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Nature Humaine (amocalypse)
Santé ou Qi>Prânisme>Exemples

Première version: 2015-02-20
Dernière version: 2018-05-18

Les exemples de prâniques

Sommaire de la page


Préambule

Dans la page précédente, nous avons étudié les inédiens célèbres dont les capacités ont été authentifiées à leur époque.

Je retrace dans cette page les témoignages récents d'inédiques, dont je ne peux affirmer que tous sont vrais car il n'y a pas eu d'tudes ou d'attestation de médecins.

Il y a des études scientifiques montrant de manière formelle que certaines personnes peuvent vivre sans manger ni boire. Soit ces études n'ont pas été publiées comme la seconde étude sur Mickael Werner (la sciences est payée par des usines privées comme celles de l'alimentation industrielle et de la pharmacologie), soit elles n'ont pas été relayées dans les médias (comme celle sur l'indien de 70 ans), quand elles n'ont pas été déclarées nulles sous des prétextes aussi futiles que les scientifiques qui l'ont réalisés croyaient au prânisme (ils ne le croyaient pas avant, mais après leur étude oui, ce qui est normal...) comme la première étude sur Werner). Bref, tant que TF1 n'en parlera pas de manière officielle au journal de 20 h, les masses ne pourront y croire.

Il y a des milliers de prâniques de par le monde, regardons quelques témoignages avec des effets sortant de l'ordinaire.

Témoignages marquants

L'exemple de Victor Trouviano

Cet exemple est frappant dans le fait que ses dents ont repoussées, montrant les capacités semblant infinies de l'état prânique.

Il ne dort plus que 2 à 3h par jour, et peut aussi choisir de rester plusieurs jours sans dormir si nécessaire. Reprise du poids idéal, qui n'a plus jamais varié depuis. Il avait perdu ses dents, elles ont repoussé. Il commençait à devenir chauve, ses cheveux aussi ont repoussé. Il portait des lunettes, sa vue s'est améliorée, il n'en a plus besoin maintenant. Il n'a plus jamais été malade. Il est maintenant en bonne santé et heureux. Tous ses sens se sont renforcés dont certains en latence. La perception par exemple. Il peut maintenant ressentir en lui-même ce qui arrive à une autre personne.

Son état émotionnel s'est stabilisé. Qui dit heureux dit plus de maladie auto-destructrice type cancer.

Sa conscience a complètement changé, il dit s’immobiliser en conscience. Il vit des expériences transcendantales quotidiennes qui transcendent le temps et l’espace. Adhésion à l'état de divinité (Dieu, Univers, autres concepts…). Il reste maintenant non émotif face à ce qui l’affectait avant. Donc avec une objectivité différente. Quand il sort de cet état et qu'il revient à la conscience de son corps s’active alors la "régénération cellulaire". Et c’est ici que réellement il peut sentir le "non-temps" ou "hors-temps".

Victor témoigne que cet état pranique est très confortable. Il a maintenant plein de temps dans sa vie. Forcement. Dormir que 2 ou 3h par nuit te dégage énormément de temps pour faire autre chose. Il ressent dans cet état une autre liberté. Il peut rester assis des jours sans avoir besoin de rien. Il ne va plus aux chiottes.

Autres exemples

Genesis SunFire, rugbyman et sportif, trouve qu'il est 2 fois plus facile de se muscler en étant prânique.

Gabriel Lesquoy, progressivité du prânisme qui a découvert la médecine énergétique utilisant le Qi, et qui s'est dit pourquoi ne pas s'en nourrir si ça marche pour la guérison.

Phan Tấn Lộc, un vietnamien né en 1944 qui est devenu prânique sans avoir aucune idée que c'était possible. C'est une progressive incapacité à ingurgiter un aliment solide puis liquide qui l'a amené dans cet état-la.

Le prâna et l'unité d'Alyna Ruelle

2015

Mon premier contact avec la notion de prana se situe à la fin de mon adolescence, lorsque sur un site internet le titre d’un livre a attiré mon attention : Se nourrir de lumière; l’expérience d’un scientifique, de Michael Werner. Mon coeur est aussitôt emballé à cette idée et à ce moment là, je sais que je vais faire cette expérience et accéder à ce mode d’alimentation par la lumière. J’ai toujours eu le sentiment de vivre bien en dessous de mes possibilités réelles et cette découverte eût sur mon âme l’effet d’un baume. J’ai acheté l’ouvrage sans tarder et me suis livrée à des tas de recherches et lectures sur le sujet : celles-ci allaient de témoignages contemporains à des sources venant de l’Inde et des écrits sur les grands ascètes chrétiens qui étaient parvenus au niveau spirituel permettant ce mode d’alimentation. Mais au-delà de ma fascination pour ces derniers, j’étais captivée par le propos de ce témoignage moderne, à savoir que tout le monde peut arriver à se nourrir de lumière sans pour autant que cela nécessite des années, voire une vie entière d’austérité, d’isolement, d’ascèse extrême ou d’érémitisme. Au contraire, l’auteur fournissait un protocole très précis à la suite duquel on pouvait reprendre tout à fait normalement (exception faite bien sûr de l’alimentation), le cours de notre « vie normale ». J’ai ainsi appris que pour certaines personnes, parvenir au prana est une pure et simple transition de l’être vers un mode d’alimentation nouveau, alors que pour d’autres il s’agit d’une élévation spirituelle très intense.

Ce n’est que plusieurs années après cela que j’ai pris la décision de tenter moi même l’aventure. J’ai d’abord voulu suivre le protocole conseillé dans l’ouvrage ainsi que dans d’autres textes sur le sujet, mais en raison d’une préparation insuffisante je n’ai pas passé l’épreuve de la première semaine, où il faut respecter un jeûne strict de sept jours sans manger ni boire. Cependant, ce que j’avais vécu durant ces quelques jours avait été très précieux. Bien au delà des symptômes physiques qui s’étaient déclarés du fait du nettoyage que le corps effectuait, j’avais senti la lumière me nourrir. Je pouvais percevoir comme des gouttes de lumière liquide gorgées de vie qui me rafraîchissaient. Ce fut ma première approche de la nourriture immatérielle.

Suite à cette tentative interrompue, j’ai donc repris une alimentation végétarienne quotidienne en me disant que ce n’était peut-être tout simplement pas le moment pour moi de vivre ce genre de chose, ni le juste procédé à suivre : je n’avais de cesse de penser à une alternative plus souple, une manière douce pour parvenir au même résultat. J’espérais intimement pouvoir réussir en vivant les choses à mon rythme. J’ai déclaré une quantité d’allergies alimentaires incroyable à cette époque. La puissance des crises que je traversais alors était effrayante et nécessitait que je supprime de mon alimentation beaucoup de choses et de manière très rigoureuse. Plus j’abandonnais ces « aliments fautifs », plus les réactions de mon corps se manifestaient ailleurs, jusqu’à me pousser à ne plus pouvoir consommer que des fruits et légumes crus. Par-delà ces réactions physiques, ma soif d’épanouissement spirituel motivait aussi beaucoup ces décisions : je retournais droit vers mon projet de nourriture pranique. J’ai donc continué à réduire et à ne plus consommer que des jus de fruits ou légumes que je préparais moi même.

Au jour de la Pâques 2014, j’ai su que je ne puisais plus ma force de vie dans les aliments que je consommais, mais dans ces particules de lumière que je distinguais dans l’air partout autour de moi. Malgré cette certitude intérieure, je ne parvenais toujours pas à cesser toute prise d’aliments solides. J’éprouvais encore parfois une grande tristesse à la pensée d’abandonner derrière moi « toutes ces bonne choses », et l’idée « de ne plus jamais rien manger », au delà de m’être pénible, me préoccupait et continuait de m’inquiéter. Je ne réussissais pas à maitriser ces émotions, alors que mon corps lui, était déjà passé au niveau supérieur. Ce n’est qu’un an plus tard que je me suis détachée des liens avec la nourriture physique. Durant une année entière j’ai alterné jours de jeûne, partiel ou total (c’est à dire en buvant mais ne mangeant pas, ou au contraire en ne faisant ni l’un ni l’autre) et jours où je m’alimentais de manière classique. Je mangeais parfois tous les deux, trois ou quatre jours, parfois toutes les semaines, puis un jour sur deux, cela variait. Durant cette période, je me suis « autorisée » à manger parfois des aliments qu’auparavant j’avais éliminé, l’important étant, je l’avais compris, de me faire plaisir pour n’entretenir aucune frustration ou crispation. Pour se nourrir de lumière il faut s’abandonner à elle, et le contrôle est contraire à l’abandon. Il me fallait donc « lâcher prise », lâcher mes principes sur l’alimentation : le cru c’est mieux que le cuit, le bio c’est mieux que le non bio, etc. Bien entendu ce sont des choses auxquelles je crois profondément, mais dans la position que j’occupais alors, il s’agissait de sortir des sous-catégories et de n’en plus distinguer que deux : l’alimentation lumière et l’alimentation matière (composée de lumière). Car à un moment donné, que je mange un bol de crudités ou un morceau de pizza, mes « réactions » étaient quasi semblables : une incompréhension cellulaire globale et une pesanteur très désagréable.

A partir de cette période donc, je puis certifier qu’à chaque fois que j’ai mangé quelque chose, quoi que ce fut, je l’ai fait en ayant conscience que mon corps n’en avait pas le moindre besoin. Pour quelle raison l’ai-je fait tout de même? Voilà pourquoi : dans cette pratique très concrète d’habituation de l’être à un autre mode d’absorption d’énergie vitale à son bon fonctionnement, la foi et la confiance ont un rôle prédominant. Chaque jour nous renouvelons notre foi dans le fait que nous n’avons besoin de rien d’autre que de lumière non seulement pour survivre, mais pour être en parfaite santé ; chaque jour nous réitérons notre confiance dans le fait que nous nous suffisons à nous mêmes dans la mesure où nous sommes reliés à notre être divin et à la Source de Lumière.

Mais les problèmes ou obstacles que nous rencontrons au cours de cet exercice ne sont pas posés par notre corps mais par notre mental et nos émotions.

Pourquoi certaines personnes parviennent à jeûner sans encombre alors que d’autres ne parviennent pas à se passer de manger ne serait-ce que vingt-quatre heures ? Pourquoi ces mêmes personnes capables de jeûnes long et stricts refusent de concevoir la possibilité de se nourrir de lumière alors que d’autres qui n’ont jamais pratiquer d’ascèse de leur vie en embrassent aussitôt l’idée ? Autrement dit, l’accession à la nutrition par la lumière ne réside pas en l’aptitude d’un individu à maîtriser son corps ou au contraire à son incapacité à le faire, mais à sa disposition à changer son appréhension de l’existence. La question n’est pas de dominer son corps, mais son être dans sa globalité ainsi que tout ce qui entre et peut entrer en interaction avec lui. Le corps n’est pas le centre : il ne s’agit en aucun cas d’arrêter de manger, mais d’accéder à une nouvelle manière de s’alimenter.

Un corps privé de nourriture meurt. Mais un corps privé de nourriture physique n’a aucune raison de mourir si on met à sa disposition un aliment d’un autre type. Ce n’est plus alors qu’accoutumance et cela, le corps humain y est très habitué. Chaque jour aux quatre coins de la planète des gens commencent ou arrêtent de fumer, mangent de la viande pour la première fois ou au contraire cessent d’en consommer, se sèvrent de l’alcool ou de drogues diverses, réduisent ou mettent fin à leur utilisation de sucre ou de sel, se voient proscrire le lait, le gluten, se libèrent d’addictions diverses, etc. Ces personnes ne meurent pas pour autant ni ne deviennent chétifs ou maladifs alors que beaucoup considèrent dangereux voire impossible de mener une vie saine en ayant une alimentation exempte de certains de ces produits. Notre corps est très talentueux pour le changement.

Je me suis moi-même un peu inquiétée des carences lorsque je n’ai plus mangé que des fruits et légumes crus, mais force m’a été de constater que non seulement je n’en développais aucune, mais me voyais délivrée de celles que j’avais auparavant. J’ai pu observer jour après jour que mon corps ne demandait qu’à m’aider dans ma démarche, et il s’est instaurée une relation active entre nous : j’ai du apprendre à lui parler, à lui demander son autorisation parfois, à beaucoup lui demander pardon aussi, à le prévenir et à le remercier et surtout à l’écouter. Il m’est souvent arrivé de lui demander son aide, sa compréhension et sa coopération. Il n’y a pas eu une seule fois où, lors d’un échange avec lui, je n’ai senti un élan d’énergie incroyable, que ce fut l’énergie du pardon ou celle de la gratitude, ou simplement celle dont j’avais besoin pour continuer à avancer. Je savais qu’il était mon meilleur allié dans cette aventure et que je devais le respecter et le tenir dans la plus haute estime qui soit. Quand on parle d’alimentation on parle de ce qui nous maintient en vie, il est donc primordial, et pour jouer sur les mots, vital, d’avoir une relation d’amour avec celui qui nous permet de tenir debout. Ce corps, il s’agit de le transformer, de le transmuter, non pas par la force, mais par l’amour qu’on lui porte et par notre conscience de lui et de son importance. Il ne s’agit pas, dès lors qu’on veut se nourrir de lumière, de considérer que le corps n’est qu’une machine, un morceau de matière duquel il faut se détacher un maximum. Bien au contraire il faut s’ancrer davantage dans son corps pour faire l’expérience à travers lui de cette nouvelle nutrition. N’oublions pas que toute matière est lumière, donc le corps est à considérer comme un don tout aussi précieux que le prana vers lequel on tend. Durant un an donc, j’ai analysé tout ce qui contrariait mon passage à l’alimentation pranique totale.

Le premier des obstacles est bien évidemment la faim. Nous sommes accoutumés à vivre le ventre plein et avoir toujours quelque chose en cours de digestion nous confère un sentiment de sécurité. Il est saisissant de réaliser à quel point on est habitué à avoir sans cesse quelque chose dans la bouche. Il faut donc se faire aux sensations nouvelles d’estomac vide, de corps léger.

A la suite de quoi on aborde la peur de manquer. On ne peut vouloir parvenir à se nourrir de lumière sans se confronter à elle. Elle n’est pas des moindres si l’on considère l’extrême matérialisme de la société dans laquelle nous vivons qui nous invente chaque jour des besoins nouveaux. Des faims gigantesques et irrépressibles apparaissent, que même le fait de manger n’apaise pas, ou encore des envies d’aliments défendus (dans le cas par exemple de fortes allergies) ou que l’on n’aime pas, voire qu’on ne connaît pas ! J’ai eu des envies de mets dont je ne connaissais rien car je n’en avais jamais mangé, et cela durait plusieurs jours. L’une d’elle ma tourmentée plusieurs semaines. Ce sont bien sûr des désirs virtuels ; ils ne sont basés sur aucune réalité de besoin, mais le phénomène est néanmoins troublant d’intensité et de réalisme et il faut beaucoup de force et de « self-control » pour y résister. Il y a ensuite les émotions liées au manque : la colère, la peur panique, la tristesse, la mélancolie, l’ennui…etc. Le défi consiste à les laisser sortir de soi sans les retenir. Je ne parle pas de ne pas leur prêter attention car cela ne reviendrait évidemment qu’à les renforcer, mais de les reconnaître et les accepter pour ce qu’elles sont, sans plus, c’est à dire des émotions enfouies qu’il faut libérer pour accéder à un état d’être supérieur. Encore une fois il ne s’agit pas de mépriser ces émotions, mais d’acquérir sur elles une autorité totale. Et pour trouver cette autorité, il nous faut consentir à vivre ces états, à les embrasser pour les traverser. Non pas en s’enfermant dans une rectitude à toute épreuve car là encore on ne ferait que créer des ruptures en nous, mais en se reliant à notre Conscience. Il s’agit de trouver un juste équilibre entre souplesse et fermeté. Souplesse qui nous permet de ne pas entrer en conflit avec nous mêmes et de conserver la sérénité nécessaire pour vivre les choses de manière agréable ; Fermeté qui nous replace sans cesse dans notre devoir d’autorité et nous donne la force de demeurer concentré et relié à notre but.

Je me souviens de matins où je me réveillais en colère contre tout et tout le monde. Si j’avais la patience et la sagesse de ne pas me rebeller contre cet état de fait : « je suis en colère », il arrivait toujours ce moment magique où elle se dissipait et disparaissait d’un coup, comme si on avait appuyé sur un interrupteur. Si au contraire je cédais à l’émotion et mangeais quelque chose sans attendre, j’étais calmée sur le moment mais non seulement la colère finissait par revenir, mais la lourdeur de mon corps et la déception d’avoir craqué achevaient de m’accabler. D’autres fois encore, après avoir attendu plusieurs heures afin de discerner le caprice de la (relative) nécessité, je mangeais dans le calme et la totale conscience de mon acte, et dans ce cas tout se passait pour le mieux.

Il y eu des moments plus curieux et plus drôles que pénibles, comme lorsque j’avais soudain l’irréfrénable envie de manger. Je marque clairement la différence entre la faim et l’envie de manger. La faim, la vraie vous ferait avaler n’importe quoi, la première chose qui vous tombe sous la main : un bol de riz blanc et une pomme font alors office de festin. L’envie de manger est bien plus capricieuse. On préfère ceci à cela, on réfléchit à la manière de le préparer ou de l’accompagner et on finit toujours aussi insatisfait après s’y être soumis.

