Première version: 2014-12-12
Dernière version: 2018-04-08
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Nous avons vu dans la page précédente les bons réflexes à avoir sur la manière de manger et de cuisiner. Regardons maintenant plus en détail quoi manger.
Les altaïrans nous ont donné, via Harmonyum, l'alimentation dont à besoin le corps humain.
Ces besoins ont été forgés par des centaines de milliers d'années de sélection naturelle en mode chasseur-cueilleur, et n'ont pas eu le temps d'être modifiés par le mode sédentaire que nous connaissons depuis 3000 ans seulement pour la plupart des pays du monde (France par exemple). Ils peuvent varier selon les habitudes locales à une région, comme les isérois en France qui mangent beaucoup de beurre mais qui sont génétiquement aptes à le faire, en plus de leur alimentation riche en noix.
Il faut retenir qu'il faut :
Manger sain, c'est éviter de manger des produits qui diminuent nos facultés physiques et intellectuelles.
Un corps avec des capacités intellectuelle accrue est capable de faire un meilleur rapport de son environnement à son âme.
L'eau est généralement en fin de liste des dangers liés à l'alimentation au sens large. Ce n'est surement pas cela qui nous tueras, l'eau potable est réellement potable (je ne parles pas des eaux non purifiées contenant des germes, surtout l'eau stagnante).
L'eau du robinet est traitée notamment avec des produits chlorés qui attaquent les muqueuses, dont celles de la bouche mais surtout de l'estomac et des intestins. Cela est valable pour toutes les eaux du robinet, même celles issus de sources protégées.
Pour les eaux moins protégées, il faut savoir que plus encore que les insecticides, ce sont les hormones issues des urines humaines qui sont les plus dangereuses.
Ces hormones transitent directement dans le sang et viennent s'ajouter aux hormones déjà présentes dans votre organisme. Ces pollutions sont en majorité liées aux urines féminines (ou femelles dans le cas de vaches) quand les pompages se font à l'aval d'une ville / d'un retraitement d'eau usée. Ce sont surtout les femmes enceintes qui produisent des taux d'hormones particulièrement hauts. Le faible nombre de femmes enceinte limite les quantités qui sont alors diluées suffisamment pour être inoffensives. Cependant, on sait que l'utilisation de ces urines peut enclencher la ponte chez certaines espèces de poisson, un mécanisme utilisé notamment dans l'élevage du panga.
En France et en occident en général, la pollution hormonale est surtout générée par les pilules contraceptives dont les produites synthétiques ne se détruisent pas, mais restent dans l'eau pendant des années ou entrent dans les métabolismes des poissons ou des animaux qui en boivent.Q
Quant aux eaux dites de sources qu'on trouve en bouteille, elles sont complémentées afin de stabiliser les proportions d'oligo-éléments (fer, fluor, pH, Ka). Nombreuses sont celles qui contiennent des nitrates mais qui ne sont pas obligées de faire apparaître ce fait, les marges légales étant très larges (trop). Il faut savoir qu'une eau chargée en nitrate même en faible quantité n'est pas une "eau de source", elle a forcément transité et été mise en contact avec des sources de déchets organique à l'extérieur pendant un certain temps, ou a été polluée par ruissellement dans les nappes. Une eau issue du sol (filtration naturelle) contient 0 mg de nitrate si elle n'a pas été polluée par infiltration bien entendu (d'origine agricole la plupart du temps). Ces eaux en bouteilles sont artificiellement arrangées et ne sont pas bien différentes des eaux du robinet, si ce n'est pour le chlore.
L'eau la moins risqué n'existe pas. toutes celles qu'on trouves dans le commerce sont de fausses eaux de source. Les bonnes eaux sont réservées aux élites qui n'ont pas les mêmes fournisseurs. Quelques eaux locales peuvent être meilleures, mais cela est à voir au cas par cas. Celles commercialisées généralement sont moyennes à mauvaises.
C'est plutôt les compléments (type fluor) qui sont à surveiller. Sur les étiquettes, c'est cela qu'on doit privilégier (un taux de fluor bas).
Tout comme la non-consommation de viande est dangereuse, la sur consommation est très mauvaise. Nous sommes faits pour ingérer une quantité limitée de protéines animales. le tout est donc de bien choisir celle qui nous est nécessaire et si possible ne prendre dans la nature que ce que nous avons besoin, ni plus, ni moins !
L'idéal serait de privilégier, dans l'ordre, les protéines issues des :
Les reptiles et les mollusques qui sont potentiellement trop dangereux au niveau des maladies. Ce sont des sources de protéines à éviter sauf force majeure (les faire jeuner histoire qu'ils évacuent toute la merde et les plantes toxiques pour nous qu'ils ont ingérés, puis bien les faire cuire).
Le cannibalisme. A proscrire même dans des cas d’extrême urgence parce que cela pose de nombreux problèmes éthiques et spirituel.
Pour les quantités de protéines à manger, c'est à chacun de voir selon ses besoins. Lorsqu'il existe un problème de santé spécifique, les "doses" peuvent être différentes. Le tout est d'éviter une surconsommation sans arriver à dépasser les besoins, et là c'est à chacun de faire ses choix.
