Première version: 2014-10-27
Dernière version: 2019-01-17
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Rappel des avertissements préalables sur les sources des infos de cette partie.
Les tsunamis perdent rapidement de leur puissance, mais à cause de la hauteur énorme du tsunami issu du pole-chift, l'eau va s'infiltrer jusqu'à 1000 kms dans les terres. Les 60 premiers kilomètres, il peut se produire des remous qui peuvent faire monter l'eau à 600 m de haut, c'est pourquoi il est préférable d'éviter cette zone. On peut compter sur des hauteurs de 150 m de haut à 60 km à l'intérieur des terres, et 1cm (0m en gros) à 1000 kms à l'intérieur des terres. Vous pouvez faire une interpolation linéaire (encore appelée règle de 3) pour estimer la hauteur chez vous, en rajoutant 100 m de hauteur comme marge de sécurité.
Les tsunamis remonteront facilement les fleuves et rivières, amplifiant les effets dans les vallées.
Il faudra quand même quelques jours, voire plusieurs mois dans certaines zones où l'eau salée pourra former des étangs (dans les cuvettes). Il faudra alors gérer l'évacuation des eaux salées des terres agricoles où à certains endroits elles formeront de vastes zones inondées.
Harmonyum, le 10/04/2016 : Les tsunamis lors du premier passage feront EN MOYENNE 150 mètres (les zétas disent un peu plus de 100 mètres), mais pourront atteindre 250 mètres localement sur les côtes elles mêmes à cause de problèmes de géographie (les zétas disent 228 mètres). Pour le second passage, pour des raisons liées à la NOUVELLE géographie, prévoir un peu plus de marge. Globalement, le conseil est de se situer au dessus de 300 mètres [du niveau de la mer lors du passage] pour les deux afin d'atteindre un risque zéro (soit 515 m de hauteur actuelle lors du deuxième passage). Si vous vous réfugiez à 210 mètres d'altitude, vous ne serez probablement pas touchés mais comme il existe un risque (non calculable même par les ET) de voir certains effets cumulatifs dans les vagues (phénomène de résonance, goulot d'étranglement, effets d'inertie...), il ne faudra pas prévoir au plus juste. Autre critère, plus vous êtes loin des côtes et plus les risques tombent, car les effets aggravant sont surtout valables sur les premiers kilomètres, la vague perdant très rapidement de la puissance et de l'altitude. Rester pile poil sur la côte sera très dangereux, même à 300 mètres (si cela existe), car la côte va être très certainement érodée par l'impact jusqu'à 10 km jusque dans les terres. C'est contre tous ces aléas que la prise de marge est utile (mais pas indispensable, c'est à vous de juger).
Ajout AM : Je pense que ces indications sont pour la côté Atlantique, celle qui par effet de goulot du Golfe de Gascogne sera la plus importante. La hauteur sera moindre en Méditerranée, sauf proche des glissements de terrain comme Marseille, ou des effondrement de delta, où les 2 tsunamis (pole-shift + effondrement) risquent de se cumuler.
Prévoyez large si possible.
Le dernier séisme au Mexique de 8.4 a chargé encore plus la faille de New Madrid (le lit du Mississipi aux USA, se prolongeant par le lit du St Laurent au Québec), faille déjà bien chargée par touts les séismes de ces dernières années liés au déplacement de la plaque Pacifique (par exemple, le séisme 8+ de Nouvelle Zélande d'il y a 10 mois, les milliers de Séismes sur la côte ouest de l'Amérique du sud et centrale (Chili Pérou Equateur Mexique pour les plus médiatisés), les îles Tsonga, le Japon, l'Alaska, etc. etc.).
La faille de New Madrid aurait dû lâcher depuis longtemps, ça peut se produire à tout moment.
Cette rupture de New Madrid sera annoncée quelques temps avant par un gros séisme sur l'île des grues à Hokaïdo (nord du Japon), dernier verrou tectonique à maintenir la plaque nord américaine.
Une fois New Madrid déclenché, il sera rapidement suivi de la faille de San Andreas et de la faille des Cascades. Autant dire que les USA sont finis en tant que première nation mondiale...
Ce qui nous intéresse en France, c'est que New Madrid libérera le rift Atlantique. Le rift va s'écarter, provoquant des effondrements de plaques tectoniques sous marines. Ces effondrements provoqueront des tsunamis sur les côtes océanes, jusqu'à 30 m de haut. Parallèlement les terres descendront de quelques mètres, et si on compte les effets d'escalade de colline sous la pression de l'eau, on peut prendre la limite haute de 50 m d'altitude localement pour la vague de submersion.
La carte des zétas montre la France avec une élévation des eaux de 30 m. Seule la façade atlantique nous intéresse pour le moment.
Donc, dès l'annonce du séisme de New Madrid, il vous faudra quitter - définitivement - les zones côtières océaniques en rouge sur la carte. Définitivement, car le premier tsunami sera suivi d'autres, aléatoires, même s'ils seront normalement moins important que le premier.