Ce n’est pas de la nature de l’aliment lui même dont nous avons envie mais de ce qu’il représente à nos yeux : un souvenir, une personne, un lieu, une habitude pour célébrer ou marquer un évènement. C’est le rituel qui nous manque. Le rituel et le rythme car la rupture rythmique est très déstabilisante. Lorsqu’on accède au prana, la journée parait tout à coup extraordinairement longue. Le temps semble s’arrêter, et quelques heures passent pour une éternité. On réalise alors le temps que monopolisait notre alimentation avant, et celui dont nous disposons donc à présent ! Certains jours j’avoue être allée acheter de quoi manger simplement parce que le caractère interminable de la journée m’intimidait ou, encore plus absurde, parce que le fait de ne ressentir aucun besoin ni d’avoir envie de rien m’angoissait et me déprimait. Il m’est même arrivé de me retrouver dans le magasin face aux produits et d’avoir à me forcer à prendre quelque chose tant rien, pas même mes plus grands délices de toujours, ne me tentait. Bien entendu, une fois cela fait je m’en voulais terriblement et mon corps ne manquait jamais de me le reprocher. Ce que je regrettais le plus était d’avoir pu, durant un court moment, penser qu’un aliment quel qu’il soit allait m’apporter quelque chose de supérieur, quelque chose que la lumière n’était pas en mesure de me donner. Lorsqu’on est nourrit par la lumière on se sent si rempli d’amour, on éprouve tant de beauté et de fluidité, tout nous est si facile, léger, évident, agréable et tout nous est tellement possible qu’on est honteux après avoir mangé. Et j’expérimentais tout cela sans ressentir la moindre faim ( ! ) ni la moindre nécessité de manger car mon corps était déjà habitué à se nourrir autrement.

Le terme même d’ « autrement » n’est pas adéquat, car en réalité on ne se nourrit pas autrement. Il serait plus juste et pertinent, pour décrire le processus, de dire qu’il s’agit de passer de l’état où l’on a besoin d’assimiler la matière pour accéder à sa lumière, à celui ou cette étape n’est plus nécessaire. Si l’on considère, comme nous l’enseignent la médecine quantique ou toutes les formes émergentes d’auto-guérison par l’expansion de notre lumière et de notre pouvoir créateur, que nous sommes des êtres de lumière (c’est à dire que nous sommes composés de lumière jusque dans les plus infimes éléments de notre organisme), on peut admettre que, la lumière renforçant la lumière, une lumière « extérieure » pourrait être en mesure de renforcer, et donc de nourrir, une lumière « intérieure ».

En acceptant ceci, il est envisageable, si l’on reconnaît notre corps comme étant pure lumière, qu’il soit nourri par cette lumière, une fois celui-ci détaché de son état d’élément matériel dépendant d’un apport de matière.

J’ai pu vivre, régulièrement et de manière très concrète, le fait que c’est la part de lumière contenue dans chaque bouchée de matière qui nous nourrit. Dès lors que nous reprenons contact avec notre véritable nature, j’ai presque envie de dire que l’alimentation par la lumière va de soi ( dans le sens où c’est celle qui nous correspond et nous sert le mieux ), même si la transition nécessite tout de même une conquête du pouvoir de soi sur soi et de la souveraineté qu’il nous faut alors exercer sur tout ce qui nous touche, entre, ou sort de nous.

Ce qu’il faut surtout retenir, c’est que c’est notre Conscience qui fournit le plus gros du travail ; c’est notre aspiration à vivre dans la Conscience de notre état d’être de lumière qui nous permet d’accéder à ce dernier ; c’est notre Conscience qui transforme notre corps au point qu’un beau matin on se réveille sans le moindre besoin, en ayant presque oublié ce qu’est la faim, et que la notion de manger nous est devenue quasi-abstraite ; c’est elle enfin qui, par tous ces efforts produits pour placer sous notre juste autorité tout ce qui n’est pas elle, tout ce qui n’est pas Dieu (ou Conscience supérieure) en nous, devient libre.

Les dernières fois où j’ai mangé, au sens classique du terme, je me souviens très nettement de cette impression de superflu, de vain. Je me sentais si bête de mâcher quelque chose que j’allais très vite éliminer et qui ne m’apportait en rien les qualités nutritives et énergétiques du prana. Quelqu’un compara cela à la première fois où dans son processus pour arrêter de fumer, il avait conscientisé qu’il trouvait cela plutôt dégoûtant, désagréable et que le seul plaisir qu’il pouvait à peine en tirer se situait dans le geste. Je vivais la même chose : le geste pour le geste. Faire acte de manger pour me dire que j’avais fait acte de manger, même si l’acte de manger était désormais chez moi totalement dissocié du fait de me nourrir.

Qu’est ce qui a changé aujourd’hui ? L’expérience joue pour beaucoup. A force de répéter les mêmes échecs et victoires, on trouve en soi la force de faire le dernier pas. On s’accoutume aussi aux sensations nouvelles, on les préfère les unes aux autres et finalement, c’est avec beaucoup de simplicité qu’un jour on comprend qu’on a réussi.

J’ai acquis beaucoup de calme intérieur ainsi que la conscience de ce que je suis, mais aussi celle que la faim, lorsqu’elle se présente encore parfois n’est qu’un symptôme, un indicateur d’une faim intérieure bien plus importante : une faim d’amour et de lumière, pour l’assouvissement de laquelle il nous suffit de nous relier directement à la Source. Malgré le concret de la pratique qu’implique un tel changement, c’est dans notre coeur que se trouve la véritable clé. C’est lui le maître du jeu. C’est avec le coeur apaisé et confiant que l’on franchit la dernière étape, celle du choix de la liberté.

Car c’est bien faire l’expérience de la liberté que de se nourrir de lumière. Au delà même de la liberté, je dirais que c’est faire l’expérience du divin, et du divin en soi. C’est accepter de penser sans limites et d’agir sans limites. Car on touche véritablement à l’illimité et à l’infini. Il nous est simplement demandé de nous y abandonner.

C’est aussi ouvrir les yeux sur tout ce qu’on laisse avoir du pouvoir sur nous jusque dans les détails les plus insignifiants du quotidien comme lorsqu’on pense par exemple qu’une tablette de chocolat va nous aider à surmonter notre chagrin ou notre ennui, que si l’on mange ceci ou cela on sera plus respecté, ou encore qu’on sera considéré avec plus de sérieux si on boit notre verre d’alcool comme tout le monde.

Le rapport aux autres et à la société est certainement l’une des plus grande difficultés dans cette transition. On est souvent obligé de cacher la réalité pour ne pas déclencher de conflits avec ceux que cela dérange ou terrorise. Car il y a bien l’idée de terreur derrière ce genre de sujet pour tout ceux qui n’ont pas encore la conscience que l’être humain est beaucoup plus que ce qu’ils croient. A partir d’un certain moment donc, il y a ceux à qui notre nouvelle réalité fait peur, et il y a ceux qu’elle fascine et fait rêver. Beaucoup de gens réagissent avec agressivité, voire violemment lorsque vous refusez de boire ou manger ce qu’ils vous proposent. Certains peuvent même décider de ne plus jamais vous voir plutôt que d’accepter une telle idée. Moi qui avais déjà du mal avec les gens qui m’en mettaient plein la figure quand je leur disais que j’étais végétarienne, puis végétalienne, puis crudi-végétalienne, etc. Tous ceux qui suivent un régime alimentaire particulier connaissent le problème par coeur : vous arrivez dans un dîner, tout le monde est parfaitement au courant que vous ne mangez (par exemple) rien d’animal, et vous vous retrouvez avec des oeufs cuisinés et un poisson en sauce, préparés tout spécialement pour vous. Devant votre air désolé on s’exclame que ben quoi, c’est pas de la viande ça si?! Certaines personnes ont du mal à comprendre (car enfin une bonne fois pour toutes, ce n’est pas une question de point de vue, c’est un fait !) que la chair du poisson est une chair animale, au même titre que les oeufs proviennent d’un corps animal. On s’arme alors d’un doigté infini pour expliquer, sans perdre son calme et sa tolérance de l’ignorance d’autrui, que « rien d’animal » signifie : pas de viande, pas de poisson, pas d’oeufs, pas de lait (et dans certains cas, pas de miel non plus). Souvent on ne vous écoute même pas, et si on le fait, c’est pour vous répondre très agacé et avec une insupportable opiniâtreté qu’il vous faut des protéines, du fer etc., que maintenant que c’est dans votre assiette vous n’allez pas faire d’histoires et que de toute façon ça ne peut vous faire que du bien. Il est facile d’imaginer la réaction de ces mêmes individus si vous leur dites que vous ne mangez plus rien ! Ne parlons même pas du fait de ne plus boire non plus…

Je suis consciente de la portée d’un tel choix et des conséquences relationnelles possibles quant à ce genre de changement, mais je suis également consciente des bouleversements qui s’opèrent autant à l’échelle planétaire qu’à l’échelle cellulaire humaine. Je sais que beaucoup de gens ont ressenti avant moi cet appel, et que chaque jour des âmes nouvelles s’engagent sur cette voie afin d’élever, à travers toutes ces victoires individuelles, le niveau, le rayonnement et l’expansion vibratoires de toute l’humanité.

Quant à ceux qui ne sont pas prêts, soit parce qu’ils ne peuvent pas, pour l’heure, entendre ou accepter une pareille éventualité ni les perspectives qu’elle révèle, soit parce qu’ils ne sont pas résolus, déterminés ou qu’ils manquent encore de confiance en eux pour franchir le pas personnellement, la lumière ne ferme aucune porte. Chaque fois que quelqu’un accède à l’alimentation par la lumière, c’est une ouverture supplémentaire pour tous : chaque personne qui réussit cette transmutation permet à toutes les autres qui viendront après elle un cheminement facilité, plus rapide et une transition beaucoup plus douce. A tous ceux qui tendent vers ce changement mais s’en sentent incapables, j’ai envie de dire ceci : Placez vous dans votre coeur, le Coeur de votre Conscience et demandez à être aidé, guidé et soutenu, demandez que la facilité vous soit accordée. Sentez-vous faire déjà partie de tous ceux qui y sont parvenus car en vous reliant ainsi à ce réseau d’amour et de conscience lumineuse, vous bénéficierez de tout son champ vibratoire et des acquis de chacun.

J’ai été accompagnée, grâce à ma médiumnité, par des êtres éthériques merveilleux de toutes natures, de tous âges, de toutes cultures et toutes époques qui m’ont offert les récits de leurs expériences, m’ont conseillée, encouragée, rassurée aussi. Sachez qu’il est dans l’invisible, une multitude d’êtres débordants d’amour prêts à nous aider à tout instant. Leur énergie fut, pour mon compagnon et pour moi-même d’une grande valeur et d’un grand secours.

Je me suis cependant souvent posé la question suivante : si je devais agir aussi par rapport aux autres et en fonction des autres, quel serait mon choix ? Est ce que je déciderais de re-manger pour ne pas perturber les habitudes et croyances de ceux qui ont peur et pour ( soi-disant ) ne pas me marginaliser, ou est ce qu’a l’inverse j’opterais pour entretenir et nourrir les rêves de ceux que cela appelle et émerveille ? Dans cette société où tout est apparences et où le rapport à soi comme le rapport aux autres se veut social, ce type de question se présente forcément. La réponse m’est apparue en toute simplicité sous la forme d’un souvenir : celui de ma première rencontre avec le concept de nutrition par la lumière, le titre de ce livre qui m’avait tant troublée quelques années auparavant. Celui qui m’avait permis d’envisager de faire moi même un jour un tel saut et qui avait été une fenêtre ouverte sur mon droit et mon devoir de prendre toute ma dimension. Une ouverture sur ma Responsabilité.

Il est une réalité remarquable, c’est que tout vient de soi. La prana que je vois dans l’air et qui, je peux l’observer compose chaque chose, me compose moi aussi. Lorsque j’émets une pensée négative elle me fatigue et me cause des maux physiques, alors que des pensées d’amour me nourrissent et me guérissent. Les jours où j’ai eu peur de mourir de faim, j’ai fait l’expérience de la faiblesse et du désarroi, en opposition aux jours où je me suis sentie nourrie par tout ce qui Existe où je ne pouvais concevoir la notion de limitation et me sentais invincible. Chaque fois que j’ai craqué, je me suis sentie une petite personne pauvre sur une planète hostile, j’étais effrayée, résignée et j’avais un goût de triste fatalité. Lorsqu’au contraire je me suis réfugiée dans la confiance, dans la calme chaleur des êtres divins qui nous guident, dans la puissance de mon coeur et dans cette douce lumière que je sentais s’écouler en moi, je me suis sentie moi même un ange et rien ne m’était inaccessible. Faire le choix d’une telle transmutation reflète le choix de la lumière. Pas seulement pour ne plus avoir à manger de matière, mais pour ne plus être limité, dépendant ou asservi par elle. Mes connaissances, recherches et expériences en médecine quantique abondent dans ce sens : la matière est au service de la lumière, en tant qu’élément non pas inférieur mais de nature différente, dans le sens où elle est façonnable, modulable par elle. Elle est le moyen, l’instrument par lequel il nous est possible de manifester notre lumière et de créer. C’est notre pouvoir créateur qu’il nous faut reconquérir pour rompre tout asservissement et atteindre l’état d’Être Libre et Souverain. Se nourrir de lumière, c’est accueillir l’Unité en soi, et abandonner derrière soi la dualité. Alors bien entendu mon choix se porte du côté des deux : ceux qui sont conscients de leurs véritables essence et nature et que je pourrai, je l’espère, aider à manifester dans leur matière leur rêve de lumière, et ceux qui ignorent encore qui ils sont mais qui, un jour qui sait, dans cette vie ou dans les suivantes, pourraient remporter d’encore plus grandes victoires.

J’ai fini par refaire le protocole, car mon coeur en ressentait trop le besoin. Je l’ai adapté, et l’expérience que j’ai faite a dépassé tout ce que j’avais pu connaître, croire, imaginer…

Source: http://alynarouelle.wix.com/lumieredevie

Publié par Alyna Rouelle le 10 avr, 2015 sous Alyna

2017

Une conférence d'Alyna Ruelle en 2017. Elle s'est arrêté complètement de manger en mars 2014, et à repris en décembre 2016 (quelques petits plats légers par-ci par là pour faire plaisir aux amis) pour se prouver que manger ou non lui procurait la même joie et ne pouvait plus l'atteiundre dans sa santé.

C'est aussi la spirituialité développée qui est intéressante ici.

https://www.youtube.com/watch?v=iWIftZ3JoIY

prânisme: Extrait interview alyna Ruelle.

ne pas culpabiliser si on remange, ça fait chuter les vibrations. Accepter avec amour de laisser son corps dire au-revoir à certains, même s'ils sont super toxiques comme les pizzas, ou les pâtes au fromage pour les intolérants au gluten et au lait. Rassurer la personne à l'intérieur qui a besoin de ça. Ne pas donner une date de départ, y aller à son rythme, même si pendant des mois on est obligé de manger un fruit par semaine, tant pis, on le donne au corps s'il en a besoin pour se rassurer.

Le prânisme arrive d'un coup. Du jour au lendemain on n'a plus besoin de dormir, il faut l'accepter psychologiquement, émotionnellement, mentalement, etc.

L'idéal, c'est d'arrêter la viande, puis les produits issus de la viande, puis le cuit, puis juste les fruits, puis juste les jus de fruits, puis plus que de l'eau en en appréciant toutes les saveurs voir en l'énergisant.

Pour faciliter les envies au début, ne manger qu'une fois par jour, et remplacer les heures de repas par du yoga nourrissant, de la méditation, des rituels qui détournent l'esprit de la bouffe.

Faire des exercices physiques permet de rassurer le corps qui voit qu'il a toujours de l'énergie. De la respiration ou marcher en pleine nature, bord de mer, etc.

Visualisation, pour voir que la matière circule. La visualistaion de gouttes de lumières tombant au goutte à goutte du ciel, qui passe par a nuque et irradiant tout le corps organe par organe. Ça aide bien au début à donner la sensation de satiété même sans manger. On ressent ce liquide dans la bouche, dans la gorge, avec le goût, un peu ce que raconte MLontfort sur la salive nourricière. Ensuite la visualisation n'a plus lieu d'être.

Quand le mental panique (tu te rends compte tu ne manges pas) l'énergie de la terre aide à se réancrer. Laisser l'énergie de la terre monter (plutôt que plonger ses racines comme on a l'habitude de la faire). ça fait un appel avec l'enrgie du ciel qui descend par le haut du corps et vient s'équilibrer au niveau du coeur avec celle de la terre venant des pieds, et là on est pleinement dans son corps.

Une des clés est d'être très présent dans son corps, ancré, relié. Si on s'échappe dans le mental, c'est fichu.

Camila (ou camilla ?) à eu 2 enfants en étant prânique. Elle les a allaité très longtemps et les as ensuite nourrit très légèrement avec des jus, mais ils avaient déjà un fonctionnement prânique. C'est inscrit dans l'ADN de l'enfant car activé chez la mère. Après, l'âme peut avoir choisit d'expérimenter la nourriture physique, donc de ne pas être prânique. C'est le choix de l'enfant derrière qui va orienter, il est libre de choisir sa vie.

Les gens qui meurent de faim : certains meurent de soif en 3 jours, parce qu'ils croyaient que c'était la limite humaine. Alors qu'on tient facilmenet 12 jours. Un qui est mort de froid, simplement parce qu'il croyait que la chambre à froid où il avait été enfermé était en route. En fait la température était de 18°C (à vérifier les détails réels de cette histoire. Si on croit qu'on va mourir de faim, le corps va stigmatiser puis se conformer à cette croyance. Au moment où on passe prânique, on a une zone de confort./ Lors des moments de panique, on a possibilité de remanger pour calmer une partie du corps. Ce n'est pas possible en cas de famine.

Il faut dissocier les émotions et le besoin de manger pour se réconforter. Par exemple on a un choc, une mauvaise nouvelle, ça va nous donner envie de grignoter ou une grosse faim. Il faut alors se poser, et s'apercevoir que l'événement n'a rien à voir avec le besoin de chocolat par exemple, et que le fait d emanger ne va nous apporter de plus. Besoin de combler ou de faire taire l'émotion. Lui parler comme à un petit enfant à l'émotion, et le rassurer. Il faut laisser l'émotion s'exprimer pleinement, les laisser exister (sans forcément les exprimer à l'extérieur) pour qu'elle se nettoie et disparaisse, et la faim on n'en parle plus. ON les laisse exister sans faire d'amalgame avec quoi que ce soi d'autre. Beaucoup l'expriment à l'extérieur sans la vivre à l'intérieur.