Le gluten est en effet un composant naturel de certaines céréales. Les variétés de cérales datant de moins de 20 ans et entrant dans la composition du pain ont été sélectionnées pour contenir encore plus de gluten, car le gluten diminue le temps de chauffe pour faire du pain, ou pour des raisons de consistance (patisseries). On en est aujourd'hui à rajouter du gluten dans les farines industrielles, ce qui ne va pas sans problèmes de santé (mais est-ce involontaire de la part de certains?).
Ce n'est pas l'excès de gluten qui est nocif, mais avec quoi on le mange.
Notre corps n'a pas de souci pour l'assimiler si le gluten est mangé dans de bonnes conditions. C'est surtout la consommation simultanée de ces molécules avec des graisses (notamment animales) qui engendrent des poisons.
Le gluten est inoffensif avec les insectes, les poisson et le poulet (volailles sèches) parce que ces sources de protéines animales n'enclenchent pas le second mode digestif dont nous sommes dotés.
Le gluten (pain / blé / pâtes / etc.) est toxique s'il est consommé avec :
En effet, les sucs digestifs dédiés à ce type de graisse (il y a 2 modes de digestion chez l'homme) dégradent le gluten en poison.
Saucer le plat de viande est donc une hérésie, comme manger des raviolis (pâtes entourant de la viande). Idem de manger des patisseries industrielles mélangeant des huiles et graisses déjà toxiques en soi avec des farines de céréales surdosées en gluten.
C'était un savoir populaire qui a disparu dans les années 1960.
Ce poison abime les tissus des intestins et passe au travers et se retrouve dans l'organisme où il va altérer les processus biochimiques, détruire des membranes etc...
Le poison fini par se loger dans votre cerveau. Une fois combiné aux mauvais lipides qui s'y retrouve aussi, cela fait une belle soupe qui finit par endommager les neurones (d'où Alzheimer).
L'affaire de la vache folle passe sous silence une grande partie des causes de la maladie qui est en réalité due au fait qu'on fasse manger des farines animales (donc de la viande de vache ou de porc) aux vaches. Leur système digestif n'est pas prévu pour et comme chez les humains cela crée des protéines altérées.
Ces protéines se combinent (notamment sous l'effet du stress) pour former des prions (des protéines défectueuses).
Le poison du gluten favorise la plaque dentaire et les caries (principal responsable de ces affections apparues chez les êtres humains lors de la révolution néolithique il y a 6000 ans), principalement .
Un autre exemple d'aliment moderne dangereux. Ses effets sur le système de régulation insuline glucagon est extrêmement néfaste (pics d'insuline et risque de diabète à long terme). Evitez tous les produits avec sucre si possible non seulement par rapport à ces soucis de glycémie mais aussi parce que le sucre est un poison qui attaque les dents. De même, son stockage est facilité sous forme de graisses dangereuses. Il attaque aussi les muqueuses et dérègle le système immunitaire.
Les rajouts de fer dans les aliments, surtout ceux destinés aux enfants, sont complètement inefficaces car non assimilés. inutile de prendre ces produits complémentés, au contraire, ce fer va affecter vos organes et être stocké dans le foie et les rein entre autre, sans être utile. Il est dit assimilé, et c'est vrai dans ce sens : il rentre dans le corps, mais n'y sert pas. Il peut devenir un même devenir un poison, car non seulement il peut amener des troubles par lui même, mais il accentue aussi les effets d'autres polluants dont le plomb.
Le fluor complémenté est une arnaque, il ne règle en rien les problèmes dentaires. Ce qu'il apporte ce sont des déséquilibres dans le système nerveux dont il bloque certains processus. ceci est particulièrement vrai pour les enfants. le fluor naturel contenu dans l'eau est suffisant, le reste devient de la surdose (dentifrices et j'en passe). Au contraire,tout comme le fer, il accentue les effets néfastes des métaux lourds (comme le plomb) toxiques.
on peux te laver les dents au dentifrice au fluor, le fluor, contrairement à ce qui est dit, n'a pas le temps de faire quoi que ce soit ni même pénétrer par les muqueuses ou dans les dents. L'astuce est de considérablement bien se rincer la bouche, chose que peu de gens font. Du coup ils avalent tous les jours du dentifrice mal rincé et donc du fluor. Les doses ne sont pas catastrophiques, ce sont surtout les aliments complétés qui le sont : sels, eaux etc... Le dentifrice n'est donc pas un danger majeur et n'est pas du tout dangereux si on n'en avales pas. Ce qui est par contre très dangereux, ce sont ces doses de fluor que les pédiatres donnent au parents pour leurs gamins en bas age...
