune zone au monde ne sera sûre.

Il faudra pour le premier passage se réfugier sur des hauteurs supérieures à 200 m de haut (600 m pour le second passage) si vous êtres près des côtes. A l'intérieur, divisez ces hauteurs par 2.

Les socles hercyniens anciens comme le massif central ou le morvan devrait être relativement sûrs. Excepté pour la zone de Clermont Ferrand qui verra des phénomènes volcaniques.

Pour réjoindre ces zones, éviter les grands axs comme les autoroutes qui seront les premiers bloqués.

A résumer et intégrer au dessus

Adaptons plus précisément la zone refuge à Nibiru.

Repérer un itinéraire pour rejoindre sa zone refuge qui ne doit pas être trop loin (barrages de police ou de l'armée entre autre, terrains privés, plus d'essence, etc.). Elle doit être loin des villes, les êtres humains étant les plus dangereux dans ces moments-là.

Cette zone doit être à plus de 50 kms des côtes océanes, plus de 200 m de haut pour échapper au tsunami et à la montée de la mer (sans compter l'effondrement local de 45 m à l'ouest de la France).

Se tenir à 150 kms à vol d'oiseau des volcans qui étaient encore actifs il y a moins de 10 000 ans .

Ne pas se placer sur les montagnes jeunes comme les Andes. Les Alpes sont considérées comme sûres, elles vont continuer à grandir mais à un rythme non mortel pour l'homme.

De préference à plat pour éviter les éboulements des tremblements de terre, et protégé du vent pour résister aux typhons.

De même, s'éloigner de l'eau et des lacs qui vont déborder largement de leur lit (se tenir 100 m au dessus).

Indépendamment du tsunami, la mer va monter dans les 2 ans après le poleshift et inonder une grande partie de la terre, il est préférable de bouger avant le pole shift pour éviter de se retrouver dans le flux de migrants et les camps de concentration. Si vous êtes dans ce cas, il faut prévoir les futurs routes migratoires.

Les risques d'explosion de centrales atomiques deviennent faibles mais non nuls, rester à + de 50 kms d'une centrale nucléaire.

Bon courage pour trouver l'endroit idéal!

Au vu de ce qui est ci-dessus, les endroits en France :

Tsunamis

Jusqu'à 200 mètres sur les côtes le jour J, 150 mètres de haut à l'intérieur des terres, mais perdant rapidement de leur puissance. Les tsunamis remonteront facilement les fleuves et rivières, amplifiant les effets dans les vallées.

Sur le moment, être assez en hauteur et loin des côtes pour éviter de se faire emporter.

Il faudra quand même quelques jours, voire plusieurs mois dans certaines zones où l'eau salée pourra former des étangs (dans les cuvettes). Il faudra alors gérer l'évacuation des eaux salées des terres agricoles où à certains endroits elles formeront de vastes zones inondées.

Séismes

La France (excepté la côte d'azur et les zones déjà sismiques) ne devrait pas avoir de gros tremblements de terre, entre 7 et 8, ce qui est quand même pas mal.

De telles magnitudes au Japon provoquent des dégâts mineurs, car leurs constructions sont prévues pour. En France, où le risque était pour la plupart du territoire au niveau zéro avant 2011, quasiment aucun batiment n'est dimensionné pour ce risque, et le séisme que nous allons subir provoquera des dégâts majeurs.

Il ne faut pas rester chez soi et sortir, rien ne vous arrivera si vous êtes en plein champ. La terre qui s'ouvre sous les pieds des gens c'est de la légende urbaine. Par contre, les routes et les dalles en béton peuvent se casser, les égouts, les souterrains et les caves s'effondrer et là oui, par contre, vous risquez de tomber dans une crevasse. Chances très faibles qu'il y ait une crevasse en plein milieu d'un pré!

Les poissons rouges et les poissons chats s'agitent anormalement avant un tremblement de terre. Les smartphones, avec une application indiquant les vibrations, pourrait peut-être vous servir.

Les tremblements de terre sont souvent précédés de bruits étranges dont on ne sait d'où ils viennent.

Ouragans catégorie 5

Effets des ouragans de catégorie 5 :

Les vents sont à plus de 300 km/h. Tous les arbres et les arbustes sont arrachés. Certains édifices seront détruits; d'importants dommages seront faits aux toits et de sévères dommages seront faits aux fenêtres et aux portes. Les vitres explosent Les toits de plusieurs maisons et édifices industriels s'effondreront. Les marées de plus de 5,5 m causeront la fermeture des voies d'évasion de 3 à 5 heures avant l'arrivée de la tempête ainsi que des dommages importants aux rez-de-chaussée des structures.

Les dommages les plus importants n'émanent pas, la plupart du temps du vent en tant que tel, mais plutôt des débris (tuiles, morceaux de toits, fenêtres, édifices, branches, arbres qui tombent) qui sont transportés à une vitesse incroyable. Une planche de contreplaquée poussée à 300 km/h exerce une pression mortelle sur tout objet fixe qui chercherait à l'arrêter...

Une fois choisi un terrain moins sensible au tremblement de terre, il faudra choisir un terrain large comme un champ ou rien ne va dévaler ni d'arbres s'effondrer sur vous.

Creuser un petit trou de 1 m de profond pour éviter les objets volants à grande vitesse comme les tuiles, tôles ondulées, plaques, etc.

Prévoir une tranchée externe pour éviter que l'eau ne comble le trou, et un petit abri au dessus pour empêcher que la pluie ne vienne tout inonder. Cette bâche ou poncho sera bien maintenu pour ne pas s'envoler.