Le principal danger de ces séismes c'est que comme ils sont liés à un effondrement, il n'y a pas de séismes avertisseurs. Il y a bien eu la pose de bouées d'avertissement pour essayer de les détecter à l'avance, mais la science est novice en la matière car jusqu'à présent ces vagues sans séismes ont été rares. Pour exemple, il y a eu quelques vagues anormales de submersion (de faibles hauteur jusqu'à présent) au Brésil, sur la côte Est des Etats-Unis, en Afrique du Sud ou en Iran (plusieurs morts) et elles n'ont jamais été prévues en avance.
C'est pourquoi, comme on ne peut les prévoir, il est conseillé de quitter les côtes et de vivre ailleurs, plus à l'intérieur des terres.
Si malgré mes avertissements :) vous n'avez pas quitter votre appart votre vie votre boulot et vos amis à Bayonne ou à Bordeaux ou à Nantes, vous allez forcément vous retrouver un jour pris dans un tsunami :) No panic, voici quelques infos sur ces vagues de submersion/tsunamis.
Tout d'abord, c'est comme une grosse marée rapide. Il n'y a donc pas de vague brisante comme celles des surfeurs. Ensuite, si la plupart des tsunamis sont précédés d'une mer qui se retire loin et rapidement, dans le cas des ces vagues ça ne sera pas obligatoire. Vous allez donc voir arriver une fuite d'eau anecdotique au début, et on le voit sur les vidéos, la stupeur de voir cette fuite en pleine ville anesthésie les passants, qui ne prennent pas immédiatement la bonne décision.
Or, les secondes sont précieuses. A Sumatra, un survivant parle de son groupe qui se précipite vers l'hôtel. Son copain juste devant rentre dans l'escalier et s'en sortira sans problèmes, lui à moins d'une seconde derrière est emporté dans la cour mais s'en sortira en s'accrochant puis en montant aux balcons, tous ceux derrière sont emportés dans la rue et meurent... Et pourtant sur les images le front de l'eau à l'air de s'étaler à la vitesse d'une limace lymphatique.
Ce qui tue c'est la vitesse qu'atteint l'eau une fois dedans (choc contre des murs ou des objets flottants), et la pression qui semble vous attirer vers le bas. Il faut donc éviter de se retrouver dans l'eau pris dans le courant trop fort, par exemple en s'aggripant à un objet flottant, ou mieux en montant sur une voiture, qui flottent bien comme on l'a vu au Japon en 2011 ou à Sumatra en 2004.
Il est possible de s'agripper à un objet fixe comme un arbre, mais le problème c'est qu'on ne sait jamais jusqu'où l'eau va monter, ni si les racines ou les fondations du lampadaire résisteront à la force phénoménale du courant.
Idem pour les bâtiments. Si les gros immeubles lourds et hauts devraient tenir, pas sur qu'une maison en pisé résistera à l'affouillement des fondations. Et il s'agit je le rappelle de 30 m de haut, un immeuble de 10 étages en front de mer.
Si vous avez vu le tsunami en avance avancer vers vous, il faut courir vers le point le plus haut, rentrer dans les immeubles pour monter le plus haut possible, bref, gagner en hauteur.
Enfin, les tsunamis se déroulent généralement en plusieurs "vagues" de hauteur croissante. A Sumatra par exemple, la première vague était quasimment sans dégâts et de faible hauteur. Les gens, rassurés par la mer qui se retire, sont revenus sur place voir les dégâts, aider des gens, et c'est la deuxième vague qui a été la plus meurtrière. Il faut donc profiter de ce répit et gagner le point le plus haut qui vous est accessible, et attendre longtemps que l'alerte au tsunami se dissipe. Lors des événements de Nibiru, quittez la région pour toujours, elle sera de toute façon inondée par la montée progressive des eaux.
Enfin, lors du retrait, le danger est toujours là, à cause des corps qui flottent (les épidémies surviennent très vite, l'eau n'est plus potable), des produits chimiques échappées des usines éventrées (le sol est contaminé durablement, nbe serait-ce que par le sel marin), des débris divers, des routes effondrées ou détruites. Ne pas relâcher sa vigilance.
Voir ce résumé des gestes qui sauvent en cas de tsunamis, bizarrement ils parlent eux aussi de 30 m de haut.
Il est préférable de regarder dès maintenant l'endroit où vous voulez vous réfugier et regarder s'il résistera à tous les tsunamis.
Juste une précision sur le niveau que la mer atteindra 2 ans après le passage de Nibiru.
Marc Chazal via les Altairans donne 215 m en France (200 m d'élévation de la mer généralisée et affaissement de 25 m de la partie ouest océanique).
Dans les années 1960, les scientifiques donnaient une estimation à 200 m d'altitude si tous les glaciers du monde fondaient. Le chiffre est repris par Lobsang Rampa dans un bouquin de 1962 (de mémoire), et devait sûrement s'appuyer sur ce que la kabbale et les Tibétains avait conservé de l'engloutissement de l'Atlantide en -11 000.