Attention au sel de table. Il contient des anti-agglomérants. Sous prétexte de diminuer le sodium, qui est en fait... le sel lui même (formule NaCl, chlorure de Sodium), les industries remplacent celui-ci par 30 à 50% d'anti-agglomérant. Le E535, ou cyanure d'hydrogène est très utilisé. C'est le sel du cyanure d'hydrogène ou acide cyanhydrique. Quand ce produit entre en contact avec un acide, en l'occurrence les sucs digestifs de l'estomac, il se transforme en gaz toxique, le Zyklon B, celui qui était utilisé dans les chambres à gaz nazies. Ce n'est donc pas tant le sel (chlorure de sodium) qui est dangereux et qui crée des soucis artériels.
Les édulcorants sont des produits chimiques non naturels (la stévia ne fait pas exception, celle que l'on trouve dans le commerce est synthétique à 100%). Ils sont moins dangereux que le sucre (saccharose, raffiné ou non) mais trompent le corps sur ses besoins en la matière. Globalement moins néfaste que le vrai sucre, ils n'en restent pas moins à éviter. Les campagnes contre ces produits sont surtout le fait des compagnies du sucre et du lobbyisme. Jean Baptiste Say n'était il pas un des fondateur des sciences économiques libérales ? La bataille entre sucre (de canne ou de betterave) et les édulcorants n'est qu'un jeu d'influence marketing et industriel. Seuls les sucres lents des céréales et les fructoses (des fruits) sont assimilables correctement par notre corps. de plus, bien plus que les fibres (là aussi une semi arnaque), ce sont les fructoses trop massifs pour certains pour être digérés, qui lubrifient le système digestif. c'est pour cela que les gommes à mâcher à base de fructose donnent des problèmes digestifs (avertissement qui existe sur les paquets).
Qu'elles soient végétales ou animales, ne jamais faire chauffer / cuire des graisses. C'est une très mauvaise habitude liée à notre mode de consommation moderne. Ces graisses deviennent systématiquement des poisons, certaines supportant néanmoins des températures plus élevées que d'autres avant de se décomposer. N'en reste pas moins que dans quasiment tous les cas, la température des ustensiles de cuisine dépassent toujours ces températures, même pour les huiles dites de "cuisson", et on ne parle même pas des fritures. Les huiles végétales crues sont par contre excellentes parce qu'elles contiennent des ressources uniques (notamment des vitamines liposolubles). Privilégier ces huiles à la sources, en mangeant directement noix, graines et autres amandes et éviter les huiles pressées qui sont traitées (quand elles sont industrielles) ou ont perdu nombre de leurs qualités à cause du contact de l'air (huiles artisanales).
C'est une arnaque marketing majeure. La seule façon d'avoir des produits sains et d'aller chez un cultivateurs de confiance, à condition qu'il n'ai pas repris des terres précédemment traitées. En quel cas même si sa volonté est de faire du bon, sa terre est contaminée. Enfin les magasins dit bio se servent en coulisse chez des fournisseurs dont les produits sont à 80% issus de l'agriculture chinoise. Si les Elites (Elysée, Vatican et grand restaurants entre autre) utilisent leur propre potager, ce n'est pas pour rien. Sachez cependant que notre corps a les moyens de se défendre contre ces produits toxiques (perticides, fongicides et j'en passe) qu'il peut stocker dans les graisses. C'est une mise en quarantaine. Faites très attention lors de pertes de poids rapides que ce stock de poison n'aille pas en masse dans votre sang. Ce sera un problème après le passage de Nibiru quand nous puiserons dans nos stocks.
Le Soja contient une drogue (un psychotrope puissant connu en Asie depuis longtemps) qui perturbe le fonctionnement du cerveau : la plante a développé cette arme naturelle afin que ses prédateurs n'aient plus peur de leurs prédateurs. Ainsi un rongeur qui mange du soja ne fera plus attention à sa sécurité et aura un comportement à risque et se fera dévorer.
Manger du Tofu vous empoisonne donc également, sans que vous vous en rendiez compte, puisque c'est le but de cette substance, vous faire perdre toute notion de sa dangerosité. Les militaires japonais donnaient du soja à leurs kamikazes, l'effet narcotique de cette plante est connu depuis des lustres. Ainsi, les kamikases n'avaient pas conscience du danger après quelques semaines et allié avec un lavage de cerveau nationaliste, cela a fait un carnage.
C'est pour la même raison que le végétalisme et la consommation de soja est encouragée par l'industrie agro-alimentaire pour nous détruire le cerveau et nous maintenir sous leur coupe.
Les doses d'empoisonnement au soja sont très faibles.
Le poison s'accumule dans le corps au cours du temps.
Pour certains plats au soja comme le Tofu (concentré de lait de soja), les doses de poison sont en plus multipliées par la concentration.
Le psychotrope n'est pas détruit par la cuisson. Seul le soja fermenté est sain, car la drogue qu'il contient est détruite par les ferments. En Asie, le soja n'était pas consommé tant que des techniques permettant de détruire les substances via le travail de bactéries (fermentation) n'ont pas été mises au point.
Problème, c'est qu'il n'existe aujourd'hui plus de tofu fermenté réel, il est précipité chimiquement. Il reste quelques vrais artisans en Chine mais leur production est anecdotique (un seul fabriquant de Tofu traditionnel en Chine qui dessert uniquement les restaurants de luxe).