Alyna raconte la rage qui l'a prise un matin au réveil, sans raison, sans justification. Elle fait le vide, s'accroupit, et la laisse se développer comme elle veut parce qu'elle ne veut pas vivre cette sensation encore une fois. Elle la laisse s'exprimer de partout (tête corps, mental, les organes, etc.). Il faut avoir le courage de vivre ses émotions à fond plutot que les étouffer ou les détourner. Que ce soit la joie, l'ennui, les laisser pénétrer partout et les laisser se libérer. nous traverser puis partir définitivement, car il fallait que nous vivions cela. Sans faire intervenir le jugement du mental, l'éteindre et laisser s'épanouir l'émotion pour qu'elle se libère après avoir fait son travail.

Le passage au prâna dépend de ce qu'on a choisit. On peut faire le processus de 21 jours, devenir phisiologiquement prânique en 3 semaine (on est nourri par le qi) et continuer à avoir faim tout le reste de sa vie (ou pas, c'est une possibilité), ou alors s'arrêter progressivement, ça dépend des personnes. Il reste la sensation de la faim, pas la faim elle-même. Il faut arriver à passer les derniers blocages qui restent et qui garde cette sensation de faim active. Il y a aussi ce jugement sur la nourriture, qui n'est pas assez lumineuse, qui empêche de faire disparaître la sensation de faim. Etre praique n'est pas mieux que de ne pas l'être, on a une expérience à vivre et pour beaucoup la nourriture physique fait partie de la vie physique, il ne faut pas juger.

Pour s'habituer, chaque fois qu'on mange, se poser la question pourquoi on le fait. Parce que c'est l'heure, parce que les autres nous l'on demandé, parce que j'ai une déception, etc.

Dans la période où nos sens sont exacerbés, il vaut mieux s'éloigner de toute odeur de bouffe ou de gens qui mangent parce que c'est un coup à manger.

Pour l'élément liquide. Moins on mange, moins on a soif (une grosse partie de l'eau sert à la digestion). Et pourtant au début il faut boire beaucoup car il faut fluidifier le corps, le laver, etc. Une fois le fonctionnement prânique installé, il y a une hydratation permanente du corps qui se fait. Continuer de boire est donc un choix (Alyna c'est surtout par gourmandise). Ce n'est plus une nécessité pour que le corps aille bien.

Plus de selles ni d'urine. Les règles féminines continuent, la transpiration aussi.

Le prânisme est lié à la spiritualité. On ne peut s'arrêter de manger si l'on ne ressent pas d'amour pour toute chose , y compris son corps.

Lors du processus de 21 jours, jour 3 à 4, on sent un retournement/renversement dans la fonction des organes, qui est changée. Comme si les capteurs d'énergie interne s'étaient retrouvés à l'extérieur. Il faut aimer ses organes de digestion (tous les organes sont nobles), ils ne s'atrophient pas donc continuent à contribuer au fonctionnement. Ce rtournement peut se produire sur plusieurs organes en même temps, mais généralement ils sont à la suite les uns des autres, dans un ordre qui est personnel. Ca dépend de leur fonction digestive ou émotionnelle. Par exemple, les règles douloureuses ne le sont plus.

Quand on ne mange pas, les neurones de l'intestin (le 2nd cerveau) semblent participer à autre chose, comme des émissions radio, communication avec les autres êtres, etc. Quand on remange, cette fonction s'éteint le temps de la digestion.

Pour ceux sous traitement, c'est pareil. Il ne faut pas être dans le jugement que les médicaments c'est mauvais, ou au contraire que c'est ce qui nous tient. Accepter les choses comme elles sont, restaurer son corps, et les médicaments deviendront inutiles.

Pour être en paix avec le système d'esclavage qui nous rends malade. Il faut être au courant de ce qu'il fait, ne pas manger les poisons qu'il nous force à avaler, mais quelque part c'est ce qui nous a permis d'être à bout et de sortir du système.

80% de ce qu'on trouve sur le marché est là pour nous tuer à petit feu. Est-ce qu'on se laisse tuer par cette information? Non, on l'accepte et on choisit d'incarner quelque chose d'autre de meilleur pour aider les autres à en sortir. C'est accepter que le mal soit là pour que les gens choisissent le bien, et de guérir la blessure que m'a provoquée la connaissance de cette info. On peut manger de la pizza à cause des envies provoquées, sans juger les saloperies dedans car on sait qu'elles ne nous atteindront pas.

Il faut être bien dans son corps, car ce qui est important pour rendre le monde meilleur, c'est ce qu'on émet, comment on se sent.

Le but du pranisme est d'être libre, vis à vis de toutes les dépendances et toutes les substances même nocives. EN dialoguant avec les cellules de son corps, on peut leur demander d'évacuer la substance toxique. Cette substance ne peut avoir d'action sur nous. On se rends alors compte qu'on cède son pouvoir continuellement à des choses qui sont moins que rien, alors qu'on est le divin et qu'elles ne peuvent rien faire.

Alyna raconte qu'au moment où le processus pranique c'est installé, une partie de ses 4 dents dévitalisées se sont revitalisées, toutes ses caries ont disparues (a priori non soignées, le dentiste lui a dit qu'il fallait dévitaliser 12 autyres dents).

Au tout début, ce qui nous indique l'état prânique, c'est pas forcément le sommeil, mais la régénération permanente, surtout après un effort physique. On ressent encore la fatigue, on se pose, on se dit qu'on n'a pas l'obligation de manger, et ça monte comme une pile. Ensuite on n'a plus besoin de se poser pour que ça ai lieu, c'est permanent. Il faut s'assurer du maintien d'un taux d'énergie très forte, d'une joie, d'un bien être, de la santé.

C'est à nous de définir qu'est-ce qu'on accepte de voir se manifester en soi.

Le point de basculement c'est quand on a besoin de manger même une fois par mois à l'état où ce n'est plus du tout nécessaire.

Si on croit qu'un aliment est mauvais pour le coeur, il le sera. Si nous croyons que nous allons vieillir ou même mourir, nous le ferons. Est-ce que nous laissons une tasse de café flinguer notre coeur? ou si je suis au-dessus de ça?

Quand on est en paix avec ce qu'on est il n'y a plus de problèmes avec l'extérieur, ou quand il y en a ça ne nous affecte pas. SI on est prânique et qu'on l'assume, personne ne viendra nous faire des leçons de morale. Au début, quand ça nous affecte, utiliser l'humour pour faire comprendre qu'autre chose peut-être pas mal.

Le prânisme aide à vivre l'expérience d'unité (on arrête de se limiter à un corps) mais n'est pas une obligation pour ça.

Quand on est chaque chose (l'unicité), on a du mal à être dans le jugement car toute chose est un cadeau et sa raison d'être. Cet état est permanent, et permet de traverser les choses les plus merveilleuses et les plus terribles avec la même paix.

Quand on est l'unité, qu'on n'est plus séparé des autres (non dualité) tout vibre à la même fréquence, il n'y a plus de basses ou hautes vibrations. Il n'y a pas de bien ou de mal, tout me fait du bien ou tout est juste.

La gratitude permet de passer de la conscience que tout est cadeau à l'expérience que tout est cadeau. On est dans un état où rien ne peut nous atteindre, quoi qu'l se passe on reste soi, droit. Que ce soit les bruits forts désagréables, le froid ou le très chaud (le prânisme décuple le régulateur thermique du corps). On ne peut plus être blessé par quelque chose de l'extérieur puisqu'il n'y en a plus (et il n'y en a jamais eu).

On fait des aller-retours au début avec cet état d'être le tout. 20 min, 1 heure, une journée. AU début ça peut terrifier.Aucun événement ni mauvaise nouvelle ne peut nous faire chavirer, on a l'impression de devenir insensible, d'abandonner l'état humain, ses proches. Quand l'unité est installée on ne fait plus de couches ou de cases dans la réalité, comme les dimensions.

Si on veut se nourrir de prâna il faut adorer se nourrir (et non seulement manger).

Pou raccéder à cet état d'uniyté, il n'y a pas d'état de santé minimum à avoir. On est tous dans l'unité, il faut juste accepter d'en prendre conscience. Ces limites et voiles d'oublis ont été posés pour faire une expérience aussi forte aussi profonde dans la matière. Si on se rappelait d'emblée qu'on était illimité et éternel, ce ne serait pas du jeu. On fait des retrouvailles avec l'unité, ce n'est pas une découverte. On se rends compte que c'est l'état qui nous est le plus familier depuis toujours.

Quand on n'arrive pas à arrêter un aliment ou une addiction, il ne faut pas l'arrêter. Il faut aimer cette chose, pour que déjà elle ne nous fasse plus de mal, faite qu'il n'y ai plus de différence entre la méditation et la consommation de cette chose. Et un jour on n'en aura plus besoin, et on n'aura pas souffert.

Il y a des prâniques qui continuent à manger parce que dans leur vie ou celle de leurs proches il y a encore besoin de passer par cette expérience. Le jour où il n'y en a plus besoin ça disparait.

La question du poids. Chaque fois qu'on fait une transformation alimentaire ou se débarrasse de substances doint on n'a plus besoin donc il y a toujours une perte de poids. Quand on ne perds plus de poids (voir qu'on en reprend) c'est un des signes indiquant qu'on est nourri. le poids n'est pas seulement du aux éléments physiques de notre corps. Il est important de se fixer un seuil à ne pas dépasser, pour ne pas avoir peur dans le miroir et se sentir bien. Des fois, quand on libère une mémoire, conditionnement, on perds 2 kg. On pourra éventuellement les reprendre après si on en a envie. Quand on perds trop de poids (conditionnement prânique tardant à s'installer, c'est qu'il y a encore une envie du corps de vivre quelque chose avec la nourriture. Le seul devoir c'est d'être bien, peut importe si c'est dans 3 ans qu'on arrêtera.

Quand on opère un changement, on n'a pas a se détoxiner de quoi que ce soit qui ne pourra plus nous atteindre. Idem pour les mémoires psychologiques, ça se fait tout seul avec l'unité. Si on croit qu'on a des mémoires, on les a. Si on n'y croit plus, elles n'existent pas. Soit on escalade progressivment la pyramide des polluants, soit on va directement à l'unité qui remets tout à plat, et on se rends compte qu'on est tout, au même niveau au même moment dans toutes les époques dans tous les corps dans tous les espaces ça règle le problème.

Pendant longtemps on a du inventer plein de conception pour imaginer qu'il y avait d'autres chose que d'autres corps, d'autres réalités, d'autres dimensions qu'on ne voyait pas dans notre dimension. Pendant longtemps la psychologie a fait un bien fou à l'humanité. On a esnuite découvert les mémoires génétiques, les mémoires vibratoires, les autres vies, les autres dimensions, etc. On en découvre toujours plus qui crééent des liens, des blessures, des attaches. Cela nous a aidé à accéder à des niveaux de conscience au dessus. Mais on pourrait chercher sans cesse. Quand on est prêt, on passe à autre chose. La psychologie continue aujourd'hui a sauver la vie à certaines personnes, ce n'est pas mieux ou moins bien, mais qu'à ce niveau de compréhension on n'en a plus besoin. Est-ce que je continue à me prendre pour quelqu'un qui a plein de problèmes ou estèce que je décide que mon pouvoir créateur c'est maintenant et que l'unité c'est maintenant. Arrêter de renforcer le fait qu'on ne soit pas bien.

Après le prânisme ou l'unité, il y a forcément des jours ou ça va moins bien, sorte de rechute, mais il ne faut pas en laisser trop souvent ou longtemps. Ne pas paniquer au moindre truc de travers. Un estomac qui gargouille n'est pas forcément parce qu'il a faim, mais qu'il est vide et peut se relâcher. Si on a envie de s'allonger, c'est pas forcément l'énergie musculaire mais que 80% de l'énergie est prise ailleurs et que le physique n'est pas la priorité.

Les animaux peuvent être prânique, comme leur maître prânique. Quand il vit avec vous au quotidien il devient prânqiue avant vous. Ils sont beaucoup plus dans les possibilités du champ vibratoire, et dès que cette possibilité apparait ils y vont tout de suite. Un prânique qui va chez des amis, leurs animaux diminuent la consommation de moitié, voir ne mangent plus à des moments. Les naimaux peuvent aussi le faire spontanément.

Claude Tracks

Issu de la page de Claude Tracks.

Voici un premier article, sur la respiration et l'absorption d'énergie vitale.

LA RESPIRATION CELLULAIRE, QUANTIQUE OU ATOMIQUE.

La respiration cellulaire quantique est de loin la plus grande de mes découvertes, une sorte d’étape dans l’aboutissement d’une vie passée à chercher quels étaient les plus grands secrets qui permettraient à rendre l’Humanité vraiment meilleure. Le principe est pourtant simple.

Un jour ma petite voix m’a envoyé dormir dans le plus grand palace de New Delhi. Ce n’est pas dans mes habitudes, mais là je sentais que c’était vraiment l’une des étapes les plus importantes de mon voyage en Inde. Je croyais que c’était pour rencontrer quelqu’un, mais cela ne sait pas vraiment passé comme je l’imaginais. Avec mes dreadlocks qui pour la plupart paraissent comme un palmier sur la tête, j’arrivais pas vraiment à me faire des amis dans les grands salons de smokings et de robes bolywoodiennes.

Durant la deuxième des nuits que j’ai passé là bas, je me suis vraiment sentis habité par quelque chose de très Conscient. C’est comme si les murs et les meubles étaient vivants. Bien que je dormais dans l’une des chambres les moins chères de l’hôtel, cet endroit à abrité des êtres comme Gandhi, Neru, Kennedy, John Lennon, et je pouvais vraiment ressentir l’intelligence du lieu.

Durant la nuit j’ai fait une sorte de rêve éveillé tellement clair que je demande toujours si c’était un rêve. Il fut très simple.

« Claude, veux-tu connaitre la clef des clefs, celle qui fait que les humains un jour voleront, arriveront à vraiment aimer et à devenir des Divinités incarnées ? Ce qui changera tout, c’est le fait d’aller puiser son énergie vitale là où elle est illimitée, là où chacun a plus de puissance qu’une centrale atomique : au cœur des cœurs de nos atomes, dans l’infiniment petit de notre être, car ce sont des portes qui nous connectent à la source de l’énergie illimitée. Car comprend bien que ce n’est pas l’atome qui recèle cette énergie, mais c’est cette connexion avec la source ! Et heureusement, on ne peut arriver qu’à se connecter à LA source qu’en étant vraiment en harmonie avec les Lois de l’Amour. Car il y’a des Lois Claude… Cherche les… Trouve les… Et partage sans peur avec le plus grand nombre… »

L’Alchimie Christique de la respiration cellulaire.

Cette respiration permet de tendre vers une meilleure connexion à notre “essence” dans le sens “carburant” et essence, dans le sens de “personnalité”!

Ce “carburant énergétique”, il faut aller le chercher là où la majorité des personnes n’osent pas aller: à l’intérieur de nous, au fond de nos cellules. Dans nos atomes qui sont engourdis par nos peurs et nos tristesses...
 Pour cela, nous devons passer par nos marais émotionnels! En activant l’émotion, en se rappelant le plus possible les moments ou contextes dans lesquels ces blessures sont nées, on va provoquer une étincelle qui va faire démarrer l’activation de nos cellules. C’est pour ça que toucher nos plus grandes peurs et nos plus grandes blessures est vraiment l’essence du ciel (essentiel), car elles bloquent la descente de notre être de Lu- mière dans nos corps. Ces peurs et ces colères ont le droit d’être là, elles ont des choses à dire pour l’Harmonie de notre vie.

“Seuls ceux qui oseront plonger dans leur propre enfer connaîtront la Lumière!” Nous ne vous proposons pas de choisir votre vie pour vous, nous vous proposons de vous montrer comment faire pratiquement pour que votre être de Lumière prenne vraiment sa place afin que vous puissiez trouver votre propre voie... Nous rajouterons que ce genre d’alchimie Christique, de réveil de son prophète intérieur est beaucoup plus difficile à faire dans un pays ou une région où l’on a grandi, où l’on a trop d’attaches. “Nul n’est prophète en son pays!”. Ce qui compte, c’est que vous soyez vraiment prêts à travailler sur vous!

Pas de Liberté et donc d’Amour sans Autonomie!

Au contraire de tout mouvement sectaire ou religieux (les religieux étant des sectes qui ont réussies), je désire enseigner l’autonomie à tous les niveaux. En effet, l’autonomie est un facteur essentiel pour ceux qui veulent vraiment aimer. Car si on a besoin de l’autre, on ne peut pas vraiment considérer qu’on l’aime! Ceci n’est pas uniquement vrai au niveau énergétique, mais aussi au niveau affectif et matériel. Au niveau énergétique, nous vous proposons de vous apprendre à directement puiser l’énergie vitale à l’intérieur de vous-même, dans l’infiniment petit de notre être, là où, lorsqu’on brise un atome, on peut y puiser la force d’une bombe ou d’une centrale nucléaire.

Il s’agit de l’unique manière d’être autonome de toute énergie extérieure à nous-même. De plus, il n’y a que cette énergie qui soit vraiment remplie de l’identité de votre propre Lumière. L’un des problèmes lorsqu’on se nourrit d’énergies extérieures à nous-mêmes, c’est qu’elles contiennent d’autres identités, d’autres combinaisons de couleurs que celle de notre Esprit.

L'un des mutiples avantages de cette respiration qui est une "aspiration/rayonnement", c'est que comme c'est vous qui rayonnez, vous n'êtes plus influencé par l'identitée énergetique de votre environement…

Mais pour cela il FAUT n'avoir aucunes "attaches " à l'extérieur qui soient plus fortes que notre attache intérieure!

Cela influence aussi grandement votre vie dans les autres dimenssions. Imaginez que vous volez et que vous traversez des mers d’énergies. Certaines d’entres elles sont rouges, d’autres sont habitées de tendresse, d’autres des caractéristiques de la femme (ou de l’homme) de vos rêves (que nous appellerons énergie B12). Si vous êtes accros à l’une de ces choses, vous ne pourrez pas voyager librement. En effet, si vous traversez un océan qui contient de l’énergie à couleur B12, vous allez vous arrêter et n’arriverez donc pas à atteindre votre destination. Ainsi, si quelqu’un veut vous stopper, il lui suffira de vous envoyer de l’énergie B12.