Le vent ne viendra pas forcément de l'orientation habituelle, essayer de faire le trou abrité du vent (surtout pas sur la face d'une colline bien exposée, les débris seraient arrêté par la colline et donc par vous!).

Pour faire un abri anti-tornade, il suffit de creuser un trou dans le sol (1 m de profond suffit, en mettant la terre excavé sur tous les côtés pour éviter les gros écoulements d'eau dans le trou) et de s'allonger au fond. Comme il pleuvra beaucoup, il faudra prévoir une bâche de protection pour s'enrouler dedans et une évacuation basse de l'eau pour éviter de se noyer dans le trou.

Météorites

Contre elles on ne peut rien faire.

Comme les séismes risquent de faire s'écrouler la plupart des plafonds des grottes de surface (toutes celles connues actuellement), et/ou ébouler leurs entrées, la solution de s'enterrer dans une grotte (qui risque d'être au sens propre du mot!) est à exclure.

Si c'est une explosion de météorite, ouvrez la bouche, sinon l'onde de choc pourrait vous eclater les tympan par différence de pressions. Se mettre à terre (éviter d'être projeté viollement au sol) et loin des vitres (qui vont exploser vers l'extérieur si c'est une onde de dépression en premier) comme ça c'est produit à Toulouse pour l'explosion d'AZF, ou a Tchelianbisk.

Inch Allah pour les météorites!

Centrales nucléaires

Un accident nucléaire en France toucherait à terme toute la planète, comme l'a fait Tchernobyl et le fait Fukushima. Bien entendu, il y a des contaminations différentes selon les distances et les produits propagés par les vents. Les éléments les moins volatives (les plus lourds) se déposent très rapidement, dans les 100 km autour du point d'émission. L'iode, qui a une durée de vie plus courte, peut être transporté plus loin, et c'est ce genre de retombée qui a perturbé l'Europe de l'Ouest. Enfin, il y a d'autres éléments qui se fixent dans les poussières et l'eau atmosphériques, et eux font le tour de la Terre. C'est pour cela que les Et interviennent, parce une contamination globale pourrait détruire des équilibre vitaux pour toute la faune et la flore. Quant aux impacts de la radioactivité, ils dépendent aussi de la capacité de chacun à résister, capacité très différente d'une personne à une autre. Là c'est surtout le système immunitaire qui joue, et ceux qui en ont un bon peuvent encaisser largement les retombée dans la mesure où ils ne sont pas dans les 100 km autour du lieu de l'accident. Il n'y a pas de différence ici avec une pandémie. Ceux qui sont résistants sont ceux qui ont un bon système immunitaire. La seule chose qui varie, c'est que pour une maladie, la société actuelle remplace le système immunitaire des personnes affaiblie avec des médications, ce qui n'est pas possible avec la radioactivité. La question qui a été éludée parce que camouflée par la médecine, c'est de savoir pourquoi les systèmes immunitaires sont généralement aussi faibles chez les humains, comparativement aux animaux. Et là, c'est tout le système qui est en cause. Pour survivre à Nibiru, il faudra revoir le fond, pas juste la surface des choses. En ce sens, pour survivre il faudra avoir un système immunitaire correct, ce que le stress et la malnutrition n'arrange pas, système immunitaire qui est avant tout lié à l'esprit (90%). La santé est en majeur partie, dans le cas du nucléaire et des épidémie, lié au spirituel qu'au matériel. ce n'est donc pas en changeant des habitudes alimentaires par exemple qu'on résout le problème, mais en changeant intérieurement.

Les humains vont en souffrir des diverses pollutions chimiques et nucléaires, c'est sûr, mais pas autant qu'on pourrait le croire. Nous sommes plus résistants qu'il n'y parait : ce qui nous tue le plus aujourd'hui c'est le stress quotidien, car notre corps est bien plus sensible aux problèmes émotifs que chimiques. La plupart des maladies sont facilitées par notre dépression immunitaire généralisée. Donc, si le système tombe, ceux qui y étaient mal à l'aise, en recouvrant leur liberté même dans un quotidien difficile, auront une bien meilleure santé. Le psychique fait 90% de la santé, loin devant l'alimentation et la pollution. L'enjeu est donc bien plus spirituel que matériel.

Nous ne sommes pas tous à égalité face à ce danger là. Les nettoyeurs de Tchernobyl ont prouvé cette particularité : alors que certains mourraient après une minute d'exposition aux radiations intenses, d'autres sont restés à la même dose plus de 15 minutes et plusieurs fois, et nombreux chez ceux-ci ont même survécu sans séquelles ensuite. D'autres encore, qui n'étaient pas directement exposés aux radiations, dans les alentours de la centrale pour la logistique, sont morts dans l'année de cancers et d'irradiations. D'après les ET, notre esprit a un énorme pouvoir de régénération et, à l'inverse d'autodestruction, que nous venons à peine d'entrevoir avec la médecine moderne. C'est pour cela qu'ils disent que la spiritualité fait 90% de la santé et les empoisonnements ou la nourriture ne jouent que sur 10%. Ainsi une personne profondément déprimée peut tomber malade même en faisant tout pour avoir une vie saine et une autre, irradiée, mal nourrie, peut survivre même à des doses de radiations qui terrassent ses collègues en 1 minute. Ca n'empêche pas que le corps a ses limites, mais il y a des processus liés à l'âme qui peuvent booster le physique de façon spectaculaire.