Le tofu "populaire" (99.99% de la production mondiale en réalité) est obtenu par sédimentation du lait de soja, pas par fermentation. Les substances psychotropes sont au contraire concentrées au lieu d'être détruite.
Le lait de soja et le Tofu actuels sont absolument à proscrire.
Le système digestif des enfants de moins de 2 ans est encore capable d'assimiler le lait (et le lactose qu'il contient).
Privilégier le lait maternel humain puisqu'il contient l'histoire immunitaire de la mère : en effet, il existe une information chimique, notamment sous la forme de messagers / extraits chimiques appelés anticorps que le système de l'enfant reconnait. Le lait maternel permet donc au bébé de se préparer à affronter les maladies connues et combattues par sa mère (et sera donc plus résistant).
Malheureusement, le même mécanisme est en route pour le lait de vache, et ces marqueurs peuvent perturber le système immunitaire d'un humain auquel ils ne sont pas destinés. Ces laits de substitution sont donc à utiliser seulement en cas de manque de lait maternel.
Après l'âge de 2 ans, les humains ne peuvent plus assimiler le lactose, car le corps perd la capacité avec l'âge de produire de la β-galactosidase. Le lactose n'est plus digéré ou mal, ce qui cause des problèmes à court terme connus (maux d’estomac, diarrhées) et des effets à long terme non reconnus (irritation des parois des intestins, allergies, destruction des tissus et malabsorption avec des répercutions en chaîne sur tout l'organisme qui va tenter de compenser).
Tout le monde ne perd pas la capacité de produire de la β-galactosidase, c'est génétique et cela touche surtout les "caucasiens".
Attention, le lait cru est dangereux car la vache en l'occurrence peut transmettre des maladies par son biais (notamment la tuberculose). Toujours faire bouillir le lait pour détruire les germes et transformer en partie les éléments indigestes du lait (on peut manger la peau de lait). Par contre le lactose, détruit vers 200° de mémoire, n'est pas détruit par la cuisson qui reste à 100°C.
Les doses dépendent de chaque personne, mais le vrai lait peut être bu en quantité limitée (évitez généralement plus de 3 verres de vrai lait par semaine 1 jour sur 2), mais pas au petit déjeuner. Même si on le digère mal, les bénéfices sont plus grands que les problèmes liés au lactose.
Pour les plus de 2 ans, le lait doit être remplacée par des produits laitiers vivants, c'est à dire fermentés. Les ferments détruisent les molécules néfastes, aussi bien les hormones que les traces d'anticorps étrangers. Les produits laitiers fermentés sont une excellente source de nutriments.
La stérilisation UHT et le micro-filtrage détruisent les bon composants en même temps que les virus/bactéries du lait mais n'empêchent pas les mauvais composants chimiques de passer / rester.
En outre, les laits industriels sont "démontés" et "remontés" : les protéines sont séparées du sérum, traités sous forme de poudre et ensuite le lait reconstitué à base d'eau. La plupart du temps, 1 litre de lait industriel ne correspond qu'à 25% d'un litre de lait réel (voire moins pour le lait bas de gamme), sans parler du fait qu'il est complémenté (fer, vitamines synthétiques etc..) et privé de son sérum (qui contient d'autres types de protéines utiles).
Pour "démonter" le lait, il est globalement déshydraté, complètement écrémé et surchauffé (UHT), puis la poudre travaillée (ajouts de vitamines artificielles, etc...) avant d'être réhydratée, c'est pour cela que le lait qu'on achète a plus le goût d'eau que de lait.
Le lait UHT du commerce ne contient que du lactose où presque toutes les bonnes protéines/probiotiques etc... ont été retirés.
Quant au processus UHT, il dégrade certaines molécules qui étaient encore utiles (comme les bonnes graisses qui ont pu survivre à l'écrémage) et j'en passe.
Vous buvez donc de l'eau blanche légèrement sucrée au poison (le lactose), pas du lait.
Le lait UHT est à bannir, parce que ce n'est pas un aliment, c'est de l'eau teinté et irritante pour l'estomac et les intestins, c'est bien trop cher pour ce que c'est vu que vous n'avez que les inconvénients et aucun avantage du lait.
La viande de porc devrait être évitée ou consommée sporadiquement. Le porc étant un animal omnivore comme l'homme, sont métabolisme est très proche du notre. En ce sens, les graisses contenues dans ses viandes sont trop facilement assimilées par notre système digestif et viennent encombrer le sang. Avec une consommation trop fréquente, ces graisses peuvent s'accumuler dans les veines et former des amalgames, diminuant d'autant le flux sanguin dans certaines parties de corps en limitant le diamètre des artères/ veines/ vaisseaux capillaires. Le bon afflux du sang permet une bonne oxygénation et une bonne régénération des organes. Ces graisses diminuent d'autant la capacité du corps à faire circuler correctement hormones, nutriments, médicaments (comme ceux trouvés dans les plantes), mais aussi diminue la capacité des globules blancs à passer les membranes du circuit sanguin, migration qui est souvent nécessaire pour aller défendre un lieu non desservi par le sang ou le système lymphatique. En règle général, éviter de consommer des viandes issues d'animaux omnivores car leur métabolisme est comparable au notre. De même, éviter de manger les prédateurs supérieurs qui sont au sommets de chaines alimentaires longues, car ils accumulent alors beaucoup plus de poisons dans leur organisme.