Donc, si on veut tendre vers la plus grande Liberté possible, il faut travailler ses attaches ET savoir au mieux qui on est...

Et je préciserais qui on est vraiment!

Ce qui nous différencie des autres, ce qui nous rend spécial, c’est souvent ce que nous avons à apporter... Chacun de nous est une partie unique et irremplaçable du TOUT, ce que certains appellent Dieu. Nous nous différencions chacun des autres principalement par nos goûts, nos aspirations, nos spécialités et surtout par les valeurs que nous défendons et que nous incarnons. Si nous savons qui nous sommes, nous sommes capables de nous désintégrer derrière un mur et de nous reconstituer de l’autre côté. Ce mur peut être un voyage dans une autre dimension ou tout simplement la mort. Nous expérimentons tous et toutes ce genre de passage, notamment lorsque nous nous réveillons. Mais ce qui nous reste, c’est la mémoire. Donc, une fois passé le mur, il faut vite se rappeler qui nous sommes, d’où nous venons et ce que nous sommes venus faire ici.

C’est aussi pour cela qu’il faut faire attention à ses possessions ! Les possédeurs sont souvent possédés via leurs possessions! Leur attention excessive vers leurs possessions les empêche d’aller voir ce qui ne va pas à l’intérieur. Jusqu’où acceptez- vous, au moins en théorie, le fait que, dans l’idéal, nous voudrions arriver à aimer, à élever nos enfants dans la vraie liberté, c. à d. hors des schémas religieux? Et ne venez pas nous dire qu’être religieux est un choix! Être libre cela veut dire “faire ses propres choix”, “penser par soi-même”, ne pas accepter un mode de vie ou des croyances dont on ne comprend pas les tenants et les aboutissants. Faire partie d’une religion est un non choix vu qu’on se met sous l’emprise d’une autorité extérieure à nous-mêmes. Bien sûr, certains se sentiront jugés en lisant ceci. Mais n’oublies jamais que si tu te sens jugé, c’est que quelque part tu te juges toi-même !

La respiration cellulaire atomique quantique

Je change tout le temps de nom pour cette respiration. Mais c’est vrai que respiration quantique est peut être plus juste car il s’agit d’aller cherche l’énergie et la Conscience, non seulement dans nos cellules mais aussi dans notre ADN et dans nos chakras.

L’idée c’est d’aspirer l’énergie de notre infiniment petit en utilisant l’inspiration comme un levier, comme une pompe ! Si on a de l’émotion qui monte, accepter là, laisse là s’exprimer, écouter ce qu’elle à vous dire. Au plus vous l’acceptez, au plus vite vous passerez les marais émotionnels pour arriver à une connexion de plus en plus précise avec votre être Divin intérieur. Et vous verrez que la quasi totalité du temps, ces émotions de colère ou de tristesse sont là car vous avez adopter les croyances, et modes de vie de la culture judéo chrétienne musulmane sado maso. Il y’a donc un véritable dialogue entre votre âme et votre ESPRIT QUI S’ENGAGE POUR LUI FAIRE COMPRENDRE LA JUSTESSE DES MODES DE VIE ET CROYANCES DES MONDES DIVINS.

A l’inspire vous envoyez toute votre attention vers l’intérieur, vous aspirez le monde autour de vous vers l’intérieur, et à l’expire vous projeter le monde Divin comme vous le rêvez autour de vous. Et au plus proche vous êtes des Lois et modes de vie de l’amour au plus votre projection sera réussie et précise! C’est de là que vient les expressions «je suis inspirer», à chacun a sa propre «aspiration» etc…

Si vous sentez des petites douleurs à certains endroits, cela peut provenir d’endroits dans votre corps où l’énergie ne passe pas bien. En général, lorsqu’on était petit et lors d’expériences comme celle d’une grande douleur, d’une grande peur ou d‘une grande tension, on a crispé certaines parties de son corps et cela rend difficile le passage de l’énergie. Lorsque l’énergie stagne, elle a tendance à pourrir, un peu comme c’est le cas avec l’eau. Vous pouvez masser ce point en respirant profondément.

Quand on inspire, on est inspiré!

2ème article, sur l'alimentation

Un article intermédiaire entre la respiration énergétique et l'alimentation est celui de la méditation, trouvé sur cette partie de mon site.

Voici l'article alimentation toujours de Claude Tracks.

LES SECRETS DE L'ALIMENTATION

Introduction n°1

La relation entre Nourriture et Emotion.

Une alimentation moderne pour nous freiner dans notre développement intérieur.

Introduction n°2

Nous sommes ce que nous mangeons.

Introduction à la nourriture pranique.

Phrases à remettre en question.

A propos de Jésus...

1 > Les Sucres Ajoutés.

L’Asparthame.

Comment notre corps se nourrit-il ?

2 > Le Blé.

3 > Les Produits Laitiers.

4 > Le soja non fermenté.

5 > L’Alcool.

6 > Le Café et le Thé.

7 > Le Sel ajouté.

8 > Les Pomme de Terre.

9 > La Nicotine.

10 > La Nourriture Crue!

11 > Etre Végétarien.

12 > Se nourrir de Lumière!

Conclusion.

Le cercle vicieux de la nourriture moderne.

Adapter son alimentation à son niveau spirituel.

L’important c’est de ne pas avoir d’habitudes alimentaires.

Manger consciemment c’est connaitre les effets de chacun des aliments sur nos différents corps.

INTRODUCTION n°1

Et si l’épisode de la pomme dans la Bible avait une signification tellement simple que presque personne n’y pense : l’homme a perdu ses pouvoirs et donc son environnement Divin lorsqu’il a commencé à manger ! Car qu’il soit bien clair qu’il n’est pas nécessaire de manger de nourriture solide ! Je connais personnellement plusieurs personnes qui en sont à ce stade. Il est cependant important de préciser qu’ont peut se nourrir de lumière (ne pas manger de nourriture solide) et à la fois ne pas être au service de la libération de l’Humanité. Arrêter de manger n’est pas si difficile, car il s’agit de notre nature. Par contre, libérer notre corps physique de toutes les graines et habitudes de la culture patriarcale qui sont imprégner dans la plupart de nos cellules, ça c’est un travail de guerrier ! Arrêter de manger des nourritures solides est très dangereux si on n’est pas assez libérés des graines des cultures patriarcales. Si on prend le fait d’arrêter de manger comme une fin en soi, cela ne mène à rien car tous nos bobos, toutes nos blessures vont avoir de plus en plus d’emprise sur notre vie. Par contre, une fois qu’on a assez travaillés afin de ne plus avoir d’attaches plus « attachantes » que celle à notre Divinité intérieure, l’envie de manger le moins possible s’impose lentement et surement !

Le concept de manger est aussi l’un des piliers de la dualité car il divise le monde entre ce qui est dans moi et ce qui est à l’extérieur de moi.

De plus certains aliments ont été mis dans notre alimentation moderne pour freiner notre développement intérieur, le développement de notre Conscience et la descente de notre être Divin dans nos corps.

La nourriture est un sujet très délicat à traiter car nous entretenons un rapport affectif avec elle! Cela vient de notre enfance. Lorsque nous pleurions bébé c’est parce que nous voulions de l’attention et de l’amour, et bien souvent on a répondu ànos attentes en nous donnant à manger.

La première fois, c’était juste après notrenaissance qui, en Occident reste l’une des expériences les plus traumatisantes denotre vie. La chaleur et le sucre naturel qui se trouvent dans le lait nous ont rassurés!L’attachement à la nourriture, et ici au lait, est proportionnel à l’état de souffrancequ’il nous a fait oublier. Cette règle est aussi valable dans les relations amoureuses.

Petit à petit, nous avons associéle fait de manger et la nourriture affective. La plupart d’entre nous avons donc unrapport affectif très puissant avec la nourriture. Bien souvent, lorsqu’on a le cafard,on se met à manger. De ce fait, manger ne sert pas uniquement de nourriture organique.Il s’agit aussi de nourriture affective ou émotionnelle. Le reflexe de connecterla nourriture avec l’attention de nos parents est un excellent exemple du faitque les émotions que l’on ressent prennent leurs racines dans le passé et pas dansle présent. En fait, on n’est pas nourri émotionnellement parce qu’on mange.

On est nourri émotionnellement, car on associe (souvent inconsciemment) le fait de manger avec une émotion agréable. Le fait de manger nous rappelle ces moments de réconfort, et après, par automatisme, le cerveau fabrique des produits qui nous font vivre des sensations similaires. D’autres réagissent à leur cafard en cessant de s’alimenter de manière suffisante. L’une des causes pourrait être qu’ils ont acquis ce réflexe lorsqu’ils étaient bébé, afin d’attirer l’attention sur eux. Bien sûr, il peut y avoir 144000 autres raisons à cela.

Certains aliments sont la base de notre alimentation dans le but de faire “tomber” la Conscience de l’Humanité au plus bas possible.

Encore une fois, c’était juste et maintenant nous avons aujourd’hui le choix de nous “détacher” d’elles ou de continuerces addictions. L’idée n’est pas d’un coup de se forcer à ne plus jamais toucherà ces aliments, mais de trouver un équilibre par rapport à notre balance yin yang del’instant. Bien sûr, par la volonté, nous pouvons transmuter toutes ces nourritures,mais comme le dit très bien Steiner, à quoi cela sert-il d’ingurgiter une nourriturequi fait tel ou tel effet si l’on désire le contraire?

Les aliments dont je vais vous parler ont de nombreuses similitudes avec les “réelles drogues”. Une drogue est une substance, une personne, une habitude devie, bref quelque chose que l’on pratique quasi tous les jours et qui influence notre conscience, change nos perceptions et crée une accoutumance, une addiction.Les habitudes sont les “habits qui tuent” et les rituels sont les “rites qui tuent elles”, car elles tuent la spontanéité, l’éternellement nouveau qui est la caractéristique principale de la vie et du principe féminin.

Le plus grand des rituels, surtout en France, c’est manger.

Lorsqu’on aime sa vie, manger devient beaucoup moins important. Au contraire, on veut manger le moins possible afin d’être le plus léger et avoir le plus de temps et d’énergie pour vivre et créer. Lorsqu’on est dans un état Amoureux, on n’a plus besoin que de se nourrir d’Amour et d’eau fraîche, non?

Tout ce qui suit se base sur mes expériences personnelles faites sur mon propre corps. Je les ai enrichies par les travaux de Steiner ainsi que d’autres chercheurs queje citerai au fur et à mesure. Au travers d’amis et de personnes que je coache, j’ai puréaliser que certains aliments ont un effet intangible sur les différents corps. Parcontre, comme nous sommes chacun à des étapes différentes de la vie, l’aliment X peut être adéquat pour Monsieur Y et néfaste pour Madame Z. Cela est tout simplement possible car dans sa phase de vie, Monsieur Y a besoin de tel effet, alors que Madame Z en a déjà fait une overdose. Je vous encourage donc à devenir votre propre diététicien. Cela n’empêche pas de consulter des spécialistes pour avoir d’autres points de vue. Lorsque vous consultez ces mêmes spécialistes, je vous conseille de leur demander pourquoi est-ce qu’ils vous conseillent d’ingurgiter telle ou telle substance. Il me semble que, pour être libre, il est important de comprendre le pourquoi et le comment des choses.

INTRODUCTION n°2

Nous sommes ce que nous mangeons.

Chaque aliment a sa spécificité. Il produit telle ou telle action sur le corps.

Les ouvrages les plus précis que j’ai trouvés à ce jour sont les livres qui relatent les conférences de Rudolf Steiner. Bien que je reconnaisse que chacun d’entre nous n’en est pas au même stade d’évolution spirituelle, et donc a besoin d’une nourriture appropriée à son état, je prétends que l’être humain va continuer de se développer en ingurgitant de la nourriture de plus en plus légère, de moins en moins dense. Encore une fois, ce n’est qu’en expérimentant les différents styles de nourriture que vous pourrez faire votre choix. Un essai minimum dure 21 jours. Je continue à croire qu’il est aberrant de suivre tel ou tel type de régime pré-conditionné. Nous sommes tous différents, et si nous arrivons à nous connecter avec notre intuition, elle saura nous diriger vers la nourriture dont nous avons réellement besoin. Il est aussi important de manger en harmonie avec nos croyances. Tant que notre cerveau logique sera persuadé qu’il a besoin de viande pour survivre, il sera mauvais pour nous d’arrêter de

manger de la viande. Notre mental joue donc un rôle important quant au choix de notre alimentation. Mais n’oublions pas non plus que notre mental est là pour nous servir, et non pour nous diriger. C’est encore une fois à nous que revient la tâche d’éduquer notre mental.

Pour accéder au statut d’être humain, je prétends donc que notre espèce suivra plus ou moins les étapes suivantes, dans des ordres différents selon les individus.

• Carnivore

• Carnivore, mais uniquement des poissons

• Végétarien (ni viandes, ni poissons)

• Végétalien (aucune substance provenant du règne animal. Donc pas d’oeuf, de graisse animale, de produits laitiers etc…)

• Crudiste (aucune alimentation cuite)

• Frugivore (uniquement des fruits. En effet, il faut arracher un légume, alors que les fruits tombent d’eux-mêmes. Cela induit donc moins de souffrances que de ne manger que des fruits)

• Aquavore (ne boire plus que de l’eau)

• Énergétivore (ne se nourrir que d’énergie)

Le dernier point est très controversé. Je prétends qu’il est possible de vivre en ne se nourrissant que d’énergie vitale. Pour cela, il faut avoir assez foi dans le pouvoir illimité de la pensée. Si l’on n’a pas cette croyance, ça ne marche pas. Notre corps s’adapte à nos croyances. D’où, encore une fois, l’importance de s’aménager des moments pour penser afin de déceler quelles sont nos croyances. Quant à ceux qui objecteront en disant que nous sommes faits de matière, je leur rappellerai que ce que nous appelons "matière", c’est de la musique figée, donc de l’énergie. Toutes les matières ont été créées par la force de l’esprit.

Je vous conseille le livre de Jasmuheen “Vivre de Lumière” (Editions Vivez Soleil), qui fait assez confiance à la puissance de l’énergie pranique pour s’en nourrir depuis plusieurs années. En d’autres mots, elle n’a plus rien avalé ni bu depuis 60 mois. Il paraît qu’ils sont déjà plus de 5000 sur Terre à ne plus se nourrir que de lumière. Mais pas de panique. Je ne prétends pas non plus que nous devons tous en arriver à ce stade d’ici à 2012. En fait, je ne sais pas quand ça va venir, mais je sais que c’est dans cette voie que nous nous dirigeons.

Personnellement, j’explique chaque jour à mon corps qu’il n’a plus besoin de "manger" pour se nourrir. Je le fais à voix haute, car je sais que chacune des cellules de mon corps a des oreilles. Je lui demande quand même de bien digérer la nourriture que j’ingurgite, car cela m’aide à gérer mon corps émotionnel. Je me conditionne ainsi au fait que je n’ai pas besoin de manger, mais que je le fais par plaisir… et la différence est très importante.

Pendant longtemps, je n’ai pas compris pourquoi Jésus-Christ avait "proposé" à ses disciples de manger du pain et de boire du vin. Je pensais que c’était une manipulation de plus de ses dires. En effet, après l’avoir à maintes reprises testé dans mon laboratoire intérieur, j’affirme que le blé et l’alcool nous éloignent de notre être profond. J’ai mis du temps à comprendre que tous ces aliments (caféine, nicotine, pomme de terre, etc) ont en fait joué un rôle d’accélérateur dans notre évolution. Durant la “nuit galactique” dont nous sommes en train de sortir, il était très important que nous tombions le plus bas possible… Plus bas nous tomberions, et plus fort nous allions rebondir… Il a donc bien fallu que la Création trouve des humains pour travailler à cette noble cause. Je fais mes humbles excuses à toutes les entités auxquelles j’ai envoyé des pensées d’amour non-abouti. Je l’ai fait par ignorance. À l’époque je ne me souvenais pas encore à 100% que TOUT avait un sens et que ce sens était que nous évoluions au mieux et au plus vite… Cela n’empêche que cette période est révolue. Je ne prône pas l’interdiction de toutes ces substances. Il est vital que chacun puisse garder son libre arbitre. Je demande une campagne d’informations à grande échelle, afin que chacun puisse choisir en conséquences. "Ils" ont donc tenté de ralentir l’évolution des Terriens en les conditionnant à abuser de certaines nourritures "dénaturées" et d’"excitants". L’effet recherché était de ralentir l’évolution et l’éveil des consciences, l’intelligence et le niveau de santé. Comme tous les poisons, les éléments suivants peuvent avoir un effet curatif à moindre dose ou/et être utilisés de manière occasionnelle, et un effet nocif à grande dose et/ou être utilisés de manière habituelle. Comprenez bien qu’il n’existe pas de poison… Même l’eau ingurgité en grande quantité peut être un poison. Tout est une question de quantité.

Toutes les substances suivantes ont un haut pouvoir "addictif" et surcharge le système immunitaire. Parmi ces substances: la nicotine (qui tend à provoquer une angoisse subtile permanente), l’alcool (qui tend à diminuer la suprématie du "Soi"), le chocolat (qui tend àprovoquer un dérèglement affectif), la pomme de terre (qui tend à rendre matérialiste et qui détruit les yeux, la vue et le goût), le blé industriel (qui tend à provoquer le contraire de la méditation sur l’activité électrique du cerveau, rend nerveux et agressif), les produits laitiers (qui, surtout une fois "pasteurisés", ont un haut pouvoir pathogène), le café (qui tend à favoriser la pensée logique "dépendante" au détriment de la pensée logique "indépendante", le thé (qui tend à favoriser la pensée sans consistance, défavorise la pensée ordonnée, qui tend à nous faire fonctionner sur un mode qui a des difficultés à mettre deux pensées ensemble) et le sucre raffiné (qui tend à renforcer l’égocentrisme).

Phrases à remettre en question (surtout pour les enfants) :

“Quand l’appétit va, tout va.” -> C’est justement le contraire.

Plus on est heureux, moins on mange. Moins on est heureux, plus on mange.

“C’est scandaleux de jeter alors qu’il y en a qui meurent de faim.” ->C’est justement le contraire.