Pour évacuer régulièrement la radioactivité qui s'accumule dans le corps, il faudrait faire chaque année, surtout pour les enfants, des cures de pectine. La pectine est présente en grande quantité dans les groseilles, la pomme, le coing, les pépins et les zestes. La pectine piège les métaux lourds accumulés et les éliminent par voie naturelle.

Pollutions chimiques industrielles

Pour ce qui est des produits chimiques, la pollution sera diluée dans l'atmosphère qui sera très remuée par des vents violents et ils ne seront dangereux qu'autour des sites (notamment ceux classés à risques). De manière générale, il ne faudra pas se trouver proche des grandes villes.

Reserves/Stocks

Réserves de nourriture pour plusieurs mois, car la nourriture même cultivée dans son jardin sera extrêmement polluée.

Construction d'un abri (voir plus loin sur les lieux à choisir)

Pour les séisme, si un champ est un lieu relativement sûr, il faudra y creuser un abri afin de s'y mettre à couvert des vents. Une petite fosse d'un mètre de fond suffit. Le mieux est de couvrir tout cela avec une plaque (n'importe quoi fera l'affaire, mais métallique de préférence comme un capot automobile, pour freiner les graviers brûlants ossus de l'éclatement des météorites et dont la vitesse est faible à cause de la résistance de l'air par rapport à leur masse), et pour éviter d'être inondé et que la plaque s'envole et de se faire fouetter par la grêle au cas où (mais un protection individuelle peut aussi faire l'affaire, système D à fond ici). Faire une petite butte avec la terre retirée tout autour de votre abri semi-enterré sera un bon point. De même, le réaliser un peu en entonnoir pour éviter que les parois ne s'effondre (une légère pente sur les bords suffit, juste éviter de faire un trou en U mais plutôt en V. Pour les moins délicats, même un trou rempli d'eau ne vous noiera pas, vous risquez juste d'avoir les fesses dans l'eau et les vêtements trempés. Par contre la petite butte de protection tout autour est relativement obligatoire, elle détournera l'eau de ruissellement pour éviter qu'elle viennent remplir votre trou, mais également les débris qui voleront à cause des vents forts. Il faut rester le plus simple possible et utiliser ce qui est sur place (quelques pierres pour renforcer la petite butte de protection en anneau autour par exemple).

A plusieurs avec un peu de jugeote et un minimum d'organisation, ce genre de chose peut se faire en 1/2 journée à peine et sera le meilleur abri envisageable dans les conditions que nous avons décrites. Caves et vitres sont à proscrire (effondrement des unes, éclatement des autres).

L'idée de cet abri est qu'il soit léger et flexible pour éviter un effondrement meurtrier lors des tremblements de terre, suffisamment loin des eaux (lacs, rivières) pour éviter les grands déplacements, assez haut pour éviter les tsunamis de 150 m de haut à l'intérieur des terres, semi enterré pour échapper aux vents violents et aux objets qui volent, métallique de préférence pour échapper aux rayons solaires lors de l'arrêt du champ magnétique de quelques jours et aux éruptions solaires géantes, et si possible un peu enterré pour résister à l'impact d'une petite météorite, mais ça c'est pas gagné...

Ne pas sortir trop tôt de l'abri

La plupart des gens vont croire que tout est fini quand la terre se remettra à tourner et vont sortir de leur abri. Alors que les pires catastrophes sont encore à venir. Ils vont rentrer chez eux, et quand le séisme mondial (composé de centaines de séismes locaux) arrivera, il prendra finalement la plupart des gens par surprise.

Evacuer le refuge rapidement si besoin

Il peut se produire des phénomènes imprévus qui rendent la RAS inhabitable, il faut alors reprendre son BOB après avoir pris le max de nourriture sèche des stocks et évacuer fissa.

Utilisation

Dans les premiers temps, il faudra se cacher dans cette zone, avec un groupe de survie, d'où l'utilité de reconnaitre auparavant les lieux, et d'y enterrer peut-être des provisions.

On laissera dans ce refuge le matériel un peu plus lourd que le simple sac de bushcraft, à laisser dans une cache pour ne pas se les trimballer en permanence.

La zone refuge RAS n'est que temporaire. Elle sert à se cacher dans un trou quelques mois histoire de laisser les choses se décanter dehors, ou lors d'une attaque de sa BAD.

Divers conseils sur l'évacuation

A trier de Harmonyum.

Je vais essayer de vous donner quelques conseils notamment vis à vis des mesures de déplacement que vous devrez prendre à l’approche de Nibiru, puis, dans un second temps, essayer de déterminer avec vous selon les conditions et l’évolution de la situation à quel moment il sera plus opportun de partir.

Quelques règles de base :

Ces conseils sont d’autant plus importants que vous habitez dans une zone urbaine ou non.

1 - Plus vous êtes isolés, plus les contraintes tombent.

Cette première règle signifie que plus la densité de population est forte, plus vous aurez de problèmes. A l’inverse, plus vous êtes dans une région désertique, plus c’est l’inverse.

a - L’Etat concentrera son contrôle là où les populations seront les plus importantes, parce que ses moyens sont limités. De même, l’accumulation de magasins attirera davantage les pilleurs et du même coup la protection contre les pillages. Plus vous vous éloignez de ces centres, plus l’Etat sera absent. La campagne sera une zone de relatif “non-droit”.

b - Plus vous êtes isolés, plus vous êtes à l’abri des effets de masse et de concentration. Il est bien plus facile d’organiser l’évacuation de 10 personnes que de 10.000, parce qu’on dépasse vite l’échelle de l’individu pour passer à des phénomènes de groupe, ces fameux phénomènes qui entrainent les bousculades. Les gens ne se comportent plus comme des êtres humains, mais comme du “bétail”: plus la foule est importante moins il y a de discipline.