Il faut boire ses aliments disait Gandhi.
La salive contient des enzymes (amylase?) qui préparent les sucres lourds à être digérés, gluten compris. Plus on laisse la salive en contact avec les sucres dits "lents", plus la pré-digestion est efficace. Mais ce n'est pas un problème qu'avec le gluten, on ne mâche plus assez, on avale tout rond généralement. C'est une très mauvaise habitude qu'on prend à l'école, qu'on peaufine en étant étudiant et qu'on légitime quand on est au boulot (pas le temps de manger, productivité oblige etc...). Mâcher les aliments est la première phase de la digestion, on l'oublie trop souvent !! Tout le reste en dépend.
Information hors Harmonyum : Après digestion, les sucres lents (amidon de pommes de terre ou de blé) sont décomposés en sucres rapides, il n'y a donc aucune différence entre manger des pâtes ou du sucre. On ne sait pas pourquoi cette information, connue depuis le début des années 1980, n'est toujours pas mise en place dans les prospectus gouvernementaux en France.
On peux se passer de viande sur le court terme dans notre société moderne mais il y a plein de problèmes cachés suite au manque de viande.
Premièrement, sans apport animal, notre corps n'est pas capable de tout fabriquer et on va avoir des carences. Elles seront d'abord invisibles et le resteront probablement, parce que ces carences entrainent un vieillissement accéléré des organes internes, cerveau y compris (qui vous met dans la semoule, si je puis dire). Certains ont expliqué ces problèmes cérébraux / comportementaux par les effets "narcotiques" du soja non fermenté, les végétariens/liens s'en nourrissant souvent abondamment pour compenser leur régime alimentaire. En réalité, chaque espèce animale s'est développée et a évolué pour fabriquer ce qu'elle ne trouvait pas dans son alimentation.
Par exemple, nous sommes incapables de synthétiser la vitamine C. En revanche, pendant l'hiver, les apports en vitamines C étant au minimum voire inexistants, le corps humain est capable de stocker cette vitamine.
Il en va de même avec de nombreux nutriments que contiennent les animaux (insectes - oiseaux - poissons - mammifères). Notre corps étant incapable de les synthétiser, il est obligé d'avoir une source externe.
Si le corps n'obtient pas ces nutriments, sur le long terme, il va démonter des choses déjà construites pour récupérer ce qu'il lui manque et réattribuer ces nutriments à des zones plus prioritaires jusqu'au moment où il n'y a plus de marges. Les nutriments n'étant pas éternels, sans parler qu'ils sont évacués par les selles petit à petit, même ces mécanismes internes de compensation ne suffisent plus. Les organes vitaux normalement prioritaires fonctionnent mais ne se régénèrent pas, les cellules vieillissent globalement et ne se renouvellent qu'au ralenti. Résultat, au bout de 10 ans de végéta-truc, on perds 30 ans d’espérance de vie. C'est un choix, mais c'est un choix coupé des lois naturelles, ce qui est assez illogique venant de gens qui prétendent être plus en communion avec la nature.
Les carences des régimes végétariens sont avérées, notamment
Etre en harmonie avec la Nature c'est être à sa place dans un environnement dans lequel nous sommes intégrés de part notre histoire, notre évolution. L'harmonie ce n'est pas le pays de Blanche neige, c'est un monde dans lequel nos ancêtres ont survécu et où leur corps se sont adaptés aux ressources, aux disettes et à ce qui était disponible.
Pas de différence entre Monsanto et le "végétalisme", ce sont les deux extrêmes de cette coupure vis à vis des lois naturelles. Le New Age californien a fait du mal, ça va être dur de rectifier tout ça...
Nous ne sommes pas faits pour nous passer complètement d'apports d'origine animale (on parle de végétalisme, pas de végétarisme). C'est très dangereux car cela provoque de très graves carences. Aucun mammifère au monde ne n'est végétalien, même les pandas et les vaches mangent plus sieurs kilo de viande par mois (les vaches grâce aux insectes, les pandas en cherchant des carcasses faisandées).
Enfin, manger végétalien est un luxe, puisque la complémentation est chère (et souvent produite par des labos), c'est donc un gaspillage de ressources et de santé, mais aussi un pas dans le nourrissage artificiel voulu par la Grande Pharmacie pour le futur (ils veulent simplement nourrir le monde avec leurs produit et remplacer l'agro-alimentaire, c'est pourquoi les labos font un lobbying massif pro végan ou pro végétalien). S'il est encouragé, c'est aussi parce qu'indirectement cela vous détruit le cerveau (via le soja) en plus de vous rendre dépendant à un secteur industriel.
Pour Harmonyum, aucun homme sur la planète actuellement (2015) n'est assez spirituellement avancé pour être prânique (ne rien ingérer de solide et de liquide, en buvant ou non de l'eau).