Moins on mange, mieux on peut penser à des moyens d’aider ceux qui ont faim.

“Finis ton assiette.” ->Ne vous forcez jamais à finir votre assiette. Au contraire, “the best”, c’est de sortir de table en ayant encore un peu faim.

“Mange et tu seras grand et fort.” ->C’est justement le contraire.

Au plus tu manges, au plus tu seras mou et pas «grand».

Si vous voulez en savoir plus sur les influences de l’alimentation sur le développement spirituel, je vous conseille vivement «Alimentation et Santé» et «Alimentation et Développement spirituel» de Rudolf Steiner.

Beaucoup de personnes influencées par la religion chrétienne sont choquées par le fait que je prétende qu’il n’est maintenant plus nécessaire de manger du pain, de la viande et de boire de l’alcool. Rudolf Steiner explique très bien à quel point “la Cène” a été mal interprétée, ainsi que la fameuse phrase du Christ: “Ceci est mon corps, ceci est mon sang.” Que les non-croyants ne soient pas choqués lorsque je parle du Christ. Pour moi, il s’agit d’un humain comme vous et moi, qui, par le travail et la persévérance, a acquis un niveau de conscience que certains appellent la conscience christique. Mais revenons-en à la fameuse phrase: “Ceci est mon corps, ceci est mon sang.” “Par là il a voulu créer une transition de la nourriture carnée à la nourriture végétale, une transition vers quelque chose de plus évolué. Il existait alors deux catégories d’hommes: d’abord ceux qui se nourrissaient de viande et de sang, les humains préchrétiens sur lesquels le Christ ne comptait pas; ensuite il y avait ceux qui se contentaient de ne tuer que les plantes et d’en tirer le suc: ceux qui mangent le pain et boivent le vin. C’est sur eux qu’il comptait. Ils sont les avant-coureurs de l’humanité du futur. La signification de la Cène est de passer de l’alimentation tirée de bêtes mortes à une alimentation tirée de plantes mortes. Lorsque notre cinquième sous-race sera parvenue à son terme, on comprendra le sens de la Cène. Ce sera le cas dans la sixième sous-race. On ne consommera plus aucune nourriture carnée. D’ici-là, il sera possible d’introduire une troisième forme de nourriture, la nourriture purement minérale. L’homme aura appris à fabriquer lui-même sa nourriture. Pour le moment, il reçoit ce que les dieux ont créé pour lui. Par la suite il s’élèvera et préparera lui-même dans des laboratoires chimiques (il ne fait nullement ici référence aux laboratoires chimiques actuels, mais à l’alchimie future qui permettra de ne se nourrir que de nourriture pranique) les aliments dont il a besoin. (…) Lorsque nous trouvons chez les Orientaux de l’Antiquité toutes sortes de prescriptions sur ce qu’il faut manger, il ne s’agit pas à vrai dire de directives, mais simplement d’un récit: Tu ne dois pas exiger des substances qu’elles agissent autrement qu’elles ne le font.

Ce que le Christ (comprendre conscience christique) éliminera par la suite, ce qui sera réellement sacrifié une fois que la Cène n’existera plus, c’est le corps physique. Il est destiné à mourir. Cette mort du corps physique s’appliquera à l’ensemble de l’humanité. Vers le milieu de la sixième race primitive, au cours de son dernier tiers, il n’existera plus de corps physique. L’homme sera de nouveau entièrement éthérique. Il sera fait d’une substance bien plus subtile. Mais cela ne se réalisera pas si l’homme lui-même ne fait pas le nécessaire pour que cela arrive. Dans ce but, il doit d’abord passer à la nourriture qu’il produira lui-même dans des laboratoires. Dans la mesure où l’homme ne prélèvera plus sa nourriture dans la nature, mais où les aliments seront le produit de sa propre sagesse, les produits du dieu qui l’habite, il s’engagera sur la voie de sa propre déification.”

«Alimentation et Développement Spirituel», de Rudolf Steiner.

Ceci est d’ailleurs tout à fait logique. Le Christ n’a pas du tout voulu dire: “Mangez-moi” Qui voudrait qu’on le mange?!?

1/ LES SUCRES AJOUTES.

Ils créent des dépendances, des montagnes russes émotionnelles qui passent par des stades de surexcitation, de Joie à tendance hystérique, de cafard, de colère, etc. Le fait que les sucres ajoutés créent des déprimes ou des crises de colère chez énormément de concitoyens est une information qui devrait être traitée en priorité nationale à l’heure où les guerres et les violences urbaines et familiales explosent dans toutes les parties du monde dit civilisé. Cela peut faire sourire, pourtant nous vous affirmons que la majorité des violences sur Terre pourraient être évitées avec une nourriture plus adaptée. Les seuls sucres “bons” pour le corps et notre évolution sont les sucres que l’on trouve à l’état naturel dans des aliments comme les fruits. Même si les différents sirops sont un moindre mal, ils sont aussi un obstacle à un certain niveau de Conscience.

Quant à l’aspartame (E951) que l’on retrouve aujourd’hui dans plus de 7.000 produits en France qui sont soi disant “sans sucre” comme les sodas light, il s’agit du pire des pires. Ils font partie des pires des poisons pour l’âme. Ce qui va suivre pourrait me coûter une balle dans la tête, alors s.v.p., faites passer l’info au plus vite. L’aspartame est en fait une arme chimique fabriquée par des fabricants d’armes dans le but de la fameuse guerre intérieure silencieuse dont je vous parle dans l’appendice à propos du gouvernement mondial invisible. Derrière tout cela, on retrouve encore une fois notre ami Georges B. et ses amis! Franchement qu’est ce que l’on ferait sans eux! Il joue vraiment un rôle super efficace pour nous mettre un maximum de bâtons dans les roues de notre évolution afin que nous puissions apprendre le discernement et ouvrir notre Conscience! Sachez que je ne dis pas cela en blaguant, je le pense vraiment! Donc, l’un des grands amis de la famille Bush, Donald Rumsfeld était le président de SEARLECorp. qui découvrit l’aspartame (soi-disant) “par accident”. SEARLE Corp. est une société qui fabrique des armes! Ces dernières années, elle a eut plus de pouvoir que le Sénat Américain.

Elle a eu un impact décisif pour que les USA débutent les deux guerres contre l’Irak. L’aspartame fut mis sur le marché en 1974 alors que Rumsfeld était secrétaire général de la Maison-Blanche. Quelques mois plus tard, l’autorisation est supprimée suite à de nombreux effets toxiques constatés sur le cerveau et le système nerveux. Parmis les 174 études réalisées sur l’aspartame, toutes celles commandées par des indépendants arrivent aux conclusions qu’il s’agit d’un produit très dangereux et hautement toxique. Par contre, toutes les études commandées par des institutions du gouvernement mondial comme la Maison-Blanche, l’ONU ou la Communauté Européenne, ont découvert que l’aspartame était inoffensif!!!

C’est drôle car c’est exactement la même chose pour les téléphones portables! Toutes les études indépendantes prouvent leur haute toxicité. Rapidement, l’aspartamefut donc remis sur le marché à cause du lobbisme de leurs “propriétaires”.Pearle et Monsanto sont propriétaires de l’aspartame et tous les deux fournisseursd’armes chimiques. Tout ceci est pratiquement du domaine public. Le scoop, c’est cequi va suivre…

À la base, l’aspartame a été découverte en tentant de créer une arme chimique pour enlever la volonté chez l’ennemi “extérieur” c. à d. les autres pays. Le problème,c’est que très vite, ils ont réalisé qu’enlever la volonté chez leurs ennemis faisaitque le niveau de Conscience de leurs soldats diminuait et que pour finir, ils sebattaient encore mieux. C’est alors qu’ils ont eu l’idée d’utiliser cette arme chez eux, chez les Américains, afin d’en faire des bons petits soldats. J’ai personnellement étudié depuis un an les choix de vie que faisaient les personnes qui ingurgitaient quasi-tous les jours des produits “light”.

Je peux vous affirmer que les résultats de ce petit test sont édifiants. 95% des personnes que j’ai étudiées qui ingurgitent de l’aspartame presque tous les jours sont des collabos passifs ou actifs de cette logique qui met en péril l’avenir de nos enfants!

Encore un petit mot. L’enseignant Indien Osho a toujours prétendu que les Américains l’avaient empoisonné lors de son séjour aux Etats-Unis. Il était diabétique et justement, il était complètement accro… au Coca Light! Sachez une fois pour toutes que, comme je vous l’explique en détail dans le chapitre sur l’alimentation et la spiritualité, qu’il n’y a rien de plus mauvais pour les diabétiques que le sucre, et que l’aspartame sur une longue période peut tout simplement s’avérer mortel. Quand je pense qu’une grande partie des médecins collabos continuent de conseiller aux diabétiques de manger du sucre, ça me fait vomir!

Comment notre corps se nourrit-il?

Si tu veux faire un bond dans ton évolution, apprend comment le sucre nourrit ton corps! Le glucose est essentiel pour nourrir toutes nos cellules. Une grande partie de nos aliments se transforment en glucose dans notre sang. Il est véhiculé par le sang qui le transporte vers les différentes cellules et surtout vers le cerveau. On appelle souvent le glucose, le sucre du sang. Le glucose est tellement important pour le cerveau que, si celui-ci est privé de glucose ne fut-ce que quelques instants, il arrête de fonctionner. Si cela dure, le cerveau peut subir des dommages irrémédiables. Si cela continue, on tombe dans le coma et puis on meurt! Tout cela pour dire à quel point le glucose est important. Le taux de glucose dans le sang doit être constant, c’est-à-dire 1g par litre. Ainsi, notre organisme possède un système très efficace de régulation. La vitesse avec laquelle le sucre des aliments est transformé en glucose est très importante. “Seule une transformation lente des aliments en glucose accompagnée de l’absorption de nombreux autres éléments est sans danger pour notre corps.” Le mal du sucre – Danièle Starenkyj - Edition Orion.

Les sucres que l’on trouve dans des aliments comme les céréales, les fruits et les légumes sont transformés lentement en glucose. Les sucres que l’on trouve notamment dans l’alcool, les sucres blancs et les farines blanches sont trop rapidement transformés en glucose dans le sang. La raison en est simple. On a enlevé certaines fibres et certains éléments essentiels. Dès lors, selon William Dufty, “le sucre ajouté n’est pas digéré dans la bouche ou dans l’estomac mais passe directement dans les intestins et de là dans le sang”.

Un problème supplémentaire est causé par ce que l’on appelle les sucres ajoutés. Je fais référence à la saccharose (sucre blanc et sucre de canne) ainsi qu’à tous les remplaçants de ces sucres dont nous parlerons plus tard. Ces sucres ajoutés apportent trop de sucres (glucose) au corps. Si le taux de glucose dans le sang est trop haut, le cerveau envoie un signal, à travers l’hypophyse, afin que le pancréas secrète de l’insuline qui va enlever le glucose du sang et le stocker dans le foie ou dans les muscles. Si ce dernier reste longtemps dans les tissus, il sera plus tard transformé en graisse. Si le taux de glucose dans le sang est trop bas, le cerveau envoie un signal à travers l’hypophyse, afin que les glandes surrénales secrètent de l’adrénaline qui va libérer le glucose stocké dans le foie. Si cela n’est pas suffisant, il va libérer une partie du glucose qui est dans les muscles.

Je vous conseille de relire et de répéter à haute voix le paragraphe ci-dessus jusqu’à ce que vous puissiez l’expliquer à n’importe qui avec vos propres mots. Ainsi, vous pourrez aider beaucoup de personnes. Ces lignes seront la base scientifique de tout ce chapitre.

Je résume car c’est giga important.

Les sucres ajoutés ou ceux qui proviennent d’aliments raffinés (blé, riz, céréales, etc.) créent deux gros problèmes à l’organisme.

1 > Ils se déversent trop rapidement dans le sang (produits raffinés)

2 > Ils donnent trop de glucose à l’organisme (sucres ajoutés).

Lorsqu’on mange par exemple deux cuillères à café de confiture faite avec du sucre blanc, notre cerveau déclenche la sonnette d’alarme car il reçoit rapidement une quantité de glucose qui est néfaste pour lui ainsi que pour toutes les cellules du corps. Il va demander au pancréas de secréter de l’insuline qui va enlever le glucose du sang et le stocker dans le foie ou dans les muscles. Comme ce sucre ajouté s’est déversé rapidement dans le sang, deux heures après, le corps va se retrouver en manque de sucre. Ce ne serait pas le cas si on avait mangé des sucres lents qui se seraient déversés lentement dans le sang.

Le bon réflexe serait alors de manger un fruit, ce qui nous retaperait. Seulement beaucoup de gens vont remanger du sucre ajouté (ou raffiné), ce qui va donner un coup de fouet momentané et provoquer une rechute énergétique quelques heures plus tard. On crée alors un cercle vicieux. De plus, lorsqu’on n’a plus assez de glucose dans le sang, le cerveau va donner l’ordre d’envoyer de l’adrénaline qui va libérer le glucose stocké dans le foie. Vu que la majorité des gens mangent des produits raffinés et des sucres ajoutés, leur cerveau va passer sa journée à envoyer, tantôt de l’adrénaline pour augmenter le taux de glucose dans le sang et tantôt de l’insuline, afin de faire baisser ce même taux de glucose. Nous passons alors par des stades d’hypoglycémie et de diabète.

Le diabète, c’est lorsqu’il y a trop peu d’insuline dans le sang.

L’hypoglycémie, c’est lorsqu’il n’y a pas assez de glucose dans le sang.

Nous en arrivons au plus important, car tout ceci concerne notre bien-être, notre équilibre émotionnel et notre santé mentale. Comprenez bien que le glucose est la nourriture exclusive de notre cerveau. Chacun de nos sentiments dépend directement du taux de glucose dans le sang. Ainsi un être qui manque de glucose ou qui a trop de glucose dans le sang peut avoir des comportements qui peuvent commencer par la déprime, passer par la mauvaise humeur, aboutir à la haine et à des crises où l’être n’a plus vraiment le contrôle de ce qu’il fait. Vécus de l’intérieur, cela peut paraître comme des moments de folie pure. Déprime et euphorie dans la même journée sont habituelles chez les déséquilibrés en glucose. Ainsi, l’effet bombe de ce que je vous raconte ne réside pas dans le fait que les sucres ajoutés et/ou blancs sont très nocifs pour la santé. Cela on le savait depuis longtemps. Le fait que tant de médecins nient ce processus est souvent dû à leur propre dépendance à ces substances.

Le scoop réside dans le fait que le sucre influence de manière négative notre bien-être, fausse notre système de perception, bref qu’il s’agit d’une drogue aux effets très pervers, notamment car on ne se rend pas compte qu’il s’agit d’une drogue.

Selon Starenkyj: “L’histoire de la folie est en train de s’écrire, étrangement parallèle à celle du sucre”. Elle cite Dufty William: “Aujourd’hui, les pionniers de la psychiatrie ortho-moléculaire, tels que les docteurs A Hoffer, Allan Cott, A Cheraskin et Linus Pauling ont confirmé que la maladie mentale est un mythe et que les désordres émotifs peuvent tout simplement n’être que les premiers symptômes de l’incapacité évidente du système humain à supporter le stress de la dépendance du sucre”. Dufty William - Le sucre, cet ami qui vous veut du mal - Edition Guy Trédaniel

Je vous recommande ce livre dont le titre original anglais est “Sugar blues”. Il nous raconte l’histoire du sucre qui est tout à fait hallucinante et passionnante. Il se lit comme un vrai roman. Le livre de Starenkyj “Le mal du sucre” est fabuleux pour ceux qui veulent avoir des arguments médicaux sur la question.

2> LE BLE

Le blé et surtout le blé blanc et industriel rend agressif et bloque la Conscience dans le cerveau gauche, celui du matérialisme, des peurs, et de la facilité. Ce principe est aussi valable pour tous les produits raffinés.

Petite info inédite lu dans La Lettre Touch Of Bio n°6, “Le blé aide le transit intestinal, mais il peut être irritant car il contient de l’acide phytique. C’est toujours à cause de la présence d’acide phytique qu’il faut manger le pain complet fermenté au levain et non pas à la levure, car seul le levain contient des phytases capables de dégrader l’acide phytique. En effet, l’acide phytique inhibe l’abosorption de divers sels minéraux. Le levain est donc indispensable lorsque l’on mange du pain complet, du moins, si on ne veut pas subir un effet de déminéralisation.”

3> LES PRODUITS LAITIERS

Ils sont une source d’épuisement du système immunitaire et facilite l’ostéoporose. Ils nous ramènent à l’état d’enfant au niveau de la dépendance affective et émotionnelle. Le lait est fait pour les enfants et encore, le lait des animaux n’est pas vraiment assimilable pour les organismes humains. Après l’âge de 5-7 ans, notre corps arrête de fabriquer l’enzyme (la lactase) qui est nécessaire à la métabolisation de la lactose qui est le sucre qu’on retrouve dans le lait. Même si le lait de chèvre s’assimile un peu mieux, le principe reste le même. De plus, les produits laitiers empêchent d’atteindre certaines fréquences et nous empêchent de recevoir des messages de notre “Soi Divin” de manière optimum. Dans l’Âge d’Or vers lequel nous nous dirigeons, l’idée est de vivre en Paix avec la nature.

Les animaux ont été mis en “baby sitting” sous la bienveillance des humaines, et regardez comment nous les traitons!

Nous sommes arrivés à créer un véritable enfer pour les animaux sur Terre Gaïa. L’Âge d’Or reposera sur une Règle d’Or évidente: “Ne pas faire à autrui” ce que tu ne voudrais pas qu’on te fasse!” Aimeriez-vous qu’on traie les femmes de cette planète et qu’on les enferment dans des enclos, aussi grand soient-ils?? Encore une fois, je vous détailles ce sujet dans “A la recherche du message des dauphins”, dans le chapitre “Mangez nature”.

4> LE SOJA NON FERMENTE.