2 - Plus vous êtes dans une ville “importante”, plus les blocages seront importants

Dans le même esprit, jugez vos difficultés en fonction de la taille et du statut de la ville dans laquelle vous habitez.

a - Paris sera forcément l’endroit le plus dangereux, non seulement parce que c’est la zone la plus peuplée, mais en plus parce qu’elle va focaliser les efforts de contrôle de l’Etat sachant que c’est la capitale. De même, toutes les zones urbaines “importantes” pour les Elites auront un traitement “privilégié”. Nice et Cannes ne sont pas les villes les plus peuplées, mais elles attirent une population au niveau de vie très élevé. Idem pour les grandes agglomérations en ce qui concerne les quartiers / arrondissements. “Important” n’est pas ici à comprendre quantitativement, mais qualitativement, c’est à dire qu’il faut juger la valeur de sa ville de façon stratégique.

b - Le facteur quantitatif compte évidement, plus il y a de monde au même endroit et plus l’attention de l’état, mais aussi les problèmes de déplacement grimpent en flèche. Des villes comme Grenoble sont particulièrement sensibles, parce qu’elle consiste en une population très dense au km², avec peu de voies de sortie. C’est donc un véritable “piège à rat” en puissance.

2 bis - Plus vous êtes en centre-ville, plus le risque de rester coincé sera fort

a - Même idée et même conclusion que pour le point 2. Si vous êtes à l’extrême périphérie d’une ville, votre sortie sera d’autant plus facile à condition de ne pas trainer, sinon vous serez rattrapés par la cohue.

b - le seul gros inconvénient d’être vers la “sortie”, c’est que les barrages éventuels des forces de l’ordre seront sous votre nez ou presque. Avec de la chance, vous serez en dehors du périmètre “protégé”.

3 - Ne comptez pas sur vos moyens de transport habituels

a - Tout d’abord rien ne nous dit qu’au moment de partir vous pourrez vous servir de votre voiture, que les transports en commun seront fonctionnels ou que les routes ne seront pas barrées (artificiellement par la police ou par des catastrophes naturelles). Cherchez autant de moyens alternatifs comme les deux roues, beaucoup plus agiles et flexibles.

b - Faites attention que des pénuries d’essence ou d’électricité ne vous immobilisent pas. Rien ne nous dit qu’avant votre départ, les livraisons de carburant ne soient perturbées ou que l’électricité soit coupée. De même vous serez peut être contraints de partir de nuit, prévoyez un éclairage suffisant (pour vous ou sur votre vélo par exemple), l’éclairage public pourrait être inexistant.

c - Les routes les plus rapides et les sorties de ville les plus usitées seront celles qui seront soit bloquées en premier par les barrages, soit celles qui seront les plus embouteillées. Pour sortir plus vite, le réflexe sera de prendre le chemin le plus rapide. Ce serait une erreur. Privilégiez toujours le chemin le moins connu, parce que c’est là qu’il y aura le moins de foule et où le circulation se fera le mieux, même si c’est plus long en théorie.

d - Toutes les autoroutes seront bloquées parce qu’à la première panne ou au premier accrochage, les bouchons seront impossibles à résorber, et on ne parle même pas des autoroutes/rocades et autres périphériques qui sont déjà bloqués en heure de pointe en temps normal. La voiture sera le moyen à la fois le plus populaire mais aussi le moins pratique, parce qu’une voiture peut facilement rester bloquée.

4 - La voiture ne sera pas une solution pour tous, surtout pour les urbains

a - Si vous n’avez pas le choix, prévoyez de toute manière que vous quitterez nécessairement et rapidement votre véhicule.

b - Ne vous focalisez pas sur ce que vous ne pourrez pas transporter sur votre dos. Prévoyez en priorité des sacs à dos avec les ressources de base (eau, casse croute, trousse de secours), des vêtements chauds (même s’il fait beau faudra passer la nuit dehors, voir marcher), de bonnes chaussures. Rien ne sert de remplir en priorité son véhicule de choses non transportables à pieds vu qu’il est quasi certain que vous serez contraints de tout abandonner. Ce conseil est bien entendu moins vrai si on est isolé et qu’on a moins de risques de rester bloqués. Rien ne vous empêche de le faire néanmoins, sauf si cela vous fait perdre du temps. Mieux vaut assurer sa fuite et aller à l’essentiel.

c - N’hésitez pas à utiliser des poussettes même pour les enfants qui ne sont plus en age d’y aller. Cela pourra soulager les plus petits qui ne pourront pas tenir le rythme de marche. Tout autre idée pour soutenir vois enfants dans cet effort sera le bienvenu (sauf les amphétamines ! :))

c-bis - Prévoyez d’aller chercher les plus faibles et les moyens de les transporter. Une personne âgée même valide ne pourra tenir le rythme. Par contre, si vous avez un fauteuil roulant à disposition, vous pourrez vous déplacer à pieds sur les voies un minimum carrossables, même sur de petits chemins. Si certains de vos proches sont trop faibles (hospitalisation indispensable par exemple) pour partir tout court, prévoyez de leur expliquer quelques jours à l’avance, par un coup de fil si cela fonctionne encore, les raisons de votre départ. Faites la paix avec vos proches et rassurez les en leur disant que vous ne les oubliez pas (même si vous êtes contraints de les abandonner pour sauver le reste de votre famille).

d - Prévoyez une laisse pour vos animaux de compagnie (ou une cage provisoire de transport si votre chat par exemple n’a pas été habitué au harnais) et de quoi les nourrir (avec des friandises énergétiques moins volumineuses par exemple).