Notre corps a évolué dans un contexte et un environnement particulier, celui de périodes d'abondances puis de famines.
En période d'abondance, ce sont les fruits, racines, feuilles, baies, insectes et poissons qui sont consommés, en période de famine ce sont les autres animaux via la chasse, et ceci est d'autant plus vrai dans les pays froids où la viande rouge et les graisses animales sont indispensables à l'Homme pour survivre l'hiver.
C'est pour cela qu'on ne doit pas manger de viande rouge en même temps que du Gluten. Notre corps a deux modes de fonctionnements indépendants qui se mettent en route suivant les aliments ingérés. Ce n'est pas le gluten qui est mauvais, c'est parce qu'on le mange avec des graisses. Or le système digestif qui s'occupe des graisses ne doit pas tourner en même temps que celui qui décompose les sucres lents, sinon les sucs qui digèrent ces graisses attaquent le gluten en particulier et le transforme en poison très toxique. Ce n'est donc pas manger des animaux qui est mal, c'est la façon de le faire qui compte.
Tout comme le chimpanzé doit manger de la viande pour survivre sous peine de carences, tout comme le panda doit manger de la viande sous peine de carences, tout comme les vaches doivent manger des insectes sous peine de carences, ils le font suivant des règles strictes : un panda ne mange que de la viande morte et faisandée, un chimpanzé ne mange rien d'autre de sa journée sauf des plantes spécifiques pour l'aider à la digestion de la viande crue, la vache ne doit manger que des insectes car ils ont une viande primitive très facile à digérer (alors que dans les granulés industriels, on compense le manque d'insecte par des protéines lourdes issus d'autres animaux supérieurs comme le poulet ou le mouton).
Début avril 2016, Harmonyum nous donne des compléments d'informations sur le régime alimentaire humain, notamment les ĵeûns journaliers à respecter, forgés par des centaines de milliers d'habitudes chasseurs-cueilleurs, qui sont inadaptés à notre mode de vie sédentaire qui n'a que 6000 ans maximum et qui n'a pas eu le temps de modifier notre ADN. Il faut retrouver les fondamentaux, notamment pour la gestion des pics d'insuline et pour laisser au corps le temps de détoxifier les aliments qu'il vient d'ingérer.
Les ET ont souvent fait mention des habitudes et nécessités alimentaires dont nous avons hérité de nos ancêtres chasseurs cueilleurs. Ils ont notamment expliqué que le gluten est dangereux s'il est digéré avec des viandes grasses, parce que notre organisme a plusieurs modes de digestion contradictoires et spécialisés. En hiver par exemple, nos ancêtres chassaient du gros gibier et mangeaient peu de fruits et légumes (notamment aucune céréale au presque, aliments qui se retrouvent plus en été/automne). De même, nos ancêtres ne mangeaient surement pas à leur faim toute la journée, mais avaient, comme tous les animaux, des heures de nourrissage privilégiées entrecoupés de diètes. Or on retrouve de plus en plus ces éléments dans les méthodes de nutrition alternatives. L'abandon du gluten par exemple, est lié à cette incapacité du corps à le digérer correctement (bien que l'abandon total ne soit pas nécessaire, il faut juste le manger en quantité raisonnable et avec les bons aliments). La paléo-nutrition est aussi très en vogue et débarque en force, et cette idée correspond entièrement aux infos ET sur nos véritables besoins alimentaires (qui sont loin d'être ceux imposés par notre culture et le marketing industriel). J'ai découvert aussi que le fasting, c'est à dire le jeûne intermittent, était de plus en plus en vogue.
La faim toute la journée en déjeunant "trop" a été constaté assez souvent. le problème serait lié à un pic d'insuline qui fait chuter le sucre dans le sang. les petits déjeuners français classiques sont souvent trop sucrés et trop gras (confiture beurre), sans parler de ceux qui boivent un café au lait (toxique) ou des céréales industrielles ou du chocolat en poudre (qui combine sucre et céréales) le tout avec du lait et plein de compléments chimiques inutiles. L'aspartame déclenche aussi le pic d'insuline contrairement à ce qui est dit aux diabétiques (les pauvres, on les tue à petit feu avec ce mensonge). Par contre sauter complètement le petit déjeuner peut être une erreur, il faut absolument se réhydrater (un café, un thé vert etc... ) sont très sains. Ils favorisent la lipolyse pour ceux qui veulent se débarrasser des mauvaises graisses accumulées par des années de malbouffe. Notre corps perd beaucoup d'eau pendant le sommeil, et nos ancêtres faisaient une priorité d'aller boire avant de se mettre en quête de nourriture (insectes, fruits et légumes l'été, viandes de chasse l'hiver). Pour ceux qui ne peuvent pas se passer de leur sucre dans leur bol /tasse, essayez le sirop d'agave ou le miel. Le sirop d'agave est composé en grande partie de fructose qui n'est pas assimilé par le corps. Au contraire, il reste dans les intestin et le lubrifie. C'est pour cela que les chewing-gum au fructose (un vrai édulcorant naturel sans risque) donnent parfois des coliques si on en mange trop, c'est marqué sur les paquet. Le gros problème au niveau des sucres généralement, et du fructose en particulier, c'est qu’il est inscrit comme "sucre" et compte dans l'indice énergétique des aliments industriels. En réalité, il ne fournit aucune énergie au corps puisque nous ne le digérons pas. C'était même un moteur normal du bon transit intestinal chez nos ancêtres très friands de fruits ! Voilà pour les petites astuces
Sinon en effet, manger moins (et mieux malgré tout) sera un changement majeur pour les survivants, c'est un des buts de la sortie du système encouragé par les ET et catalysé par Nibiru d'ailleurs !!