Il sera l'un des plus grands scandales à venir! La sauce soja (soyu/tamari), le tempeh et le miso sont du soja fermenté, donc pas de problème. En fait, le soja contient un poison pour tout simplement exterminer lentement les espèces qui en mangent, notamment en déréglant profondément les systèmes hormonal, sexuels et immunitaires...La fermentation rend ce poison inoffensif. Par contre, le tofu, le soja cru et le lait de soja sont des vrais poisons. Sachez qu'ils enlèvent la volonté, dérèglent profondément le système hormonal, désancrent les personnes, fatiguent le système immunitaire. Vous rencontrerez beaucoup d'intégristes nouvel âge qui mangent du soja ou du tofu presque tous les jours qui sont complètement déconnectés de la réalité. C'est du genre: "Tout est super et si les enfants meurent de faim, c'est que c'est bon pour leur karma!". D'ailleurs, derrière le grand business du soja, on retrouve notre ami Georges B. et des firmes comme Monsanto et Pepsi-Cola, bref tous les amis qui se soucient tellement de notre épanouissement, de notre santé et de celle de nos enfants.

Croyez-moi sur parole au moins sur un point: pitié, pas de lait de soja aux enfants! Sachez aussi que les protéines du soja ne sont pas assimilables pour notre organisme et que le fait de manger du soja soit bon pour les femmes qui ont la ménopause est complètement faux!

La “Food and Drug Administration” (sorte de ministère de l’alimentation et des médicaments aux USA) n’a jamais accepté de donner au soja la mention “GRAS” (Generally Recognized As Safe) (en français: généralement reconnu comme sans danger). Le très sérieux magazine médical britannique “The Lancet” a fait état en 1997 d’une étude qui prouverait que le seul fait de boire deux verres de lait de soja par jour était suffisant pour perturber les cycles menstruels des femmes. De plus, cette même étude prouverait que, chez les enfants testés avec ces deux mêmes verres de lait de soja, la concentration d’isoflavones serait de 13.000 à 22.000 fois plus importante que la concentration normale d’oestrogènes. Les isoflavones peuvent empêcher l’ovulation, favoriser l’apparition de cellules cancéreuses et l’hyper-thyroïdisme dont les premiers symptômes peuvent être la léthargie.

Selon le Dr Mary G. Enig (Présidente de l’association des nutritionnistes du Maryland) “un bébé nourri avec du lait maternisé à base de soja reçoit l’équivalent en phyto-oestrogènes de ce que l’on recevrait si on ingurgitait 5 pilules contraceptives par jour! Cela entraîne une puberté précoce chez les filles et une maturation sexuelle retardée chez les garçons”. Certains moines Bouddhistes mangent du tofu pour faire baisser leur libido. Les autorités suisses de la santé recommandent un usage très limité du soja pour les bébés.la constipation, la prise de poids et la fatigue.

En Angleterre et en Australie, les agences publiques pour la santé demandent aux parents d’avoir l’avis d’un médecin avant de donner du soja à leurs enfants. Enfin, le ministère de la santé de la Nouvelle Zélande avertit que: “Les produits au soja ne devraient être utilisés que sous la supervision d’un professionnel de la santé … Les cliniciens qui traitent les enfants avec des produits à base de soja pour des raisons médicales devraient être conscients du potentiel d’interaction entre les produits pour enfants à base de soja et le fonctionnement de la thyroïde.”

Le fait que le soja soit une bonne source de protéines est tout simplement faux car il contient des inhibiteurs de trypsine qui entravent la bonne digestion des protéines et fatiguent le pancréas. De toute façon, mettons une fois pour toute quelque chose au clair par rapport à la rengaine “si tu ne manges pas de viande, ni de poisson, ni d’oeufs, ni de produits laitiers, ou vas-tu trouver tes protéines?” La réponse est simple. Il y a des protéines presque partout. Regardez sur vos paquets de céréales complètes et vous comprendrez vite de quoi je veux parler. Cette histoire de protéines est un mythe!

Les conséquences les plus impressionnantes de manger du soja non-fermenté touchent le cerveau. Il semble que les personnes mangeant, ne fût-ce que deux fois par semaine, une portion normale de tofu ont un rétrécissement accéléré de leur cerveau accompagné d’une diminution des fonctions cognitives. En clair, leur cerveau fonctionne moins bien. Les mangeurs de tofu et de soja cru font moins bien les liens entre les choses. Déjà en 1986, des études auraient prouvé que l’ingestion de soja peut mener à des sérieux problèmes neurologiques et entraîner des sérieux problèmes émotionnels allant de la mauvaise humeur jusqu’à la dépression chronique ou permanente.

Et pour terminer, sachez que les cultures massives de soja dans le monde ont des effets catastrophiques sur les paysans des pays du tiers monde.Ces derniers sont soumis à des régimes de rendements inhumains et les éventuels bénéfices que pourrait leur apporter le traitement du soja leur échappent car il est pris en main par les multinationales.

"On donnait du soja aux pilotes de bombardier, afin d’être sûr qu’ils soient bien insensibles, désancrés de la réalité.” Tiré des mémoires de Schmidt. Alimentations Dynamiques. Ed. Tryades.

5 >L'ALCOOL

Si l’on boit ne fût-ce qu’une gorgée de vin par jour, on est alcoolique. Se “bourrer la gueule” de temps en temps cause beaucoup moins de problème au niveau du développement spirituel mais un petit peu tous les jours (comme le conseillent les médecins pour le coeur) empêche un liquide Divin d’être fabriqué par notre cerveau. L’alcool, c’est LA drogue qui empêche l’éveil et renforce l’égo, surtout les égos spirituels.

La bière, le whisky et la vodka sont faits à base de céréales qui sont raffinées la plupart du temps. Ils vont donc donner au corps des doses de glucides rapides. L’un des effets de ces alcools est donc comparable au fait d’avaler beaucoup de sucre. A ces effets, il est nécessaire de rajouter les conséquences d’introduire de l’alcool dans le sang.

Le café et l’alcool obligent notre corps à relâcher ses réserves de glucides qui se trouvent dans le foie. On demande à son foie quelque chose alors que c’est notrefoi qui pourrait nous demander quelque chose. Je mixe exprès les mots foi et foie,car en plus, l’organe du foie est l’organe qui correspond à la foi.Et quant à ceux qui me diront: “Oui mais le vin n’est pas fait à base de blé raffiné”,Je leur répondrai que c’est vrai. C’est pour cette raison qu’il s‘agit quand même d’unmoindre “mal”. Cependant, le vin contient de l’alcool qui agit quand même commenous l’avons décrit plus haut.

Par pitié pour l’humanité, faites-moi confiance quant à l’importance capitale de ce chapitre. Je dis cela car l’immense majorité des êtres, consciemment sur un parcours “spirituel”, estime que ce qui compte avant tout, c’est l’esprit avec lequel on mange et pas ce que l’on mange. Cela est vrai dans une certaine mesure et nous y reviendrons plus tard. D’autres me diront qu’il suffit de positiver, d’énergétiser la nourriture pour la transmuter, afin qu’elle soit plus adaptée à nos vrais besoins. Même si ce principe est vrai, cette transformation nécessite beaucoup d’énergie et une grande faculté de focalisation. Une énergie et une attention qu’on pourrait utiliser à autre chose comme aimer ou créer! De plus, il faut être déjà très puissant et très avancé pour vraiment transmuter un aliment de manière efficace. Si de grands “maîtres” sont effectivement capables de transformer la nourriture par la force de l’esprit, soyons humbles de reconnaître que ce n’est pas encore le cas pour la majorité d’entre nous. En fait, je n’ai jamais rencontré un être capable de le faire. Si tu estimes en faire partie, va manger tous les jours au Mac X et tu verras bien les limites de tes pouvoirs.

Le fait que manger tel ou tel aliment soit relativement bon ou relativement mauvais pour la santé n’est pas un secret. Par contre, ce qui pourrait être une exclusivité pour certains, c’est que la manière dont on se nourrit influence directement notre bien être et notre équilibre émotionnel.

6> LE CAFE ET LE THE

Si notre ami prend du sucre dans son café, cela va lui faire l’effet que l’on connaît. Ce sucre va se déverser rapidement dans le sang et lui procurer son punch d’énergie. Mais en plus, la caféine (ou la théine dans une moindre mesure) va exciter les glandes surrénales qui vont produire de l’adrénaline qui va relâcher le glucose qui était stocké dans le foie. Il va donc y avoir un véritable shoot de glucose dans le sang. J’ai personnellement testé l’effet du café avec du sucre. C’est fou l’effet d’euphorie dans lequel cela peut vous mettre. Cependant dans notre corps, je peux vous dire que ce n’est pas l’euphorie du tout. L’alerte générale va être déclenchée! L’ordre de produire de l’insuline en grande quantité va être donné, afin de baisser le niveau de glucose dans le sang. Il va s’ensuivre un véritable choc insulinique qui va mener la personne à être en hypoglycémie. Cela peut donner des symptômes comme la fatigue, l’angoisse, les sueurs froides, la mauvaise humeur, le coeur qui bat plus vite, etc.

La nature est bien faite. Le café comme le cacao ont, dans leur état naturel, un goût infâme. Le fait de les chauffer en change le goût. Le café et le cacao sont des médicaments à utiliser dans des cas exceptionnels. Ce qui est giga nocif dans tous les chocolats, ce sont les sucres ajoutés qui s’y trouvent. Dans la majorité des cas, on yretrouve 50 % de sucre. Sachez quand même que le cacao est, entre autres, unaphrodisiaque puissant. Selon Steiner, le café agit sur le corps astral. Grâce à lacaféine, les effets du café font que notre système nerveux exécute de lui-même certainesactivités qui, sans cela, nous obligeraient à faire appel à une force intérieure.Le café, utilisé quotidiennement, nous met trop à la merci des forces de l’astral.

Cependant, comme toute chose, on peut ne pas diaboliser le café. Dans certaines circonstances, il peut nous aider comme n’importe quel médicament. Le café va en fait nous donner un grand pouvoir de concentration. Ceci peut être intéressant dans un moment bien précis. Seulement, celui qui en fait une habitude va être en permanence concentré dans la même direction et cela l’empêchera de se remettre en question. Et comme la remise en question et les changements de direction de la pensée sont des qualités essentielles du parcours “spirituel”, boire du café d’une manière habituelle freine le développement vers notre divinité. Comme nous l’avons déjà vu, il est important de se remettre en question car il y a toujours moyen d’évoluer, d’aller plus haut.

De plus, utilisée de manière exceptionnelle, la caféine ouvre le troisième oeil. Utilisée de manière habituelle, la caféine ferme ce même troisième oeil. Comme cet oeil magique est en train de se développer, boire du café quotidiennement bloque le développement de cet outil qui permet, entre autres, de voir la vie en dehors de la dualité. Quant au thé, on peut dire qu’il produit l’effet inverse sur la psyché humaine. Comme le dit très bien Steiner, “les pensées se dispersent dans tous les sens et s’éclairent…. Ce n’est pas par hasard qu’il s’agit de la boisson préférée des diplomates.” Il s’agit aussi d’un médicament à utiliser à titre exceptionnel. Si on en boit régulièrement, notre mental a tendance à partir dans toute les directions, sans en approfondir une en particulier.

7 > LE SEL AJOUTE

Nous avons besoin de sel. Seulement, encore une fois, on en trouve dans de nombreux aliments en quantité largement suffisante. De plus, notre corps est incapable de métaboliser les minéraux à leur état brut. Le sel ajouté qu’on ingurgite doit donc être éliminé et ne nous sert absolument à rien, si ce n’est à fatiguer notre système immunitaire et notre coeur. En effet, il rend notre sang plus dense, ce qui oblige notre coeur à battre plus vite. Ceci donne entre autres comme résultats, des effets opposés à ceux qu’on recherche par la méditation. En fait, il est impossible de manquer de sel, si on mange régulièrement des fruits et des légumes. Attention lorsqu’on mange des plats tout préparés ou des boites qui contiennent en général du sel et du sucre. Energétiquement parlant, le sel active notre pensée. Cependant, si nous en prenons trop, ce qui est le cas pour l’immense majorité des Occidentaux, il nous enferme dans notre tête et nous pensons alors tout le temps à notre passé, à notre futur ou à des présents imaginaires. On est enfermé dans sa tête. On se fait des films sur l’écran de sa conscience. Cet écran nous empêche de voir la réalité avec conscience. Cela nous emmène loin de l’ici et du Mains Tenants. Et c’est dans l’ici et Maints Tenants que le Divin nous tend la main. Enfermés dans notre tête, nous pouvons être pétrifiés par notre regard sur le passé comme le fut la femme de Loth.

“Le sel est le contraire du soufre. Nous savons que le sel conserve les aliments. Lorsque la propriété saline domine dans un corps, elle empêche donc la tendance expansive de se manifester, de créer de nouveaux mondes… L’inhibition, la cristallisation saline, tel est l’ennemi à combattre. Rappelons-nous ce qui arriva à la malheureuse femme de Loth quand, à la sortie de Sodome en flammes, elle se retourna nostalgiquement pour contempler la catastrophe, et se transforma en statue de sel; autrement dit sa vie tomba prisonnière de la propriété saline qui empêche la sortie de la lumière et le renouvellement de ce qui existe”. Initiation à la Kabbale – Haziel- Ed Bussière ISBN 285090 183 0

Le sel de cuisine constitue un fléau méconnu. D’innombrables études médicales ont montré qu’il joue un rôle primordial dans l’hypertension artérielle, qui provoque chaque année le décès de centaines de milliers d’humains. Plus nous mangeons de sel, plus la présence de celui-ci dans notre système circulatoire retient de l’eau et demande du travail à notre coeur pour faire circuler ce volume de liquide… Pour beaucoup de gens, le sel, comme le sucre, est devenu une véritable drogue. Il leur procure un coup de fouet passager qui est suivi, après une ou deux heures, d’un état de fatigue et de dépression psychique entraînant souvent une nouvelle prise de sel ou d‘un autre excitant pour retrouver sa forme. Regardez autour de vous et vous verrez que les personnes qui ne peuvent pas passer plus de deux heures sans consommer du sel ou du sucre sont légion. Elles regardent avec effroi les ravages de la toxicomanie chez ceux qui consomment des drogues illégales sans se douter qu’elles sont devenues elles mêmes des toxicomanes de l’alimentation industrielle. L’alimentation plaisir - Dr Christian Tal Schaller - Ed Vivez Soleil

8 > LES POMMES DE TERRE

Franchement avez-vous déjà remarqué que les personnes qui mangent trop de pommes de terre ont quelque chose en commun? Je ne parle pas de ceux qui enmangent de temps en temps, je fais référence à ceux qui en mangent trop, à ceuxqui en mangent quasi tous les jours. On est ce que l’on mange. Si l’on mange souventdes fruits, on se met à ressembler à un fruit. Logique! Si l’on mange souventdes pommes de terre, on se met à ressembler… à une patate. Logique! Je reconnaisque c’est un peu simpliste comme raisonnement, seulement je n’ai pas voulu mepriver de cette petite légèreté qui me fait rire chaque fois que je la relis.Franchement parlé, j’ai expérimenté des régimes sans pomme de terre et desrégimes avec beaucoup de pommes de terre tous les jours. Je peux vous dire que ladifférence est flagrante. Trop de pommes de terre nous rend lourds, non créatifs,matérialistes et stupides. La pomme de terre ne fut elle pas la base de l’alimentationdes soldats? Ainsi, j’ai été émerveillé d’en trouver une raison spirituelle, encore une fois chez mon ami Rudolf Steiner..

“Quand l’homme complète son régime par des pommes de terre en quantité mesurée, il ne fait pas de doute que celles-ci sont bénéfiques… Mais la pomme de terre contient énormément d’amidon, lequel doit absolument se transformer en sucre chez l’homme…Je vous l’ai déjà dit: quand l’homme mange trop de pommes de terre, sa tête doit faire obstacle à la fermentation. Voilà pourquoi les hommes qui mangent trop de pommes de terre et qui, de ce fait, imposent à leur tête une tâche écrasante pour maîtriser la fermentation de la pomme de terre, deviennent faibles d’esprit. S’affaiblissent notamment les parties centrales du cerveau, il ne reste que les parties antérieures du cerveau qui se donnent peu de mal pour s’opposer à la fermentation de la pomme de terre. Et c’est précisément parce que la consommation de la pomme de terre a pris dans les temps modernes une extension considérable qu’est apparu le matérialisme, qui est un produit du cerveau antérieur”.

Rudolf Steiner - Alimentation et développement spirituelEditions Anthroposophiques romandes.

9 > LA NICOTINE

La nicotine est un aliment vu qu’on l’ingurgite. Elle crée des dysharmonies dans nos corps énergétiques qui rendent une grande partie du travail Alchimique Divin impossible. Ceci est aussi valable pour le tabagisme passif. En outre, notre corps réagit à l’agression de la nicotine qui est un poison, comme à une agression physique. Il produit de l’adrénaline qui va libérer les réserves de glucose qui se trouve dans le foie et dans les muscles. Cela procure un effet agréable mais de courte durée car une fois les réserves épuisées, c’est le manque… Tremblements, sueurs froides, angoisse,déprime ou colère. Ce qui amène souvent à l’envie de refumer, de boire du café, de manger du sucre et de boire de l’alcool. Et c’est la spirale infernale. que l’on peut arrêter en mangeant des fruits. De plus, la nicotine casse les petites montées de kundalini qui sont en train de faire rentrer le principe féminin dans nos corps.

“Chaque cigarette diminue l’espérance de vie de cinq minutes. En fait, l’une des raisons principales pour lesquelles les gens fument est qu’ils souffrent de carence cérébrale en oxygène. Leur tension psychique et l’abus d’aliments trop riches entraînent une diminution de la respiration et un trop faible apport d’oxygène aux cellules cérébrales. Or, la nicotine est un puissant stimulant de la respiration. Après quelques bouffées de cigarettes, on respire mieux et le cerveau retrouve pour un instant ses fonctions normales. Malheureusement, la cigarette provoque aussi une forte baisse de la vitamine C dans le corps, ce qui crée un état de fatigue et de diminution de la respiration qui pousse le fumeur à augmenter sans cesse sa consommation de nicotine. On retrouve le même drame qu’avec l’alcool, le sel ou le sucre raffiné. Plus on consomme de ces substances, plus elles créent des carences qui nous poussent à les utiliser davantage avec des conséquences de plus en plus marquées sur notre bien être et sur notre santé. Trop souvent, les gens qui s’arrêtent brutalement de fumer sans suivre une stratégie d’amélioration de leur état général troquent une toxicomanie contre une autre. Ils deviennent boulimiques, obèses ou alcooliques et leur problème fondamental, qui est la dépendance n’est pas résolu. Ils ont simplement changé le nom du produit dont ils sont toxicomanes!” L’alimentation plaisir - Dr Christian Tal Schaller

10 > LA NOURRITURE CRUE !