Depuis, l'estimation du volume de l'inlandis Antarctique a été affiné, les simulations informatique ont fait de gros progrès, et d'après les dernières études en 2017 le volume d'eau de tous les glaciers du monde ne rajouterait plus que 65 m d'élévation généralisée.
C'est sur la base de ces données (100 m pris par sécurité) que sont construites la plupart des zones refuges des élites, comme par exemple le nouveau Caire qui n'est en sécurité que pour une hausse de 150 m. Ou encore toutes ces villas de Preppers du show Business ou des milliardaires Gaffa qui ne sont qu'à 90 m d'altitude.
Sauf que, si les anciens disaient 200 m, c'est qu'ils l'avaient observé à l'époque... Ce qui s'est produit il y a 13 000 ans se reproduira aujourd'hui. Les scientifiques ont tout simplement zappé de prendre en compte le réchauffement du noyau terrestre, qui va rapidement se propager aux océans, la croûte terrestre étant "fine" à ces endroits. Cette hausse de température devrait participer à doubler le volume d'eau prévu.
Si Zuckerberg place sa nouvelle entreprise à moins de 200 m d'altitude, laissez le faire ! Et prévoyez plus haut que 215 m de votre côté !
Voici l'estimation de montée des eaux données par le National Geographic en 2017.
Attention, le lien ci-dessus donne une mer qui monte à 65 m, alors qu'elle montera réellement à 215 m en France. Il se pourrait d'ailleurs que ces infos officielles de 65 m ne soient là que pour vous inciter à rester dans les plaines et à vous faire noyer par le Tsunami, on sait que nos élites ont des volonté génocidaires envers le peuple.
Voici ci-dessous la vraie méthodologie pour estimer la montée des eaux lors des événements :
- 200 m de haut à 60kms des côtes pour le Tsunami du premier passage, jusqu'à 1000 kms à l'intérieur des terres, on peut estimer une interpolation linéaire entre les 2 positions : 160 m de haut à 200 km, 110 m de haut à 400 km des côtes, 75m de haut à 600 kms des côtes, 35 m à 800 kms, 20 m à 900 km, 1cm à 1000 km. C'est des estimations à la louche avec un coefficient de sécurité qui vous évitera d'avoir les pieds mouillés ( en effet, il y a des pincements locaux qui peuvent augmenter la hauteur du Tsunami. En gros vous montez à 200 m, et tant mieux si votre maison à 190 m n'est pas touchée, tant pis sinon, au moins vous ne serez pas impacté).
- 215 m d'élévation du niveau de la mer dans les 2 ans après le premier passage (là idem, vous serez peut-être dans une zone qui se soulèvera avec le mouvement des plaques, et finalement votre maison loin des côtes à 210 m sera épargnée). Le dessin des côtes à 215 m d'altitude vous donnera la distance de votre lieu de refuge par rapport au bord de mer lors du second passage.
- lors du second passage, 300 m de haut à 60 kms des côtes futures (Tsunami plus puissant que le premier passage), en rajoutant les 215 m d'élévation des mers. Il faut donc rajouter 515 m sur la carte pour avoir l'estimation des terres qui seront touchées par le Tsunami du second passage à 60 kms des côtes. Idem, on peut faire une interpolation linéaire en fonction de la distance de votre lieu à celui des côtes futures (avec une mer à 215m de haut, trouvées dans l'étape précédente). 465 m (250+215) m de haut à 200 kms des côtes, (175 m+215) de haut à 400 kms des côtes, 315 (100+215) m de haut à 600 kms des côtes, 265 m (50 + 215) de haut à 800 kms des côtes, 240 (25 + 215) m de haut à 900 km des futures côtes.
Pour entrer vos données en mètres, prendre floodmap. Si vous voulez les entrer en pieds (foot) et utiliser 2 niveaux d'eau différents (par exemple le premier niveau est les 215 m de la montée des eaux entre les 2 passage), c'est heywhatsthat.
Dans le tableau qui suit, la hauteur de la vague attendue est augmentée de 71 m pour pallier aux imprévus (collision avec un lâcher de barrage, colline pente douce ou rétrécissement de vallée). Dans la pratique, votre maison placée à une altitude inférieure à la vague attendue ne sera peut-être pas atteinte, mais il vaut mieux, vous, être à 100 m au dessus par sécurité (si possible évidemment).
| Distance de la côte (km) | hauteur de sécurité (m) |
| 0 | 286 |
| 13 | 268 |
| 27 | 250 |
| 40 | 232 |
| 53 | 214 |
| 68 | 196 |
| 80 | 179 |
| 93 | 161 |
| 108 | 143 |
| 121 | 125 |
| 134 | 107 |
| 148 | 89 |
| 161 | 71 |
à suivre...