Nibiru ne va pas être simple (efforts physiques combinés à un manque de nutriments), c'est pourquoi votre préparation doit comprendre une grosse part d'apprentissage (plantes comestibles, jardiner etc... entre autres). Une bonne forme physique ne sera pas un luxe non plus !!
Choisir son alimentation est en partie un luxe que d'autres ne peuvent pas s'offrir. En revanche, laisser l'industrie agroalimentaire te dicter ce que tu manges n'est pas très opportun, parce que leur but est de faire du profit, c'est à dire te vendre des choses qui se conservent longtemps (traitées, OGM etc...), qui ne contiennent que de l'eau (parce que ça coute pas cher et que tu es obligé de manger plus pour avoir tes apports), trop sucré ou trop salé (pour créer un effet de dépendance au produit), riche en mauvaises graisses (qui te rendent malades pour mieux te vendre du Light, du diététique et enfin des médicaments). Donc l'idée ce n'est pas de tomber dans de l'épicerie de luxe (piège dans lequel malheureusement trop de végétariens ou de gens qui font gaffe à leur alimentation tombent), mais de manger intelligemment. Supprimer la charcuterie coûte moins cher (à ne réserver que de temps en temps), changer de sel (prendre du sel vierge sans anti-agglomérant et vous salerez moins = gain de dépenses), éviter les friandises attrape-couillons (Nutella et autre sucres de la mort), exit l'alcool et les sodas hors sorties / rencontres amicales, diminuer la viande, en finir avec le lait (chez les adultes, à ne surtout pas remplacer par du lait de soja toxique) ou les céréales le matin (là aussi un attrape-couillon marketing lancé par Kellogs à la fin de la guerre), ce sont quelques mesures qui au lieu de gréver ton porte monnaie te font faire des économies. Ensuite, en changeant ton alimentation, tu t'apercevras que tu as moins faim et que tu es moins sensible au grignotage, et là encore tu fais des économies. Il faut savoir que les aliments industriels en général fournissent beaucoup de sucre, de sel et de graisses. Ce n'est pas un hasard. Lorsque les adipocytes se remplissent (les cellules graisseuses), elles libèrent des hormones, et le problème c'est que plus elles s'empifrent plus elles en redemandent, sans parler des déséquilibre catastrophiques que cela entraine (baisse de la testostérone chez les hommes, baisse de la fécondité chez les femmes et j'en passe). Ensuite, la plupart des aliments "complémentaire" à ce stratagème provoquent des pics d'adrénaline, une hormone à laquelle les adipocytes des graisses "resistantes" / "récalcitrantes" sont très sensibles. Allié à un niveau de stress élevé (travail, argent etc...) qui crée du cortisol, tu as alors un cocktail explosif qui désintègre ton système immunitaire, balance tes équilibres hormonaux à la poubelle et crée des sous produits biochimiques (protéines aberrantes ou défectueuses) qui vont tout droit se loger dans ton cerveau. Pratique pour les élites, puisque cela endort tes capacités de raisonnement (et cela finit par un Alzheimer ou une sénilité précoce). Alors non seulement cela te coûte plus cher (tu manges plus et des choses inutiles), tu tombes malade plus souvent et tu développes des désordres chroniques à court ou moyen terme (ce qui te coûte cher en pharmacie dans le deux cas), et cela te rend docile comme un mouton. De ce point de vue, ce n'est donc pas un luxe de choisir son alimentation, bien au contraire, mais je suis d'accord, beaucoup trop de gens pensent aller dans le bon sens en s'orientant sur des produits exotiques et chers plutôt que sur des choses simples et réfléchies.