5 - Prenez vos précautions chez vous autant que possible

a - Si vous avez à partir, ne laissez pas des choses dangereuses derrière vous. Pensez à vos voisins qui n’auront pas eu votre chance. Coupez le gaz, l’eau et l’électricité par exemple. Ne laissez pas de bougie allumée si vous partez alors qu’il y a une panne de courant, etc...

b - Si vous avez des animaux non transportables, du type poissons, oiseaux, reptiles (sauf si vous avez un animal dangereux du genre Boa ou Python, prendre ses responsabilités très tôt), ils ne survivront pas sans vous. Si vous savez que vous allez partir dans l’heure voir dans les jours qui viennent, vous pouvez leur donner une chance en les relâchant dans la nature/dans un lieu sécurisé où ils pourront éventuellement survivre. Sinon, renseignez vous sur un moyen humain et simple de les euthanasier.

c - Conservez des documents de base non virtuels, comme des cartes papier, car vous n’aurez pas forcément votre GPS fonctionnel. Je rappelle que Nibiru doit dégommer les satellites à terme et que les système GPS ne peuvent pas fonctionner sans. Idem avec Internet et les infos sur les plantes comestibles, prévoyez des bouquins de poche (qui pourront vous aider le long de votre voyage).

d - Internet ne sera pas forcément disponible pour suivre l’actualité, pensez qu’il existe d’autres moyens d’information comme la radio (facilement transportable). Les réseaux téléphoniques seront peut être saturés en cas de gros pépins.

e - Si vous voulez savoir où sont les barrages, vous pouvez aussi vous faire un réseau de connaissances qui pourra éventuellement vous indiquer les routes sûres, à condition bien entendu que les communications soient fonctionnelles. Evitez les radars fixes qui font partie du système de surveillance des plaques d’immatriculation en continu, même sans flash. N’emportez pas de téléphone portable même éteint si vous ne voulez pas révéler votre position (il y a une puce RFID dans tous les processeurs, qui renvoit sa position à un drône émettant des IEM même batterie débranchée).

f - Faites le deuil de vos possessions et de vos souvenirs dès aujourd’hui. Relativisez. Ce sera moins difficile de tout quitter si vous vous êtes déjà fait à cette idée. Ce n’est pas un conseil accessoire, mais bien un conseil principal. Savoir laisser derrière soi est toujours une difficulté en cas de fuite précipitée. Le danger s’est de s’encombrer et de gaspiller un temps précieux.

Quand partir ?

Dans cette section, toutes les personnes ne sont pas concernées de la même manière. Ces conseils et ces analyses sont surtout faites pour les gens qui habitent des zones à risque majeur (villes et côtes), puisque, comme nous l’avons vu, les personnes les plus isolées (petit villages, campagne) n’auront pas les mêmes contraintes / auront plus de marge de manœuvre.

Par contre, les personnes les plus exposées aux risques de blocage devront réagir vite et assez tôt, bien plus que les autres. L’idée serait de partir dès maintenant, mais il faut être réaliste. Le travail, la famille, le manque d’argent etc... tout cela forme d’énormes freins, et pour contourner ces contraintes il faudra partir au dernier moment. L’idée c’est qu’à un moment, peu importe votre travail si dans 2 jours Nibiru ravagera la planète. Avec l’urgence, les contraintes tombent, mais il ne faut pas non plus que cela arrive trop tard et que vous ne puissiez pas réagir.

Les personnes avec une certaine aisance financière pourront devancer les événements, parce que cette trésorerie leur permettra de quitter leur travail de façon précoce, de trouver un logement à l’écart etc... Bien entendu que nous ne sommes pas tous dans les mêmes conditions d’urgence et que nous devrons nous adapter à nos propres limites personnelles.

Pour trouver le moment “le plus tôt possible” mais pas “trop tôt quand même”, il va vous falloir une bonne analyse de la situation, situation qui pourra évoluer très vite. Il vous faudra donc être très attentifs aux actualités, puis réactifs si vous voyez que les conditions de votre départ sont réunies.

Comme nous l’avons vu depuis le 13 novembre, le besoin de contrôle et les mesures de restriction des libertés peuvent varier très vite en fonction des événements, mais les catastrophes naturelles peuvent aussi devenir des barrages importants même sans l’Etat et son besoin de contrôle. Voici quelques éléments qui peuvent être des déclencheurs d’une montée des restrictions et des contraintes.

1 - Un acte terroriste : c’est le déclencheur numéro un et le plus difficile à prévoir d’un durcissement sécuritaire, parce que ce sont des actes soudains et violents qui appellent immédiatement une forme de réaction sévère de la part de l’Etat. En ce moment nous sommes à un niveau très élevé en ce domaine (Etat d’urgence), ce qui veut dire que tout événement supplémentaire déclenchera forcément la réponse maximale, celle qui vous empêchera de bouger de chez vous. Cette phase maximum ne vous laissera qu’une toute petite fenêtre d’action, quelques heures à 24 heures tout au plus après l’attentat. Au delà vous serez coincés, et il sera délicat de contourner les mesures de sécurité.