Oui il est aussi très important que je vous touche un mot sur la nourriture crue ! En effet, dans les évangiles apocryphes de la mer morte, les Esséniens insistent très fort sur le fait de se nourrir uniquement de nourriture qui provient de la “table des dieux”.

Cela signifie de ne manger des aliments que dans leur état naturel, c. à d. crus, sans produits chimiques et sans sauce/sel/poivre pour en modifier le goût. Les aliments qui se trouvent sur la table des dieux, sont ceux que les “humains dieux” mangent pour arriver à avoir assez d’énergie vitale pour créer. Je vous parle en profondeur de la nourriture crue dans “A la recherche du message des dauphins” donc je ne vais pas m’étendre là-dessus. Sachez seulement qu’à la base, nos corps ont la formule chimique pour digérer, pour métaboliser tout ce qui se trouve dans la nature dans son état naturel et pas pour le reste. Dès qu’on chauffe un aliment à plus de 40°-45°est la température maximum de la vie, on tue la majorité des vitamines, et l’on rend inopérantes les enzymes qui servent à la digestion. Notre corps doit alors fabriquer lui-même ses enzymes ce qui le fatigue énormément car cela lui prend beaucoup d’énergie. Plus on cuit la nourriture, plus ce phénomène s’accentue. Ainsi, arrivé à un certain stade de cuisson, un repas uniquement cuit peut demander plus d’énergie à être digéré qu’il n’en apporte dans nos corps car la majorité de la nourriture doit être tout simplement éliminée car il s’agit d’un corps étranger, dont ils n’ont pas la recette chimique pour le métaboliser. Ce qui se passe avec les enzymes et les vitamines n’est pas la seule raison de cet état de choses. Le vrai défi pour nos corps, ce sont les molécules de Maillard.

Maillard avait découvert que lorsqu’on chauffe une molécule à une température plus haute que la température de la vie (40°-45°), les molécules changent tout simplement de forme. On pourrait métaphorer cela comme une clef qui changent légèrement de profil. Certaines ont du mal à rentrer dans leurs petites “cases-serrures”, d’autres y arrivent mais risquent de se casser. Bref, les molécules de Maillard vont créer une sorte de réaction en chaîne de disharmonie dans tout le corps.

Manger cru est donc le top des tops! Si vous êtes malade, mangez cru pendant un jour ou deux et vous verrez que vous irez rapidement mieux. Mais attention! Après plus ou moins 3 jours de cru, votre corps va tellement aimer cela, qu’il va commencer par remplacer toutes les molécules de votre corps. Cela s’appelle une période de détoxination. Cela peut être extrêmement fatiguant donc, évitez d’aller jusqu’à la détoxination à moins de vouloir passer au cru. Ne vous lancez pas dans une détoxination si vous êtes dans une période fatiguée de votre vie. Il est largement préférable de manger cru que de faire des grands jeûnes. En tout cas si vous voulez vous lancer dans le processus d’arrêter de manger des matières solides, je vous conseille vivement de passer par l’étape du cru. Si vous voulez en savoir plus, rendez-vous dans “A la recherche du message des dauphins”.

“Peut-être ne faudrait-il justement pas manger les aliments qui ne sont pas mangeables sans cuisson!” Gandhi.

Si un aliment sent et goûte bon, c’est qu’il est juste de le manger. Ceci est la base de l’instinctothérapie dont je vous parle abondamment dans le livre des dauphins. La nature est bien faîte. Elle nous protège de ce qui n’est pas assimilable au mieux par notre organisme. Le problème lorsqu’on chauffe les molécules, c’est qu’elles changent de goût et trahissent alors nos gardes du corps que sont le goût et les odeurs.

“Ainsi, l’homme s’est complètement éloigné de la nature. En effet, aucun animal sauvage ne boit, à l’âge adulte, le lait d’un autre animal, ne mange de céréales grillées n’absorbe d’aliments cuits.” Tiré du livre très précieux pour les médecins ou personnes qui veulent avoir des arguments scientifiques. Dr. Jean Seignalet. L’Alimentation ou la Troisième Médecine. Editions FX De Guibert.

11> ETRE VEGETARIEN.

UN CHOIX D I É T É T I Q U E , MORAL, MAIS SURTOUT P O L I T I Q U E ET SOCIAL .

“Rien ne sera plus bénéfique pour la santé et n’augmentera plus les chances de survie sur la Terre que l’évolution vers un régime végétarien.» Albert Einstein.

“Les dieux ont créé certains genres d’êtres pour faire resplendir nos corps... ce sont les arbres, les plantes et les graines.” Platon.

“Tous les êtres tremblent avant de devoir affronter la violence. Ils ont tous peur de la mort. Ils aiment tous la vie. Mettez-vous à la place des autres! Si vous y arrivez, vous ne serez plus capable de faire du mal à autrui.» Bouddha.

“Les plus hauts royaumes de la pensée sont impossibles à atteindre sans d’abord arriver à un certain niveau de compassion.” Socrate.

“Tant qu’il y aura des abattoirs, il y aura des champs de bataille. Le régime végétarien est une épreuve concluante d’humanitarisme.” Léon Tolstoï.

Introduction

Note AM : Je vire ci-dessous de gros morceaux de l'article originel, études biaisées, arguments non rationnels ou volonté de résumer. Le débat viande ou pas est entâché de malhonnêteté de part et d'autres, je m'en tient à Harmonyum qui dit que nous devons manger des protéines animales en faible quantité.

Les humains ne sont pas des carnivores…

Le Docteur G. S. Huntingen de l’université de Colombia a prouvé par ses travaux d’anatomie comparée que le corps n’est pas adapté à la consommation de viande. Le principe est archi-simple à comprendre. Les animaux carnivores possèdent un gros intestin et un intestin grêle relativement courts. Par contre, les animaux végétariens et les humains ont un gros intestin et un intestin grêle beaucoup plus longs. Il mesure un peu plus de 8 mètres de long.

Cela s’explique par le fait que comme la viande est pauvre en fibres et en substances nutritives diverses, tous ses éléments sont rapidement absorbés. Il n’est donc pas nécessaire qu’ils fassent un long parcours, donc un long séjour dans les intestins. Les complications surviennent lorsqu’un être doté d’intestins relativement longs ingurgite de la viande. Je fais bien sûr ici allusion à nous, les humains. La viande reste longtemps dans les intestins et pour peu qu’on ne l’élimine pas d’une manière optimale, elle se putréfie et peut ainsi produire des toxines. Ces toxines fatiguent le foie, ce qui facilite les cirrhoses et les cancers du foie. Ces mêmes toxines peuvent aussi jouer un rôle important dans le cancer du colon.

La version des maîtres

“(…) Il faut veiller avec le plus grand soin à n’apporter au corps ni trop, ni trop peu de protéines. Il faut à tout prix trouver la juste mesure en ce domaine. Car dans la digestion, les substances protéinées correspondent à ce qui se passe dans l’activité pensante quand s’élaborent des représentations. L’activité qui féconde la pensée, c’est la même que suscitent les protéines dans la partie inférieure de l’organisme. Que celles-ci soient apportées à l’homme en trop grande quantité et il se produit un surplus de ces forces qui, dans l’activité métabolique, inférieur, correspondent à ce qui, dans le pôle supérieur, produit les représentations. Mais l’homme doit de plus en plus devenir maître de ses représentations. Voilà pourquoi l’apport en matières protéinées doit rester dans certaines limites, faute de quoi l’homme succombe à une activité représentative dont précisément il faudrait qu’il se libère. C’est ce que Pythagore avait en tête lorsqu’il disait à ses disciples: gardez-vous des haricots !”

Rudolf Steiner, «Alimentation et Santé», Éditions Anthroposophiques Romandes

Conséquences

Parcourons maintenant ensemble quelques-unes des conséquences du choix de manger de la viande.

Les conséquences du choix de manger de la viande sur l’économie des pays du Tiers-Monde.

Notre demande sans cesse croissante en viande nous pousse à en importer des pays du Tiers-Monde.

Dans un premier temps, forts de nos devises, nous faisons augmenter le prix de la viande uniquement par la loi de l’offre et de la demande. Dans un deuxième temps, nous faisons augmenter le prix des céréales, car de moins en moins de paysans veulent les cultiver, moins rentables que l’élevage. Les céréales augmentent encore car la demande de céréales pour nourrir le bétail augmente, ce qui va encore faire augmenter le prix de la viande, que même les gouvernements de ces pays préfèrent vendre aux pays "industrialisés" parce que cela fait rentrer des devises.

“Depuis 1960, on a coupé et brûlé 25 pour cent de la forêt équatoriale afin de créer de la pâture pour le bétail. D’après une estimation, 100 grammes de hamburger, provenant du bétail de la forêt équatoriale, détruit 16,5 mètres de forêt. De plus, l’élevage est un des premiers responsables de la production des 3 gaz qui provoquent le réchauffement de la Terre; il est la cause première de la pollution des eaux. Un demi hectare d’avoine apporterait huit fois plus de protéines et vingt cinq fois plus de calories, si cet avoine était destiné à l’homme plutôt qu’au bétail. Un demi hectare de brocolis apporte dix fois plus de protéines, de calories et de (…) que la même surface de terre destinée à la production de la viande. Aux États-Unis, le bétail consomme 70% de la production totale de céréales. Si on nourrissait les hommes à la place du bétail, plus personne n’aurait faim.”

«La Clé de l’Illumination Immédiate», Maître Suprême Suma Ching Hai.

Les conséquences du choix de manger de la viande sur notre santé et notre bien-être.

La principale source de prana, c’est le soleil.

Les plantes l’emmagasinent, et en les mangeant, les êtres humains et les animaux se remplissent d’énergie vitale. Lorsque nous mangeons à notre tour des êtres du règne animal, nous absorbons du prana, mais de seconde génération. Le prana étant fondamental pour notre équilibre énergétique, nous nous nourrissons bien mieux avec du prana de première génération.

L’adrénaline des animaux qu’on ingurgite.

Manger de la viande agit directement sur notre système nerveux et hormonal. Dans les abattoirs, les animaux font souvent la file plusieurs heures, à regarder leurs semblables se faire abattre un par un (souvent en leur enfonçant un clou dans la tête). Il arrive aussi que le bétail de gros gabarit soit sorti des camions à l’aide d’une grue, qui lâche ensuite les bêtes sur un tapis roulant, d’une hauteur suffisante pour qu’elles se cassent les pattes. La peur engendre chez tous les êtres vivants un surplus d’adrénaline.

Manger ces animaux tués de manière industrielle, c’est manger leur adrénaline, leur stress, et beaucoup de toxines.

Manger un biftek rend agressif (fait ressortir le principe de la compétition, de dominer l'autre, sans compter les hormones de synthèses encore présentes dans la viande qui agissent sur notre corps et nos émotions). Un bifteck met plusieurs jours à être complètement digéré. Être végétarien, c’est aussi goûter au plaisir de sentir son corps léger.

Digérer "pompe" beaucoup d’énergie (70 %) qu’on ne pourra pas utiliser pour autre chose, notamment le cerveau. Il faut plus d'énergie pour digérer de la viande. Après un grand repas, on a des difficultés à se remettre au travail, ou à faire de gros efforts intellectuels.

N’oubliez pas que le corps a des facultés magiques. Une de celles-ci est son pouvoir d’adaptation. Si vous changez vos habitudes, pour une nourriture équilibrée, votre corps et votre esprit s’habitueront très vite et vous diront merci de multiples manières.

Conclusions Paradoxales.

Arguments importants pour soutenir ceux qui ont envie de continuer à manger de la viande !

Nous sommes tous à des stades d’évolution différents. Ce qui est bon pour monsieur X ne l’est pas forcément pour monsieur Y. Le plus important, c’est que vous fassiez ce que vous sentez au plus profond de votre âme. L’être humain passe par plusieurs stades d’évolution. À chacune de ces étapes, il a développé des parties de lui-même bien précises. Il était important que nous développions en nous les représentations mentales.

Nous en avons toujours besoin, bien que nous ayons aujourd’hui tendance à en être prisonniers.

“Prenez l’exemple d’un homme qui s’est depuis peu converti au végétarisme. Chez ce végétarien de récente date, l’activité du pôle inférieur se déroule d’une manière bien précise. Certaines forces matérielles se transforment en forces spirituelles. Mais si elles restent inemployées, elles ont une action néfaste et peuvent même porter préjudice à l’activité cérébrale. Celui qui n’a d’autre occupation que celle de banquier par exemple, ou de stratège en chambre, peut ainsi se faire beaucoup de tort s’il ne forme en lui des représentations spirituelles au moyen des forces que son mode de vie végétarien lui permet d’épargner. Il faut donc que le végétarien passe en même temps à une vie spirituelle, sinon mieux vaut qu’il continue à manger de la viande; sa mémoire pourrait se détériorer, certaines parties de son cerveau être endommagées, etc… Il ne suffit pas de se nourrir de céréales pour voir s’ouvrir devant soi les sphères les plus élevées de la vie de l’esprit. (…) L’homme doit à une alimentation végétarienne de pouvoir élever son regard jusqu’aux grandes relations entre les choses, lesquelles le placent au-dessus des préjugés nés des limites étroites de son existence personnelle. Partout où l’homme part d’une vue d’ensemble pour ordonner librement et sereinement sa vie et son (mode de pensé N.D.A.), il doit cette vision globale au rapport alimentaire qu’il entretient avec le monde des plantes. Là où l’homme se laisse entraîner par la colère, l’antipathie, les jugements tout faits, il le doit à la nourriture qu’il prend dans le monde animal. Il n’est pourtant pas question ici de militer pour une nourriture végétarienne. Au contraire : la nourriture carnée était nécessaire à l’homme et l’est encore à bien des égards, parce que l’homme devait avoir les pieds solidement plantés sur terre, devait être ancré dans sa personnalité. Tout ce qui a conduit l’homme à cultiver ses intérêts personnels est lié à la nourriture carnée. S’il y a eu des hommes pour faire la guerre, pour avoir les uns vis-à-vis des autres de la sympathie et de l’antipathie, des passions sensuelles, la cause en est à l’alimentation carnée. Mais si l’homme ne s’est pas égaré dans les intérêts les plus mesquins, s’il est capable de concevoir des intérêts généraux, il en est redevable aux rapports qu’il entretient avec le monde des plantes quant à la nourriture.”

Rudolf Steiner, Alimentation et Santé, Éditions Anthroposophiques Romandes

SE NOURRIR DE LUMIERE

La dictature des mondes de la finance qui est en train de s’installer sur terre Gaïa a pour objectif de renvoyer dans les champs tous les alternatifs, de réserver les villes à ceux qui vendent leur âme pour travailler pour ce système qui hypothèque l’avenir de nos enfants, et d’affamer tous ceux qui ne servent à rien à ce même système. Ainsi, on peut aisément comprendre que chaque situation a toujours des avantages. L’avantage de ce complot pour affamer les peuples, c’est d’attirer les peuples vers la voie de sa libération : ne se nourrir plus que de Lumière !

CONCLUSION

Si vous avez bien lu, vous comprenez le fonctionnement du cercle vicieux sucres ajoutés, café, alcool, nicotine. L’un entraîne l’autre. Cela produit un cercle d’interdépendance infernale qui, je le répète, est l’une des causes les plus importantes de nombreuses maladies modernes.

L’idée n’est pas d’arrêter toutes ces substances d’un jour à l’autre. L’idée est de ne pas en être accro et donc de tendre vers le fait de ne pas en ingurgiter plus d’une fois par semaine. Seulement-mettez vous bien une chose en tête: votre vraie vie créatrice, affective, sexuelle et émotionnelle commencera vraiment à s’améliorer le jour où vous ne consommerez plus ces aliments à moins que ce ne soit à titre occasionnel du genre maximum une fois par semaine. Elle décollera encore plus, lorsque vous arrêterez complètement. J’insiste particulièrement sur l’alcool, le café, le thé, la nicotine, les produits laitiers et les sucres ajoutés. Si vous en consommez quasiment tous les jours, ne vous leurrez pas… Ce serait comme passer ses journées à construire une maison et ses nuits à la détruire.

L’exploration de votre vie Divine commencera vraiment, lorsque vous vous libérerez de ces chaînes! Seulement allez-y en douceur, le sevrage est quelque chose de violent pour le corps. Quoi qu’il en soit, ne culpabilisez pas non plus. On y arrivera tous et toutes un jour. Si vous consommez l’un de ces produits quotidiennement, au moins profitez-en!

Il faut adapter son alimentation à son niveau spirituel et ne pas croire que juste changer d’alimentation va tout changer. Ce qui change tout, c’est la remise en question du travail alchimiste intérieur et les expériences que notre âme ose faire ou ne pas faire!

Dans la remise en question de son alimentation, il ne faut surtout pas mettre la charrue avant les boeufs car cela provoque l’effet contraire que de se rapprocher desa Nature Divine. L’idée est d’harmoniser notre alimentation avec notre niveau spirituel et de ne pas tomber dans le piège que c’est l’alimentation qui va nous faire augmenter notre “niveau spirituel”. Bien sûr, l’alimentation peut nous accompagner dans notre élan, mais elle ne peut pas faire toute seule le travail alchimique. Si c’est notre alimentation qui est le moteur principal de notre état, cela devient une source de dépendance et non de liberté. Il est aussi important de ne pas s’interdire des écarts si on en a vraiment envie. Une fois, une grosse dose, de temps en temps, est bien moins aliénante qu’un petit peu tous les jours. En fait une grosse dose de temps en temps si, et uniquement si on en crève d’envie n’est pas aliénant du tout. Au contraire, cela peut même parfois donner un coup de fouet à nos différents corps, afin qu’il ne s’endorment pas eux aussi dans une monotonie. Ce qui est très “aliénant” c’est ce que l’on fait ou ce qu’on ingurgite tous les jours. Le mot “aliénant” n’est pas excessif car il s’agit vraiment d’une autre Conscience qui s’installe dans nos corps.