Il y a en effet plusieurs solutions au "fasting". Certains sautent le repas du soir, d'autres du matin etc... L'idée, c'est de permettre au corps d'enclencher son autophagie, c'est à dire créer une micro-famine qui va contraindre le corps à vider le sang puis à piocher dans la masse graisseuse pour se nourrir. Nos ancêtres, au réveil, ne mangeaient surement pas tout de suite : ils devaient rejoindre le lieu de nourrissage (où il y a plus de prédateurs) qui était souvent éloigné du lieu de couchage (plus sûr). c'est pourquoi beaucoup conseillent de sauter le petit déjeuner pour manger uniquement autour de 12h00 (en moyenne, on est pas à 1 heure en plus ou en moins). Enfin une fois le Soleil couché, nos ancêtres rentraient dans leurs refuge (arbres, grottes, piton rocheux etc..) et ne mangeaient plus jusqu'au lendemain entre 10h00 et 12h00. sachant que nous sommes issus d'une latitude tropicale où le jour et la nuit sont assez proches de 12 heures, le cycle est donc facile à calculer. L'idée d'effectuer un jeûne journalier de 16 à 24heures est donc tout à fait logique d'un point de vue physiologique. Il est même conseillé de faire un sport lent (un cardio sans trop forcer ou de la marche) le matin à jeûn. Nos ancêtres marchaient longtemps après le lever pour aller chercher leur nourriture, notre corps est donc fait pour cela : il n'y aura pas d'hypoglycémie à condition de ne jamais dépasser 24 heures de jeûne (c'est un mythe véhiculé par l'industrie. L'hypo peut cependant arriver si vous mangez trop sucré le soir ou le matin, ce qui provoque un pic d'insuline et une chute du sucre dans votre sang = panne du cerveau qui n'a plus de carburant). Passé cette durée, par exemple si vous faites un jeûne thérapeutique sur 2 ou 3 jours, il vaut mieux éviter les exercices : notre corps se met dans un mode économie passé 24 heures et produit alors des toxines à l'effort. C'est pour cela qu'il ne faut jamais dépasser (et atteindre) les 24 heures de jeûne, sauf à lézarder pendant cette période, mais je ne conseille pas sauf grande exception. Au niveau de l'eau, il faut exclure absolument celle-ci du jeûne et au contraire beaucoup boire et se réhydrater le plus tôt possible. Nos ancêtre choisissaient toujours leur domicile (zone sûre de couchage) à l'écart MAIS à une courte distance d'un point d'eau.
La cuisson abime certaines molécules certes, mais les problèmes concernant le lait de vache et le soja perdurent malheureusement.
Seule la fermentation est efficace parce que ce sont des bactéries qui font le boulot, c'est une transformation bien plus complexe et complète que la cuisson. La preuve, lors de la fermentation même le pH est changé (notamment avec la production d'acide lactique). Les "poisons" sont consommés par les bactéries et non pas cassés comme avec la cuisson (avec des propriétés somme toute identiques aux molécules initiales). Les sous-produits de la fermentations sont bien plus sain que les produits de base (notamment des pro-biotiques).
Il semble que les caries soient liées à 2 problèmes qui se combinent : le sucre et le gluten.
Là où généralement on se trompe, c'est en croyant que ce sont les bactéries qui créent les caries en détériorant les sucres (lents ou rapides) tout en créant de l'acide. Or nos dents sont faites pour résister à une bonne dose d'acidité car nous sommes en grande partie frugivores. Il faudrait donc monter le pH bien plus haut que l'acide des citrons, par exemple, ce que seul le coca cola et le suc gastrique font correctement.
L'astuce, c'est que c'est le sucre (le saccharose et le glucose principalement) qui attaque directement vos dents, c'est un puissant corrosif et même un poison pour l'organisme, c'est pour cela que sa gestion (la glycémie) dans le sang est si complexe (et fait intervenir de nombreux organes : foie, reins, pancreas, adipocytes et même plus encore). Le sucre raffiné à partir des fructoses trouvés dans les plantes (betteraves, cannes) est le principal fautif, car le fructose lui même n'est pas digéré mais sert de lubrifiant aux intestins. L'avantage, c'est que ce sucre raffiné est très rapidement soluble et ne reste pas ou peu contre vos dents, sauf si vous mangez sucré souvent (ou buvez sucré souvent genre soda).
C'est là que le gluten interagit. Le gluten est appelé ainsi par rapport à la texture qu'il donne à la farine : c'est un agent d'onctuosité, de moelleux, il colle. Lorsque nous mangeons du pain, nous n'avons que le gluten, et ce gluten, même s'il forme une pâte sur les dents (la plaque dentaire), finit par être évacué (brossage + salive + bactéries). Les romains n'avaient pas de caries et mangeaient abondamment du pain de blé avec du gluten, donc ce n'est pas le facteur clé des problèmes dentaires, les fouilles à Pompéi l'ont prouvé.
Par contre, mangez du pain avec un produit sucré (confiture, chocolat à moins de 85% etc...) voire tout simplement un gâteau (sucre + gluten tout en 1), et vous avez alors une pâte sucrée qui reste longtemps contre votre émail, et notamment dans les "creux" (zone interdentaire, relief des dents, notamment sur les molaires). Cette pâte permet au sucre de rester longtemps en contact avec votre émail, et ce sont au contraire les bactéries qui vous en débarrasse. Malheureusement, le mal est déjà fait quand les bactéries ont fini leur boulot.
C'est donc le sucre et non la détérioration du sucre par les bactéries buccales qui est fautif, mais comme 80% de l'industrie agroalimentaire tourne sur le sucre, forcément que ça coince. Je ne ferais qu'une remarque à laquelle vous conclurez tout seul : Jean Baptiste Say est un des fondateurs des sciences économiques (capitalistes) modernes. Rien que ce nom devrait vous en dire long sur le rôle du sucre dans notre système !
à suivre...