2 - Une catastrophe (naturelle ou industrielle) soudaine : l’impact d’un météore sur une ville par exemple, une EMP importante, un tsunami ou un séisme, mais aussi une explosion chimique ou un accident nucléaire majeur peuvent également faire grimper la réaction de l’Etat, surtout dans le contexte tendu dans lequel nous nous trouvons. Là encore, il faudra être très réactif, mais en plus il faudra surveiller si les infrastructures nécessaires à votre fuite ne sont pas touchées. Des ponts écroulés, des glissements de terrain etc... peuvent accentuer encore les difficultés de déplacement en plus du contrôle étatique. ne partez pas sans un minimum de renseignements sur la situation sur le terrain.

3 - Une catastrophe annoncée : surtout les phénomènes climatiques qui peuvent être perçus à priori et qui peuvent être sujets à des alertes météos. En cas d’arrivée d’un ouragan dans les jours à venir, vous aurez un peu plus de marge mais à peine, car l’Etat prendra des mesures préventives. Idem en cas d’alerte d’impact de météore. Ne laissez pas trainer votre départ sous prétexte que l’événement doit arriver dans deux jours. L’Etat réagira avant.

4 - L’annonce officielle de Nibiru : C’est un gros sujet et il reste beaucoup d’incertitude sur la réaction éventuelle des gouvernements à ce sujet. Les ET ont prévenu que la France était très opposée à ce concept car c’est un des pays qui a le plus de craintes à son sujet. Il faut donc prévoir une réaction assez radicale dès l’annonce, mais pas forcément des restrictions de déplacement immédiates. Là encore, plus vous partirez tôt mieux ce sera, mais ce sera très difficile de juger si c’est opportun ou non. Comptez surtout sur un gel économique, une impossibilité de retrait d’argent liquide surtout. L’économie sera figée tôt ou tard pour éviter un effondrement. Normalement, les moyens de paiement virtuels devraient être conservés, à condition bien entendu qu’il n’y ait pas de pannes imprévues.

5 - On sait aussi que les Elites françaises ont prévu de s’expatrier en Afrique centrale via la Libye, et qu’ils voudront le champ libre. Le déclenchement de leur exode est toujours en questionnement, mais même si ce plan est réfléchi, c’est surtout la panique qui mettra leur protocole en route. Or pour être tranquille, l’État doit restreindre les populations et libérer le passage. Leur grande peur c’est que la “populace” apprenne la fuite et y fasse obstacle en s’interposant. Cette décision des Elites de quitter la métropole peut précipiter le mouvement de durcissement de l’Etat et donc les restrictions de mouvements sur certains grands axes, le blocage d’autoroutes, la fermeture des aéroports et des frontières etc...

6 - Un événement non prévu : il faut toujours prévoir ce que l’on a pas prévu. Nibiru est un phénomène assez mystérieux qui peut avoir des conséquences tout à fait inattendues. La versatilité de ceux qui nous gouverne est aussi à prendre en considération. Votre attention et votre esprit doivent toujours être tournés vers l’actualité, mais vous devez aussi savoir vous mettre à la place de l’Etat. Si une chose est ressentie comme une source de chaos ou de menace, il y aura forcément une réaction symétrique de l’Etat vers plus de contrôle.

7- Faites très attention à la version “officielle” véhiculée par les médias, et les incitations à rester chez soi / calmes, qu’il n’y a rien à craindre. Tchernobyl nous a prouvé que la raison d’Etat peut être supérieure à la vie / santé des gens. En plus, l’état d’urgence dans lequel nous sommes entrés pour 3 mois permet au gouvernement un contrôle total de l’information /des médias. Ce conseil est dors et déjà à prendre en considération.

Notes importantes

Attention, il ne s’agit pas ici de pousser à la désobéissance civile dans un état de droit, mais de prévoir des cas de débordements de l’autorité nationale, de mauvaises gestions des risques, d’une mise en danger des institutions des populations civiles par négligence, méconnaissance des dangers réels ou par intérêts élitistes/restreints.

Tant que l’Etat fonctionne et ne dépasse/ ne faillit pas à son rôle, vous devez vous conformer aux règles et aux lois.

C’est le même problème auquel s’est confrontée la population française sous le gouvernement de Vichy. Doit on continuer à obéir ou alors entrer en résistance et faire ce qui doit être fait ? Vous êtes seuls maîtres de juger quand un gouvernement, un Etat, outrepasse son rôle ou n’est plus légitime. Vous êtes seuls responsables des désobéissances que vous ferez à l’ordre public si vous jugez que tel est votre devoir de citoyen. L’Etat n’est pas un ennemi, tant qu’il reste dans certaines limites au delà desquelles on ne peut plus être éthiquement et moralement solidaire de ses agissements, sachant qu’il faudra toujours chercher une solution légale et pacifique à vos problèmes avant de tomber dans des actions alternatives.

Les puces des portables peuvent émettre votre position même sans fonction GPS. Ce sont des traceurs. La seule solution a priori est d'enlever la batterie et encore, ce n'est pas certain qu'avec le matériel adéquat, vous puissiez quand même être pistés. Un téléphone est un émetteur récepteur autonome. Même sans réseau, sans antenne et sans satellites, avoir un portable dans sa poche c'est comme être pucé avec une RFID.

faudra savoir passer outre vos émotions quand les choses demanderont du sang froid. je ne dis pas qu'il faudra perdre toute éthique, au contraire : il faudra faire des choix lourds conditionnés par votre morale, votre compassion. En revanche, on ne pourra pas faire du sentimentalisme, il faudra être efficaces avant tout, il n'y a pas que votre vie qui en dépend. En ce sens, il ne faut pas confondre sentiments et sentimentalisme. Le sentimentalisme, c'est mettre des émotions là où il n'en faut pas, comme par exemple donner un intérêt émotionnel aux objets.

