Jésus

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Préambule

Rappel des avertissements préalables sur les sources des infos de cette partie.

C'est la troisième intrevention majeure (au Moyen-orient) des ET altruistes pour contrecarrer la toute puissance des religions Annunakis.

Il restera à récupérer la vie de Jésus dans la page sur la religion catholique, et a envoyer dans la page religion les notions qui n'ont rien à voir avec l'histoire (comme le but de Jésus de démolir le temple, les perversions du Judaïsme après Moïse, etc.

Jésus et le temple de Jérusalem

Démolir le temple

La troisième reforme arrive avec Jésus, un juif de lignée davidique qui tout justement était là pour revoir ce qui avait dérapé depuis Moïse : la construction d’une maison pour dieu, le Temple, qui est typique de l’héritage annunaki (les ziggourats qui servaient de maison luxueuses pour les annunakis, avec leur armée de prêtres / femmes de ménage pour les servir, le saint des saint étant les appartements privés du dieu annunaki). De même, Yahwé n’est pas le Dieu d’Abraham et Melchizedech, mais un retour de l’ancienne divinité ougaritique.

Pour preuve, la parèdre de Yah(wé) est Ashera, la femme arbre à 7 branches, qui a été réintroduite dans la religion des hébreux sous la forme du candélabre. Yah était célébré par les hébreux anciens sous l’image d’un taureau ou un bélier (d’où le Shofar), Asherat sous les trait d’un palmier à 7 feuilles/branches.

Un des objets qu'on se cache bien de trop monter au public sur la période "polythéiste" des hébreux.

Les moutons sont de nouveau sacrifiés pour calmer la divinité, et remplacent désormais les enfants, preuve néanmoins que les interventions ET ont quand même fait avancer les choses sur l’essentiel. L’or est encore de retour dans la religion, et tout ce qui est divin est fabriqué en or, que ce soit le candélabre, la table des pains ou le plastron du grand Cohen Gadol. David marque donc le retour en force, la contre réforme, et Salomon la signe, notamment en utilisant un annunaki exilé comme architecte pour le premier temple, en l’occurrence Asmodéus. Les textes à son sujet son sans équivoque aucune, Asmodéus est le roi des géants qui vivent dans la région d’Edom.

Le principal message de Jésus est justement de réformer le judaïsme, mais ces réformes n’ont pas forcément été retenues comme primordiales dans son message. Par exemple, Jésus insiste beaucoup sur le fait que Dieu est plus proche de nous que nos pieds ou nos mains, et répète à longueur de temps que le corps est et doit être le Temple de Dieu, ce qui sous entend qu’un temple réel, en pierre, est quelque chose non seulement d’inutile, mais à la limite montre que la compréhension de Dieu n’est pas atteinte.

Ne pas reconstruire le temple

Reconstruire le Temple érigé par David est un non sens, puisqu’il servirait ni plus ni moins de demeure à un “Dieu” auquel on chanterait des cantiques, feraient des sacrifices et prépareraient des parfums. C’est revenir en soi à un culte annunaki de “service”. De même du coté arabe, Mahomet n’a jamais été ascensionné sur le mont du Rocher, il est mort et enterré à la Mecque. Le conflit autour du dôme du rocher est donc un non sens total, d’un côté comme de l’autre !

Enfin, Jésus n’a pas été sacrifié sur une croix, mais sur un poteau comme c’était l’usage. Son corps a été remplacé par un faux (un clone synthétique) et il n’a pas donc pas été ressuscité, mais a été récupéré par les ET (dont il était issu) jusqu’à ce qu’il meure de vieillesse. Il n’a jamais demandé à Pierre, qui n’est jamais allé à Rome, d’être la pierre sur laquelle il construirait son église (je vous rappelle le symbole de la pierre chez les mithriaques), ni même est-il né un 25 décembre dans une étable-grotte (c’est Mithra qui nait dans une grotte à partir d’une pierre, le 25 décembre jour du Sol Invictus des mithriaques !).

Tout comme les juifs ont toujours refusé de reconnaitre en Jésus le messie monté sur un âne annoncé auparavant par d’autres prophètes, les chrétiens ont refusé de reconnaitre en Mahomet le paraclet, et il est probable que les 3 continuent à refaire les mêmes erreurs lors de la Parousie ou l’arrivée du Machia’h [Note AM : la réincarnation de Jésus pour l’apocalypse, que j’appelle Jésus 2]. Chaque prophète annonce le suivant, mais les inerties, le dogmatisme et les tabous dus aux corruptions sont tels que les mêmes erreurs se reproduisent constamment. L’héritage annunaki est extrêmement coriace, et même avec plusieurs vagues de réformes successives ont retombe toujours sur les mêmes travers.

à suivre...