Steiner insiste sur le fait qu’il “faut toujours tenir compte de la grande influence qu’exercent en général de petites quantités de substances sur le développement de l’être humain”. Ceci est l’abc de l’homéopathie. Une toute petite quantité d’une substance suffit à donner l’information au corps et y apporter l’Esprit qu’elle contient.

La nourriture peut beaucoup aider pour faire monter notre niveau de vibration, notre niveau de bien être et surtout notre niveau de conscience. Je ne vous demande pas de me croire sur parole. Par contre, je vous mets au défi de faire vos propres expériences grâce au tableau présenté à la suite de cette conclusion.

Je vous répète que ce qui est important et au-dessus de tout avec l’alimentation, c’est de ne pas avoir d’habitudes. Je ne le répèterai jamais assez: les habitudes sont… le lecteur ou la lectrice en coeur: “les habits qui tuent”. Nos corps ont besoin de diversité. La routine tue la vie qui est changement.

“Que l’alimentation soit le premier de tes médicaments” nous disait Hippocrate.

Je suis 100 % d’accord. Et je rajouterais que lorsque l’on abuse d’un médicament, il se transforme en poison.

Je ne suis absolument pas d’accord avec la logique de ce livre à grand succès qui associe régime alimentaire et groupe sanguin. Ce livre ne tient absolument pas compte de la personnalité de l’âme qui a, elle aussi ses préférences. De plus, les auteurs de ce livre ont une éducation alimentaire très pauvre et ils sont eux-mêmes coincés dans un esclavage alimentaire primaire. Ils ne mettent même pas les gens en garde contre les produits laitiers, les sucres ajoutés, les produits raffinés, l’alcool, sans doute car ils sont eux-mêmes accros à ces drogues duresqui empêchent les Occidentaux de s’éveiller.

Pour arriver à distinguer quels sont les effets de tel ou tel aliment sur notre organisme, il est d’abord nécessaire de faire une cure de minimum 21 jours sans la substance que nous désirons tester. C’est seulement une fois nos corps sevrés, qu’il sera possible d’en réaliser les effets en en mangeant à nouveau. C’est seulement à ce moment là que l’on peut prendre conscience de l’effet énorme qu’ont les aliments sur nos corps, sur notre état émotionnel, sur notre bien-être et sur la sensibilité de notre système de perception.

Un autre truc giga méga important, c’est de ne pas manger lorsqu’on a le cafard ou lorsque l’on est énervé. Si nous mangeons de mauvaise humeur, nous mangeons cette mauvaise humeur et la nourriture se transforme alors en véritable poison.

Il est essentiel d’être le plus présent possible lorsqu’on mange et de nous concentrersur le goût et l’effet des aliments dans notre corps. L’idée de base, c’est de mâcherles aliments jusqu’à ce qu’ils n’aient plus de goût. Je sais que cela ne plaira pas àbeaucoup de monde, seulement l’habitude de parler en mangeant est vraimentune habitude giga densifiante, voire nocive dans certaines circonstances.

On mange nos mots et nos émotions en même temps que la nourriture. Evitons aussi de manger en regardant la télé ou en conduisant une voiture. Nos corps ont besoin que nous mettions notre attention sur la nourriture. Ceci est très important! Alors comme l’aspect “social bouffe” est difficile à éviter, faisons des pauses, parlons et puis mangeons. Profitons-en pour éduquer notre interlocuteur à l’une des plus mauvaises habitudes de l’Occident: parler en mangeant.

Rudolph Steiner disait dans une conférence en 1923: “Et l’on en arrive à ce que je répète toujours aux gens. Ceux-ci, n’est-ce pas, viennent et demandent: est-il préférable de boire de l’alcool ou vaut-il mieux ne pas en boire? Vaut-il mieux être végétarien ou manger de la viande? Je ne réponds généralement jamais s’il faut renoncer à l’alcool ou s’il faut en boire, s’il faut se nourrir de végétaux ou de viande, mais je réponds: l’alcool agit de telle ou de telle façon. Je fais simplement part de la façon dont il agit. A eux de se décider entre boire et ne pas boire. Je me comporte également ainsi pour ce qui est des nourritures végétales et animales. Je dis: la viande agit ainsi, les plantes agissent ainsi. L’homme peut ainsi décider librement. Voici l’attitude dont la science devrait faire preuve: le respect de la liberté de l’homme. De façon à ne pas laisser apparaître le sentiment que l’on veut imposer ou interdire quelque chose à l’homme, mais qu’on lui dit les faits. Lorsqu’il sait l’action de l’alcool, il en vient de lui-même à ce qui est bon. C’est ainsi que nous avançons. Nous en arrivons à ce que les hommes libres puissent eux-mêmes trouver leur chemin.”

Alimentation et développementspirituel - Edition Anthroposophiques Romandes

Gena P., prânique depuis 1993

Texte écrit le dimanche 12 février 2012, issu de cette source.

Oui il est possible de vivre, de se nourrir que de Lumière.

Cette expérience s’est imposée naturellement.

Maintenant je sais avec le recul comment cela s’est imposé naturellement.

Je méditais avant de commencer ma journée en 1993.

Quand je dis méditer cela veut dire me connecter à la Source matrice de la Terre (pour l’ancrage) puis à la Source Céleste (source d’Amour).

Je l’appelai la Double connections de la Connection.

Mes intentions étaient de me laisser remplir au fur et à mesure que mon ancrage à Gaïa s’établissait.

Me remplir, me nettoyer, me purifier, me guérir, m’enseigner et me nourrir puis transférer mon énergie à Gaïa et tout autour de moi sur des kilométres à la ronde.

C’est ainsi que peu à peu des pavés de savoir remontèrent en moi quand je fus prête à les conscientisser. C’est ainsi que peu à peu s’ouvrit mon champ de conscience et de compréhension et que je m’ajustai aux énergies extérieures terriennes ou extra terriennes.

Une guidance intérieure (sorte d’intuition au début gagna le pas).

Puis cette guidance augmenta pour devenir un câblage, une connection large, sûre et sur de nombreuses interfaces (modes et mondes).

Je reçu des enseignements de pensées, des modes, des infos parfois très techniques, et des mots nouveaux que maintenant je retrouve ici et là à travers des transmissions établies par d’autres sur la toile et c’est rassurant (cela me conforte de la nature des choses nouvelles qui m’ont été transmises longtemps en arrière et qui deviennent quasiment naturellement admises pour beaucoup plus de consciences).

Reconnaissante envers l’univers de tout ce qui m’est offert de comprendre (car je n’aime pas m’adonner à la lecture, sauf pour étudier et passer mes diplomes).

Consciente qu’il m’est possible maintenant d’aider gratuitement tous les êtres que l’univers me fait croiser sur ma route. J’insiste gratuitement car ayant reçu tout gratuitement, je trouve logique de ne tirer profit de rien ni de personne.

Notre rôle à tous étant de faire de nous des êtres libres, complets, riches de palettes, et indépendants, tout en étant inter-connectés soi-même entre nous-même et avec l’Univers, sur la fréquence la plus harmonieuse qui nous est permise d’intégrer et de maintenir à son taux le plus haut sur le mode de la constance.

Nous sommes amenés à devenir en quelques sortes des voyageurs intemporels et c’est magnifique, du moins le peu que j’en ai vu !

Je sais que tout ce que j’ai compris, ne peut être divulgué à tous vents et à n’importe qui…

Je sais aussi que le champ des consciences travaillées, en ce moment plus que d’habitude, permettra la Compréhenssion et l’acquisition d’une nouvelle Sagesse, puis d’embrasser de nouveaux modes de fonctionnement dans la joie et sans aucun appréhension, car la peur ne fait pas partie du mode opérant d’un futur qui dans la réalité en cours se trouve déjà là, prêt à s’intégrer dans cette réalité, en fond de toile (transition actuelle).

Ajustement, calibrage, résonance, radiance, aimante, opérante, co-opérante, oeuvrant… équilibres des forces et des niveaux, kha, reliance… bref une pléiade de mots qui à l’époque en 2000 semblaient sortir d’un registre syntaxique peu populaire.

Que m’importe d’où tout cela me vient (rarement ils sortent leurs cartes de visite : « Salutation, nous sommes le collectif de… et notre système est à une année lumière du votre… »).

C’est longtemps après qu’un nom s’impose à la conscience ! Shamballa, Kha collectif…

Sauf pour Mickaël Archange qui fut vite identifié quand il me remit l’épée en présence de Gabriel Archange (rêve éveillé, juste après m’être réveillée d’une belle et bonne nuit de sommeil réparateur).

Oui, connaître leurs pedigree, cela m’était égal.

J’ai eu d’entrée une réelle confiance.

Et ne me suis jamais dit : tu es dingue, ma fille, l’asile c’est la seconde à droite !…

Et je n’avais pas envie non plus d’en parler à quelqu’un, car je pensais que tout le monde était comme moi (branché naturellement) !

D’ailleurs, les maîtres de consciences, car s’est ainsi que je les appelle, qu’ils viennent de fréquences hautes ou moins hautes, fonctionnent en relation, en partenariat, pour former des collectifs.

J’appris aussi pour les avoir visité que les moyens de transports que nous nommons OVNI, sont pour ceux qui sont alignées sur de très hautes fréquences, composés de différents et synchrones véhicules de Lumières et que la réunion de ces différents corps, donc de champs de lumière qui englobent des consciences unifiées, créent un collectif, et donc un champ unifié permettant de braver les lois physiques de notre terre jusqu’à un certain niveau de fréquence.

La Terre est dense encore pour eux et cela plombe leurs fréquences, donc ils doivent restés à une certaine altitude requise.

Bref, leurs véhicules sont vivants, matriciellement vibrant.

Que le plasma stellaire existe et que, incorporé dans un collectif, donc dans un champ du collectif, cela crée une interface de navigation stellaire comme le fait un peu nos GPS, sauf que le plasma stellaire intégré dans le champ de lumière collective, devient inter-communicatif, aligné sur la fréquence de la pensée du collectif lui même..

On pourrait croire que le plasma est vivant.

Oui et non.

Il suffit de penser là où l’on veut aller pour que le plasma nous dessine un plan de vol ajusté à la pensée du collectif naviguant.

Pour une conscience humain cela relève un peu de la SF.

Mais ayant vécu le temps d’une expérience dans un champ collectif, ayant été appelée à m’y joindre en tant que visiteur, pour comprendre quelque chose de particulier, et notamment ceci, que les autres vaisseaux solides fait d’une structure dense, émanant des champs de fréquences moins hautes sont amenés à se crasher ici sur terre si une défaillance ou une interférence survient.

On s’est éloigné du sujet ?

Non pas vraiment !

Se nourrir de lumière, suite à de nombreuses doubles connections, ont permis à mon champ d’énergie (Merkhaba) à augmenter sa fréquence.

Tous mes ordinateurs ou appareils sensibles (téléphones…) bugguaient ou plantaient. J’ai donc du apprendre à me familiariser et à les ajuster en fonction de ce que j’avais à faire.

Mon potentiel de guérison spontanée s’en est trouvé activé aussi ensuite. En 1996, j’expérimentais ce nouveau attribut pour soulager les douleurs des autres.

Mais le plus grand défi a été d’enrayer une maladie orpheline (l’endométriose) dont je souffrais extrêmement au point d’arrêter de travailler pendant 10 ans et me suffire du RMI pour m’adonner à la guérison et à la compréhension de moi-même surtout. Car si je pouvais soulager ou réparer les bobos des autres, alors pourquoi ne pas avant tout s’occuper du mien ?

Cela est loin maintenant et qui l’aurait cru ?…

Surtout pas les médecins qui me disaient que si j’arrêtaient les traitements, je finirai pas avoir un anus artificiel apposé sur l’hyponcondre droit !… (la peur était une arme redoutable, dont eux-même, n’avaient même pas conscience !)

Mais sans la double connections faites au cours de mes méditations, je n’aurai pas pu me retrouver et agir dans le fond des choses, au niveau de mon âme, car l’endométriose trouvait son étiologie dans mon baggage mémoire atmique.

Du coup je me sers de mon métier d’infirmière pour prodiguer et diffuser cette énergie que je nomme énergie d’Amour puisqu’elle me remplie, m’a guéri et me nourrit.

Convaincue maintenant que la Médecine ne peut pas tout soigner, voir le contraire même parfois (pollution et dérèglements post thérapeutique – effets secondaires…), bref, sans dénigrer, je reste réaliste et préfère faire les pansements, les toilettes, les aspirations bronchiques et les prélèvements, étant contre les traitements chimiques, vaccins… contre tout ce qui dénature la nature de nos corps bridés géniquement temporairement pour qu’ils dépérissent dans un espace temps limité.

Mais tout cela change et j’en suis la preuve vivante.

Nos corps peuvent s’auto-regènerer.

Nos corps reçoivent, par les soins de la Lumière, les nouveaux codes d’activations.

Et les infimes cristaux que notre corps renferment y sont pour beaucoup.

La médecine va découvre prochainement la présence de micron cristaux (hématites au niveau de notre sonar – 3ième oeil -, quartz particules dans le champ aurique et au niveau du coeur…).

Des découvertes en physique quantique (les fréquences encodées dans les crop circles et leurs origines…).

Les orbes, pourquoi sont-elles visibles maintenant ?…

Mais revenons à nos moutons !

La connection doit être toujours vérifiée car une seule pensée négative, un jugement, une attitude basse interrompe la Connection. Alors le champ se rétrécit, la fréquence baisse (bref je redevenais comme avant et étais obligée de combler les manques par des apports basiques pour palier à l’énergie manquantes : manger…).

Comment sait-on qu’on est bien en Connection (doubles connections) ?

On ressent son axe spinal tourner harmonieusement.

Plus on emmagasine de lumière et plus le sas doit laisser passer l’énergie reçue en la matrice de Gaïa. L’ancrage doit alors s’élargir pour permettre le passage de l’énergie via le dernier chakra afin de s’éviter l’auto-combustion d’abord, car quand l’axe spinal commence à s’accélérer, si le corps n’est pas capable de la contenir, il y a sensation de tournis, vomissements parfois, et maux de tête ensuite garantis… donc attention a bien vérifier ses sorties d’énergies, car le corps ne doit pas contenir plus qu’il ne peut, sinon grillage de fusibles au niveau de la santé mentale.

Ne jamais provoquer ce qui est communément appelée la « montée de kundalini ».

Certains s’adonne à réveiller le feu sacré alors que la kundalini est le carburant qu’il nous faut respecter, car il aura son utilité plus tard dans l’activation de nos champs de propulsion pour voyager dans un état de transdimensionnalité avec nos corps de base merhaviquement activé (Note AM : en mots plus simple, elle parle de l'ascension, la montée en vibration de nos corps dans la dimension supérieure, à l'échelle de toute notre espèce).

Je n’ai jamais poussé cela à son maximum pour faire comme Padré Pio se retrouver en 2 espaces simultanement.

Je ne recherche pas les expériences, c’est plutôt elles qui viennnent à ma rencontre.

Je les appelle peut-être (loi de l’attraction), mais pas par ma volonté consciente.

Une fois, je fis l’expérience de l’invisibilité (pendant 1 h 30, au moins, ma soeur me chercha dans une église qui ne comportait qu’une porte d’entrée et ne me voyant pas, elle m’accusa de m’être cachée). Je compris que j’étais devenue invisible (sûrement à force de prier avec tant de ferveur !), et ce, sans pour autant me rappeler où je me suis retrouvée dans cet espace de non-temps de cette invisibilité (une expérience pas recherchée mais plutôt le fruit d’une longue période de pratique de méditations en amont).

Depuis je me connecte relativement moins souvent, car n’en ressent pas le désir. Je me sens appelée à vérifier mes connections par un appel intérieur (sorte de désir profond).

Je me nourris de lumière mais je fais aussi l’expérience de me nourrir de temps en temps de choses denses (de légumes exclusivement et bio).

Les 2 modes sont incompatibles, en tout cas pour moi.

Cela encrasse mes canaux, me plombe quelque peu pour ainsi dire, et la montée de mes fréquences sont moins pures, moins hautes et plus lentes aussi.

Mais j’avais envie de revenir à cet ancien mode, car je suis très gourmante. Mais c’est bien aussi car j’ai compris un truc de plus.

Je sais par expérience, quand on se nourrit d’énergie (quand le processus s’enclenche) qu’au début on maigrit beaucoup et on fait des petits cacas en formes de crottes de biques et qu’on fait peu pipi mais qu’on est amené au début à se purger, donc on boit régulièrement en fonction de ses besoins.

Il ne faut pas se priver.

Le mode lumière se substitue au mode dense, progressivement.

Il n’y a pas eu d’arrêt brutal du style : « tient, je décide de ne plus manger et de me nourrir que de lumière ! Non cela ne c’est pas passé comme cela pour moi ! ».

Le poids se stabilise après et ne chute plus.

On a une pêche, une énergie phénoménale, et on dort peu.

Du coup méditer pour se double connecter n’est plus une perte de temps, au contraire.

De plus en plus, nous serons appelés à faire cette expérience et à en témoigner.

Il n’y a pas de méthode générale. Je ne crois pas !

Cela se fait au fur et à mesure que nous intégrons de plus en plus de lumière via la doubles connections (la Connection).

Pendant le travail qu’opère la double connections, et une fois les intentions émises, ne plus penser à rien et se laisser faire, car une seule pensée peut parasiter et figer le remplissage.

A la fin de ce travail on se sent régénéré, en pleine forme, heureux, serein, les idées claires et vierges de tout formatage, et ce au fur et à mesure que le travail se répète dans le temps et l’espace.

La lumière transporte l’Amour, et l’Amour c’est de la Lumière haute fréquence (la plus haute). Voilà ce dont je prends conscience.

à suivre...


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