Il n'est pas dit qu'en métropole, après la fuite des Elites, nous ne voyons pas une sorte de gouvernement bis chargé de tenir les gens à carreau. On ne peut rien prévoir pour le moment, parce que ce ne sont que des projets. Qui nous dit que les Elites et le gouvernement pourront mettre leur plan d'exode à exécution ? Pourra-t-il y avoir un événement inattendu qui change la donne ? C'est ce que semble affirmer certaines prophéties, par exemple que Paris sera détruite et qu'un gouvernement provisoire se reformera dans une autre ville (Lyon selon certains). Ce que je donne, ce sont les renseignements que les Et glanent à droite et à gauche en fouillant dans la tête des gens. Souvent, il y a plusieurs projets en cours, certains sont abandonnés puis remis au gout du jour, parfois de nouveaux apparaissent. Ces infos ne tiennent pas du tout compte des événements aléatoires qui peuvent tout bouleverser. Les Et sont comme la NSA, ils espionnent, ils ne voient pas l'avenir. Si le "Grand Planificateur" ou peu importe comment on appelle cette force, a décidé que les Elites ne doivent pas atteindre l'Afrique ou que notre capitale soit détruite, tu sais très bien que tout sera fait pour que cela se produise et même les ET ne pourront rien y changer. ISIS sera peut être un instrument de destruction, ou un astéroïde voire une nappe de gaz fossile prête à exploser sous la ville, tout est possible. La palette des "outils" est grande. On ne peut faire nos plans de préparation qu'en fonction que ce que nous connaissons pour l'instant, mais nous ne sommes pas à l'abri de surprises et de changements de caps. Donc pour l'instant c'est comme cela, mais tout peut complètement changer du jour au lendemain. En attendant d'y voir plus clair, inutile de se torturer l'esprit sur des hypothèses et faisons confiance à qui tu sais !

Il ne faut pas voir les malheurs du moment comme des choses seulement négatives. Comme ton expérience le prouve, ce sont ces moments qui font avancer. Ils n'arrivent jamais par hasard, ils ont un sens. Les catastrophes, individuelles ou collectives, ont toujours un sens. Si paris doit être détruite, c'est qu'il y a une raison profonde. Tu touches donc là Jacqueline Boivin à ce que j'essaie d'exprimer depuis longtemps. Il ne faut pas se concentrer sur les défis du moment mais sur quoi ils vont nous amener. Nibiru, c'est un catalyseur. C'est une catastrophe qui amènera à renouveler notre civilisation, qui sans cela se serait de toute manière cassée lourdement la figure. C'est le même schéma dans nos propres vies. Tous les malheurs, parfois très graves, ne sont pas des obstacles. Ils ont une raison de se produire. Tout a un objectif, mais notre vue ne peut pas apprécier correctement les liens de cause à effet qui suivront. La destruction est un outil parfois nécessaire mais pas automatique. Si elle survient, comme la maladie, c'est pour nous emmener quelque part.

Les freins au déplacement

L’exercice militaire dans le Morbihan doit vous mettre la puce à l'oreille, ce n'est pas le premier cas du genre : des exercices évacuation de maires ont déjà été réalisés par hélico il y a un certain temps. ces exercices n'ont absolument rien de "militaire" ce sont des préparations à Nibiru. Les soldats vont servir d'outil pour les Elites, et celles qui se retrouveront bloquées seront alors évacuées. C'est du "sauve VIP". Quel rapport maintenant avec les grèves et la pénurie de carburant ?

Les ET nous ont prévenu que les politiques, de gauche comme de droite ont établi un plan avec les Elites pro-gouvernementale, afin de se faire évacuer via la Libye vers une zone "verte" en Afrique centrale. Pour cela, elles ont prévu de nombreuses choses, comme des aéroports, parce qu'il est bien plus facile d'éviter les obstacles par avion que par la route. Une fois les VIP évacués localement par les militaires là où ça coince, ces Elites doivent aller tout droit vers leurs zones de transit. Le problème, c'est rejoindre les aéroports, parce que cela demande un minimum de route à faire. Or une population sur les routes, c'est pas bon pour les limousines. Un des moyens envisagé est donc de contraindre les populations à rester chez elles, ce que l'état d'urgence peut tout à fait permettre dors et déjà. Mais entre la loi et la réalité, on sait très bien que beaucoup de personnes prendront leur voiture si la panique s'installe, ce qui bloquera le chemin de nos Elites pressées de fuir. Une solution serait alors de bloquer ces transports, et une pénurie de carburant serait alors un moyen infaillible de garder tout le bon peuple au chaud chez lui. C'est une solution qui est aussi valable pour les tsunamis et les autres catastrophes, des gens bien au chaud chez eux, ce sont des morts assurés par noyade ou par écroulement de leur maison (et autant de survivants de moins à nourrir).

Maintenant quand on regarde ce qui se passe autour de la loi El Khomri, il était évident que vu l'impopularité du gouvernement, de telles mesures ne pouvaient pas passer, et c'est même tellement gros que s'en est vraiment louche. Tout comme Sarkosy s'est auto torpillé dans les deux dernières années de son mandat pour laisser la place à Hollande, tout ceci n'est qu'une vaste manipulation dans laquelle tout le monde va encore une fois tomber. La contestation est menée par la gauche radicale, elle même aux ordres des socialistes, Mélenchon est un vendu dont les affinités sont connues (et notamment ses liens avec les francs-maçons socialistes). Comment mieux contrôler la gauche radicale que de mettre son agent à sa tête, ce qui est aussi le cas dans les syndicats. Donc ce sont les mêmes qui votent la loi et qui mènent la contestation, ça fait mal. L'idée est de faire une provocation évidente qui ne pourra pas être ignorée (Loi El Khomri), puis ensuite d’utiliser la contestation pour pousser les gens à bout, car ce ne sont pas les politiques ou les Elites qui sont impactés, ce sont les braves travailleurs qui n'ont plus les moyens de faire le plein. Le ras le bol va s'installer, et au lieu de dénoncer la loi sur le travail, les gens vont réclamer au gouvernement plus d'action et plus d'ordre. C'est une technique connue de manipulation, on attend que sa victime soit elle même demandeuse de la fin de ses libertés. Nous sommes en état d'urgence, je rappelle pour ceux qui ont oublié la gravité de cette situation, et les blocages/grèves etc... ne vont donner que de l'eau au moulin afin que d'autres dispositions durcissent les moyens des forces de l'ordre et de l'Etat sur le terrain. la loi El Khomri sautera ou sautera pas, de toute façon on a l'habitude que les lois sautent mais reviennent sous une autre forme incognito, regardez le traité de Masstricht…

La situation est donc très grave, puisque la majorité est encore manipulée contre elle même. Si on rajoute à cela le terrorisme réel et/ou arrangé et des Elites qui pressent pour que leur situation soit sécurisée au plus vite, nous avons là un mélange extrêmement nauséabond. Prévoyez donc de vous déplacer autrement qu'en voiture, car il y a de grandes chance que cette situation se répète sous une forme ou une autre à l'approche finale de Nibiru. Les gens ne pourront pas utiliser leur voiture, ce qui sera une aubaine immense pour contrôler les déplacements et faciliter ceux des Elites et des forces de sécurité. Va falloir vous acheter de bonnes chaussures les amis.

En note, j'aimerai aussi rappeler les menaces d'attentat nucléaire sur Paris ou celle d'un accident sur une centrale ,parce qu'il ne faut pas oublier les visions qui montraient des autoroutes bloquées avec des dizaines de voiture de gendarmerie et des files de personnes à pieds qui ne cessaient de regarder quelque chose dans leur dos tout en marchant. Cela ressemble à une évacuation forcée. Si les gens sont à pieds, c'est qu'ils n'ont pas pu utiliser leur voiture, alors que les gendarmes ont l'ont fait. Etrange coïncidence.

Une grève peut être aussi un bon moyen de fermer une centrale, mais aussi de créer des pénuries de courant, qui seront alors réglées par la force. Même problème qu'avec l'essence, les gens demanderont le rétablissement des choses et donneront eux même la permission au gouvernement de se radicaliser. C'est pas gagné, et on voit très bien que les syndicats poussent très fort, mais pas pour nous défendre. Ils obéissent aux ordres de ceux qu'ils prétendent combattre.

Tout dépend de quand tu pars. Si la situation est déjà chaotique, ce sera de toute manière tentes pour tout le monde. Par contre, plus tu décolleras tôt, et plus tu seras confronté à des problèmes d'hébergement en effet. La période transitoire est la plus délicate, car on est coincé entre deux chaises. Par exemple, je vous ai dit de ne pas faire de réserves pour survivre après Nibiru, ça ne servira à rien car vous serez obligés de les laisser derrière vous. En faire, c'est aussi prendre le risque que vous n'osiez pas quitter votre bouffe, alors que c'est pourtant la meilleure solution. Ne pas faire de réserves c'est donc s'éviter cette tentation qui vous mènera à une impasse. Par contre je vous ai bien dit de prévoir les mois avant le basculement, parce qu'il y aura un gel économique global et justement, tout va tourner de façon bizarre. Vu que les prix seront fixes, les retraits interdits ou grandement limités (voir l'essai qu'il y a eu en Grèce en prévision de ce moment), que les échanges internationaux seront fortement diminués parce que les transferts de fond entre pays seront gelés, etc... il y aura forcément une situation confuse où il sera difficile de s'approvisionner en tout. En plus, si le gouvernement installe une situation de blocage sur l'essence par exemple, difficile de se déplacer etc... Rien ne vous interdit de faire un petit stock pour les mois précédents le basculement, au contraire, mais pas au delà. De toute façon, si vous en faites pour l'après, le risque c'est que vous ne puissiez pas les déplacer à cause du blocage des voitures, ce qui accentuera votre mauvais réflexe de rester sur place. Pensez à tout cela, surtout si vous avez des enfants, mais la meilleure solution reste d'être le plus en autarcie - auto-producteur possible: servez vous de ce que la nature offre, mais aussi de ce que vous pouvez facilement cultiver. Entrainez votre corps à jeûner (voir les techniques de fasting) ce qui non seulement vous permettra de mieux résister au manque mais en plus vous débarrassera des mauvaises graisses/hormones qui vous nuiront dans l'après Nibiru (notamment la dépendance aux sucres). La préparation c'est aussi bien pour l'avant que pour l'après, et pas seulement dans le sac à dos ou dans la carte des itinéraires !! C'est tout ce que je peux vous dire, puisque que je n'ai pas le droit de vous aider davantage dans votre préparation qui est de votre responsabilité (une leçon spirituelle en soi).

Page suivante

Voir la préparation de la RAS.

à suivre...


Retours aux menus supérieurs